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Ce parfum m'enivre, il me retourne aux années passées qui m'avaient procuré la nausée.
Cette senteur me prend vers les moments de l'utopie. Elle me renvoie aux heures de l'annui.
Je sens longtemps que les bons instants vont rendre le temps, lorsque je ressens ce parfum odorant.
Je respire...
c'est touchant....il n' y a plus que ça.
il n' ya plus tendre que l'amour d'une fille à son père, et l'affection d'un père à sa fille qui restera toujours dans ses yeux, comme une nova.
Sous l'ombre de cet arbre défeuillé
Qui cache les brasiers du soleil éclairant,
Et sur un rocher, je suis assise écoeurée,
Contemplant un vaisseau d'oiseaux planés.
En endurant les souffles du vent
Qui se précipitent vers les cimes des monts.
Etonnante d'avoir laissé les parasites
Engrainer une...
En un moment languissant,
Le regart est perdu l'horizon,
Vers un univers isolé et détaché
Et vers les hauts et les visées.
L'esprit est évadé vers
Les collines les plus élevées.
Les sensationss sont épuisées,
Devant un goût orgueilleux.
L'esprit est aéré
par un air embaumé.
Seule, je suis...
I
Il n'ya pas plus doux que l'opacité de la mer.
Une mer si profonde et amère,
Pleine de couleurs comme celles du fer.
Une mer latente qui cache ses mystères.
Elle ne rejette que les varechs.
Une mer qui usurpe
ce que donne la nature.
Ses vagues écumeuses
sont comme un prisme d'azur.
Ses...
J'entends un cri qui se disperse
A l'encontre d'une averse.
Vers les côtes de l'univers,
Il se penche vers le désert
Et sur les faîtes les plus hautes.
La verdure couvre l'espace
Dont les huttes forment l'impasse.
Aspirant un regret et un délire
Qui rassérènent mon âme qui se déchire,
Entre le...
Silence...il est là.
Oui, je ne mens et je ne songe pas.
Il est près de moi,
Je le sens et je le vois.
Il est là... il descend du toit et s'oriente vers moi.
Il est près de ce coin en portant le bien.
Je lui parle, mais il ne répond pas.
Il feind de ne pas me voir.
Il peind un phare...il est...
Je suis orpheline... de quoi ?
Je ne sais pas.
Orpheline des sentiments ?
Non, je ne crois pas.
Orpheline de sensation ?
Non, je n'en doute pas.
Je suis esseulée, dans cet endroit ténébreux,
Et entre les flammes de la prospérité.
Je suis orpheline... de quoi ?
Je ne sais pas.
Est-ce de joie ...