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L'ENFANT ET L'OISEAU

lilasys

Maître Poète
#1
L'ENFANT ET L'OISEAU !


Ton âme erre ,silencieuse, dans cette chambre d'hôpital
Autour de toi ces malades sont possédés du désir de vivre
Ton corps endormi se meurt , ne lutte plus, c'est infernal
Seul ton coeur bat contre le mien ,unis ils ne peuvent mourir


Ma souffrance est ce fossé ,cette trop grande distance
Tous ces silences qui se creusent et petit à petit éloignent
Sans toi je dérive à genoux devant dieu ,je témoigne
Pardonne- moi ,on ne s'est pas compris ,donne- moi une autre chance


Notre vie se retrouve aujourd'hui au bord de l'eau
Il faut briser ce marbre qui chaque jour nous attire
Accoudés à nos souvenirs pleurent mes larmes ,tel un étau
Puisque tu aimes le repos ,je te rejoins ,où laisse- moi te retenir


Doucement je m'engourdis comme ce bateau amarré
Dans ce port sans vie où le soleil ne frise plus notre terre
Je sens le reflet du purgatoire ,du bagne ,sans toi mon ainé
Je suis ta petite soeur et cet amour n'a jamais eu de frontières ......


LILASYS
 
#8
Au linceul de l'Amour fraternel coulent vos mots, magnifiquement brodés sur un lit de regrets et de peines,
où susbsitera à jamais le verbe AIMER.
Un superbe BRAVO pour vous LOLA!!
BISOUS

ps : j'aime le titre! Il me rappelle de plus la chanson de Marie Myriam.
 

lilasys

Maître Poète
#9
Au linceul de l'Amour fraternel coulent vos mots, magnifiquement brodés sur un lit de regrets et de peines,
où susbsitera à jamais le verbe AIMER.
Un superbe BRAVO pour vous LOLA!!
BISOUS

ps : j'aime le titre! Il me rappelle de plus la chanson de Marie Myriam.
merci RICHARD /
COMME JE DIS PLUS HAUT UNE HISTOIRE VRAIE ....
qui aujourd'hui est juste un mauvais souvenir ,
merci pour la visite
bisous de moi
 

lilasys

Maître Poète
#12
L'ENFANT ET L'OISEAU !


Ton âme erre ,silencieuse, dans cette chambre d'hôpital
Autour de toi ces malades sont possédés du désir de vivre
Ton corps endormi se meurt , ne lutte plus, c'est infernal
Seul ton coeur bat contre le mien ,unis ils ne peuvent mourir


Ma souffrance est ce fossé ,cette trop grande distance
Tous ces silences qui se creusent et petit à petit éloignent
Sans toi je dérive à genoux devant dieu ,je témoigne
Pardonne- moi ,on ne s'est pas compris ,donne- moi une autre chance


Notre vie se retrouve aujourd'hui au bord de l'eau
Il faut briser ce marbre qui chaque jour nous attire
Accoudés à nos souvenirs pleurent mes larmes ,tel un étau
Puisque tu aimes le repos ,je te rejoins ,où laisse- moi te retenir


Doucement je m'engourdis comme ce bateau amarré
Dans ce port sans vie où le soleil ne frise plus notre terre
Je sens le reflet du purgatoire ,du bagne ,sans toi mon ainé
Je suis ta petite soeur et cet amour n'a jamais eu de frontières ......


LILASYS
besoin de ressortir ce texte !!!
 

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#15
L'ENFANT ET L'OISEAU !


Ton âme erre ,silencieuse, dans cette chambre d'hôpital
Autour de toi ces malades sont possédés du désir de vivre
Ton corps endormi se meurt , ne lutte plus, c'est infernal
Seul ton coeur bat contre le mien ,unis ils ne peuvent mourir


Ma souffrance est ce fossé ,cette trop grande distance
Tous ces silences qui se creusent et petit à petit éloignent
Sans toi je dérive à genoux devant dieu ,je témoigne
Pardonne- moi ,on ne s'est pas compris ,donne- moi une autre chance


Notre vie se retrouve aujourd'hui au bord de l'eau
Il faut briser ce marbre qui chaque jour nous attire
Accoudés à nos souvenirs pleurent mes larmes ,tel un étau
Puisque tu aimes le repos ,je te rejoins ,où laisse- moi te retenir


Doucement je m'engourdis comme ce bateau amarré
Dans ce port sans vie où le soleil ne frise plus notre terre
Je sens le reflet du purgatoire ,du bagne ,sans toi mon ainé
Je suis ta petite soeur et cet amour n'a jamais eu de frontières ......


LILASYS
Le vieux, ce drôle d’oiseau !

Mon arme gère, silencieuse, dans ma chambre automnale,
Autour de moi, mes salades aux procédés du petit sourire,
Décors engourdi sans fleur, ne butte plus, c'est machinal,
Seul ma sœur se débat comme un chien, réunis pour en rire.

Sa confiance n’est pas faussée, elle est ma plus belle chance,
Même si mon d’après veut qu’ici avec toi je témoigne,
Avec moi, tu dérives peu ou prou devant le vieux, tu t’éloignes,
Pardonne-moi, je suis le petit con pris, joue avec moi une autre danse.

Mon envie se trouve encore auprès de tes maux,
Il faut bisser cet humour qui chaque jour nous attire,
Retrouver nos souvenirs sans pleurs, sans armes, nos beaux mots,
Pour que j’anime tes repos, que je joins aux miens, pour nous maintenir.


Simplement, je te dégourdis comme mon chapeau bigarré,
Dans mon port, dans l’envie, la merveille défrise les plus austères,
Je ressens l’effet si pur à te voir, je soigne tout pour toi mon aimée,
Tu es ma petite soeur pour cet humour à partager sans pensées arrières.