De quelques dérivés de la haine
La haine est une vermine des âmes
Et elle génère là et ici elle enfante
De noirs virus nuisibles et infâmes
Et vers l’enfer est assurée la descente
L’envie trop noire s’installe goguenarde
Elle n’attend que le moindre des gestes
Puis, avion surchargé, elle bombarde
Devenant des fois plus terrible qu’une peste
La forte jalousie sous toutes ses formes
Crie au soleil : « Je suis dans les yeux ! »
Et bonjour tous les dégâts énormes
Sans nulle crainte de la colère des cieux.
Que de combines inventent les esprits !
L’autre est toujours la brebis malade
Rien d’un peu bon n’est alors appris
Et tous les doux rapports se dégradent
École d’inquisition devient cette terre
Ils déclarent bons juges les médiocres
Et l’on accuse, et l’on tue et l’on enterre
Le lait si blanc devient sans raison ocre
Et partout se dressent les pires Hitler
Assoiffés du bon sang des innocents
Le sadisme ne doit nuire, ne doit déplaire
Et le grand mal se vêt de plusieurs façons
Quand toutes les brebis sont anéanties
Les loups garous vers les loups se tournent
La triste trahison aux moins forts a menti
Et haro contre la haine qu’on ne détourne !
La haine est une vermine des âmes
Et elle génère là et ici elle enfante
De noirs virus nuisibles et infâmes
Et vers l’enfer est assurée la descente
L’envie trop noire s’installe goguenarde
Elle n’attend que le moindre des gestes
Puis, avion surchargé, elle bombarde
Devenant des fois plus terrible qu’une peste
La forte jalousie sous toutes ses formes
Crie au soleil : « Je suis dans les yeux ! »
Et bonjour tous les dégâts énormes
Sans nulle crainte de la colère des cieux.
Que de combines inventent les esprits !
L’autre est toujours la brebis malade
Rien d’un peu bon n’est alors appris
Et tous les doux rapports se dégradent
École d’inquisition devient cette terre
Ils déclarent bons juges les médiocres
Et l’on accuse, et l’on tue et l’on enterre
Le lait si blanc devient sans raison ocre
Et partout se dressent les pires Hitler
Assoiffés du bon sang des innocents
Le sadisme ne doit nuire, ne doit déplaire
Et le grand mal se vêt de plusieurs façons
Quand toutes les brebis sont anéanties
Les loups garous vers les loups se tournent
La triste trahison aux moins forts a menti
Et haro contre la haine qu’on ne détourne !