COUP DE CŒUR ! …
UN TABLEAU
FACE A L’UNIQUE FENETRE
EN PLEINE LUMIERE
et quelques vers de SAMAIN
L'Amour sanctifié
Sans hâte et sans fièvre
Buvait à l'urne exquise
Et profonde des lèvres
O songe d'un désir
Parfumé par le ciel.
Poème publié 24 Janvier 2008
UN TABLEAU
FACE A L’UNIQUE FENETRE
EN PLEINE LUMIERE
Le soleil descend dans un ciel orangé ,
Derrière la colline.
Le couchant est en feu.
Des écharpes irisées s’étendent à l’horizon
C’est le dernier baiser du Soleil à la Terre,
De l’Astre flamboyant qui annonce la nuit…
Alors que pas à pas, partout,
L’ombre se glisse,
Sur ce fond lumineux,
Deux formes se détachent là haut sur la colline
Tendrement enlacées.
Lui se penche sur Elle
Pour mieux la protéger.
Leur Amour est si grand !
A l’Unisson du Ciel,
L’un à l’Autre unis
Leurs lèvres se rejoignent
Dans un baiser ardent
Où le cœur et leur âme
Sur leurs bouches adorées,
Epanchent leur soif,
Sans cesse renouvelée
D’un Amour éperdu, qu’ils ne peuvent quitter
Ce ne sont que prières sur les lèvres aimées,
Ne jamais se perdre, toujours se retrouver,
Et puis partir ensemble
Vers le ciel étoilé.
La nuit les enveloppe
C’est le dernier baiser
La nuit ferme la porte et les a séparés
Dans un dernier baiser
Tableau de Guérimand.Derrière la colline.
Le couchant est en feu.
Des écharpes irisées s’étendent à l’horizon
C’est le dernier baiser du Soleil à la Terre,
De l’Astre flamboyant qui annonce la nuit…
Alors que pas à pas, partout,
L’ombre se glisse,
Sur ce fond lumineux,
Deux formes se détachent là haut sur la colline
Tendrement enlacées.
Lui se penche sur Elle
Pour mieux la protéger.
Leur Amour est si grand !
A l’Unisson du Ciel,
L’un à l’Autre unis
Leurs lèvres se rejoignent
Dans un baiser ardent
Où le cœur et leur âme
Sur leurs bouches adorées,
Epanchent leur soif,
Sans cesse renouvelée
D’un Amour éperdu, qu’ils ne peuvent quitter
Ce ne sont que prières sur les lèvres aimées,
Ne jamais se perdre, toujours se retrouver,
Et puis partir ensemble
Vers le ciel étoilé.
La nuit les enveloppe
C’est le dernier baiser
La nuit ferme la porte et les a séparés
Dans un dernier baiser
et quelques vers de SAMAIN
L'Amour sanctifié
Sans hâte et sans fièvre
Buvait à l'urne exquise
Et profonde des lèvres
O songe d'un désir
Parfumé par le ciel.
Poème publié 24 Janvier 2008