Une nuit, une seule nuit nous sépare…
Je ne trouve pas le sommeil dans le noir.
Enfin, au matin, voila l’aérogare.
Et, la bas, au bout du ciel, m’attend l’espoir.
Elle est là, au bord de ce fleuve, dans l’ombre.
Je sais qu’elle aussi, s’inquiète et tremble un peu.
Elle m’est unique...