Pour qu’elle sache
Pour qu’elle sache que je l’aime
Je lui offrirai la lumière de mes yeux
Et tout qui m’est chère, c’est mon âme
C’est tout ce que j’ai, comme précieux
Pour qu’elle sache que je l’aime
Je lui offrirai mon cœur sur un plateau
Devant elle, je m’incline, je me désarme ?
Moi le guerrier de tous les temps
Pour qu’elle sache que je l’aime
Je marcherais sur les braises en feu
Si ma fille un jour me réclame
Ne pourront rien me faire les volcans
Pour qu’elle sache que je l’aime
Je sourirai malgré ma douleur
De mon sourire, je ferais un emblème
Il sera met là-haut sur les hauteurs
Qui sait peut-être qu’un jour ma belle
Par ici, elle fera un tour
Le sang ne ment le sans appel
Un jour, son instinct lui murmure
Cherche-le, il n’est pas au ciel
Trouve-le même s’il est mort
Pour voler faite, toi poussé des ailes
Avec une seule l’oiseau meurt
D’une main, je toucherais les étoiles
Et je mis l’autre sur son cœur
Si elle viendra ce soir dans mon sommeil
Sa lumière, que je veux pour mon cœur
Même si sa lumière me réveille
L’essentiel que je puisse avoir son amour
Même si je dois toucher pour elle le soleil
Pour avoir le pardon de son cœur
Je le ferais même s’il me brûle
Je serais engrais pour ma fleur
Dites-le-lui que je l’ai aimé ardemment
Sans trahison, toute ma vie
Même si je n’ai eu d’elle que son nom
Ni photo ni entendre son cri
Ils l’ont caché comme un bijou
Loin de moi ma fille est née
Sans la prendre ni voir ses yeux
Je pleure des mots chaque nuit
Mes larmes augmentent devant son berceau
Et des fois, je parle avec sa poupée
pourquoi elle est parti sans vous
j'aurais peut-être oublié
Peut-être à ces moments-là, je deviens fou
Et peut-être être fou, je me guéris
Dans un camping-car, je veux finir ma vie
Je veux qu’il ne soit modeste pas luxueux
Seul, je prendrais les routes, sans hésiter ni regret
Avec mes souvenirs même s’ils sont douloureux
J’ai décédé de chercher ma fille
Sans dire adieu ni laissé de mot
Je partirais la nuit sans faire de bruit
Sauf quelque bisés sur le front de mes enfants
Et une très jolie fleur-là sur le lit
Pour celle qui a caressé ma peau
Chercher, ma fille, j’espère qu’elle vit
Rien que pour voir ses beaux yeux
Et devant ces pieds, je m’agenouillerais
Pour adoucir son cœur et avoir son pardon
Mes dires parleront à ma place, et mes écrits
Et les larmes sacrées qui coulent de mes yeux
Quoi que je face, je ne peux rien réparer
Même si je peux, je n’ai pas le temps
La santé d’autrefois hélas, elle est partie
Comme une plume au loin avec les vents
Et ma fille est devenue femme n’est plus bébé
Quoi dire ? Encore ma plume invente des mots
Les mots restent moi un jour, je partirais
Tout le monde meurt même le bourreau
Ainsi est la vie
Je pars sans dire adieu ni laissé de mot
Et dans mon être les flammes de l’envie
Je ne sais où se trouve son lieu
Ni si elle est, encore en vit
Partir voir le monde avec elle, c’est mon vœu
Je sais qu’un jour ou l’autre seul, je partirais
La santé me fuit, au loin mes vingt ans
Je veux mourir loin de ceux qui m’ont aimé
Je ne veux pas qu’ils souffrent, moi là-haut
Je veux qu’ils retrouvent après moi cette fille
En paix peut-être moi, je serais là-haut
Mais ce soir, je te dirai, je t’aime ma fille
Même si aujourd’hui tu es maman
Je t’aime
À bientôt
Mustapha
Pour qu’elle sache que je l’aime
Je lui offrirai la lumière de mes yeux
Et tout qui m’est chère, c’est mon âme
C’est tout ce que j’ai, comme précieux
Pour qu’elle sache que je l’aime
Je lui offrirai mon cœur sur un plateau
Devant elle, je m’incline, je me désarme ?
Moi le guerrier de tous les temps
Pour qu’elle sache que je l’aime
Je marcherais sur les braises en feu
Si ma fille un jour me réclame
Ne pourront rien me faire les volcans
Pour qu’elle sache que je l’aime
Je sourirai malgré ma douleur
De mon sourire, je ferais un emblème
Il sera met là-haut sur les hauteurs
Qui sait peut-être qu’un jour ma belle
Par ici, elle fera un tour
Le sang ne ment le sans appel
Un jour, son instinct lui murmure
Cherche-le, il n’est pas au ciel
Trouve-le même s’il est mort
Pour voler faite, toi poussé des ailes
Avec une seule l’oiseau meurt
D’une main, je toucherais les étoiles
Et je mis l’autre sur son cœur
Si elle viendra ce soir dans mon sommeil
Sa lumière, que je veux pour mon cœur
Même si sa lumière me réveille
L’essentiel que je puisse avoir son amour
Même si je dois toucher pour elle le soleil
Pour avoir le pardon de son cœur
Je le ferais même s’il me brûle
Je serais engrais pour ma fleur
Dites-le-lui que je l’ai aimé ardemment
Sans trahison, toute ma vie
Même si je n’ai eu d’elle que son nom
Ni photo ni entendre son cri
Ils l’ont caché comme un bijou
Loin de moi ma fille est née
Sans la prendre ni voir ses yeux
Je pleure des mots chaque nuit
Mes larmes augmentent devant son berceau
Et des fois, je parle avec sa poupée
pourquoi elle est parti sans vous
j'aurais peut-être oublié
Peut-être à ces moments-là, je deviens fou
Et peut-être être fou, je me guéris
Dans un camping-car, je veux finir ma vie
Je veux qu’il ne soit modeste pas luxueux
Seul, je prendrais les routes, sans hésiter ni regret
Avec mes souvenirs même s’ils sont douloureux
J’ai décédé de chercher ma fille
Sans dire adieu ni laissé de mot
Je partirais la nuit sans faire de bruit
Sauf quelque bisés sur le front de mes enfants
Et une très jolie fleur-là sur le lit
Pour celle qui a caressé ma peau
Chercher, ma fille, j’espère qu’elle vit
Rien que pour voir ses beaux yeux
Et devant ces pieds, je m’agenouillerais
Pour adoucir son cœur et avoir son pardon
Mes dires parleront à ma place, et mes écrits
Et les larmes sacrées qui coulent de mes yeux
Quoi que je face, je ne peux rien réparer
Même si je peux, je n’ai pas le temps
La santé d’autrefois hélas, elle est partie
Comme une plume au loin avec les vents
Et ma fille est devenue femme n’est plus bébé
Quoi dire ? Encore ma plume invente des mots
Les mots restent moi un jour, je partirais
Tout le monde meurt même le bourreau
Ainsi est la vie
Je pars sans dire adieu ni laissé de mot
Et dans mon être les flammes de l’envie
Je ne sais où se trouve son lieu
Ni si elle est, encore en vit
Partir voir le monde avec elle, c’est mon vœu
Je sais qu’un jour ou l’autre seul, je partirais
La santé me fuit, au loin mes vingt ans
Je veux mourir loin de ceux qui m’ont aimé
Je ne veux pas qu’ils souffrent, moi là-haut
Je veux qu’ils retrouvent après moi cette fille
En paix peut-être moi, je serais là-haut
Mais ce soir, je te dirai, je t’aime ma fille
Même si aujourd’hui tu es maman
Je t’aime
À bientôt
Mustapha
Dernière édition:
