Aimanté par les senteurs, les odeurs d’un ciel qui doucement s’évase…
Envahi par l’immuable désir qui tendrement se prend au jeu…
Touché dans la profondeur des sens, par la beauté d’un corps qui me rase…
Quelles sensations brûlantes, quand cette main glisse dans le feu !
Amour la nuit d’un infini, sublime dans le noir, auteur interprète exégèse…
Venant chercher la note parfaite, la pastille d’ivresse née…
Suçon qui noie, flot délictueux et encensoir, ravivant chacune de ces braises…
Colle-toi, accroche-toi fortement, sous ma longue cape en chair privée…
Fardé par le rêve exaltant d’un grand virage, d’un grand vertige…
Épousé par le rire humide et chaud de ce corps nu…
Ouvert à la compréhension, et le fantasme d’un royaume qui voltige…
Ah ! Que cette nuit m’écartèle dans la passion sans vertu !
Évanescence sacrée folle d’amour, entre rite et corps…
Accomplissant au flot d’azur, de ces écumes…
Chaleur ondulante, sueurs des sels en parfaits accords…
La pièce en buée, l’effervescence entre duvets et plumes…
Ébloui par le fil subtil de ce regard…
Tatoué de tous les signes, de cette vie sauvage…
Passionnés sans failles, de ces cils hagards…
Ah ! Que ces instants me lancent dans la sagesse et la rage !
Envahi par l’immuable désir qui tendrement se prend au jeu…
Touché dans la profondeur des sens, par la beauté d’un corps qui me rase…
Quelles sensations brûlantes, quand cette main glisse dans le feu !
Amour la nuit d’un infini, sublime dans le noir, auteur interprète exégèse…
Venant chercher la note parfaite, la pastille d’ivresse née…
Suçon qui noie, flot délictueux et encensoir, ravivant chacune de ces braises…
Colle-toi, accroche-toi fortement, sous ma longue cape en chair privée…
Fardé par le rêve exaltant d’un grand virage, d’un grand vertige…
Épousé par le rire humide et chaud de ce corps nu…
Ouvert à la compréhension, et le fantasme d’un royaume qui voltige…
Ah ! Que cette nuit m’écartèle dans la passion sans vertu !
Évanescence sacrée folle d’amour, entre rite et corps…
Accomplissant au flot d’azur, de ces écumes…
Chaleur ondulante, sueurs des sels en parfaits accords…
La pièce en buée, l’effervescence entre duvets et plumes…
Ébloui par le fil subtil de ce regard…
Tatoué de tous les signes, de cette vie sauvage…
Passionnés sans failles, de ces cils hagards…
Ah ! Que ces instants me lancent dans la sagesse et la rage !