Grisaille tu sors ton attirail
Humeur tu me tends ta laideur
Au soupirail noir ma pensée braille
Prison du stress je tente l’évasion
Barreau de folie écarte mes fardeaux
Poison échappe aux folles intentions
Pont de ma peine tu te romps
Eclat de malheur, toi le renégat
Au Front de l’angoisse dit pardon
Gène d’encor détruit l’arène
Soleil d’or dépose tes merveilles
Scène de vie dévore ta gangrène
Joie, joie sourit à tous mes émois
Affection charges-toi d’attention
Que l’effroi ne parade plus en moi
Demain le jour ne sera plus vain
La lumière éclairera ma juste prière
L’essaim de mes mots cantiquera divin
Rayons de bonheur pour gaie solution
Sourires d’amour au jeu de fakir
Quand Bayon lacéré purifie ma raison
Oubli des douleurs tous mes soucis
Paroles de printemps qui s’envolent
Je sourie à la vie, me voilà à nouveau ravi
☼ŦC