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Solitude

MonsieurBaron

Maître Poète
#1
Solitude

Ooooh solitude écrasante
Toi qui marche sur mon corps
Toi qui en redemande encore
Ne me seras-tu jamais apaisante

Ooooh solitude insatisfaisante
Ne sais-tu point tout le mal à présent qui m’habite
Ne sais-tu point toutes les souffrances qui cohabitent
En mon âme, à cause de toi, la malfaisante

Ooooh solitude déchirante
Comment oses-tu me frapper ainsi
Dans la nuit froide et noircie
Lorsque ma vie va mourante

Délaisse-moi de ta torture
Retourne dans ton pâturage
Ignore à jamais toute ma rage
Et laisse-moi avec mes blessures

Abandonne-moi… à ma cyanure


©2015 MB (03/08)
 

kinkin

Maître Poète
#2
Cet état a du bon coté et un mauvais la votre vous pèse surement amicalement Coconat
 

janu

Maître Poète
#4
Une solitude bien expoésée et on a envie de crier
pas cette fin là ! plutôt aller aux autres...
Amicalement
 

agrego

Maître Poète
#8
alors si tu l'as abandonnée.... ta truc-là!!

je comprend aisément ta solitude???lol

c'est bien analysé et bien écrit sans point( !) C'est mieux!

Amitiés


Agrégo
 

popa1234

Maître Poète
#9
selon les êtres la solitude diffère. en ce qui me concerne, j'aime ma solitude mais je comprnds que pour certains elle peut être très pesante......une belle lecture.....amitiés
 

agrego

Maître Poète
#10
selon les êtres la solitude diffère. en ce qui me concerne, j'aime ma solitude mais je comprnds que pour certains elle peut être très pesante......une belle lecture.....amitiés
y a solitude et solitude!!

j'ai posté aussi sur ce thème!

Je peignais la solitude extrême d'un conjoint devenu seul!!

et là....la solitude est pesante!!!

désolé René d'avoir "parlé" sur ton post??

amitiés

Agrégo
 

agrego

Maître Poète
#13
Définition[modifier | modifier le code]

La dysthymie (ou trouble dysthymique) est une forme de dépression atténuée et chronique produisant une souffrance significative. Ce terme a été introduit en 1980 dans le DSM-III. Auparavant, ces troubles ont été tantôt considérés comme des troubles de l'humeur, tantôt comme des troubles de la personnalité : on a parlé par exemple de « névrose dépressive ». On peut en rapprocher également certains troubles névrotiques comme la neurasthénie ou la psychasthénie[3].
La dysthymie peut être liée à une structure peu favorable au développement positif de l'enfant : violences, incestes, guerres, carences affectives importantes, timidité extrême. L'enfant tend à considérer ces faits comme normaux et finit par les banaliser et les intégrer à sa structure psychique. Si l'enfant ou l'adulte ne sont pas pris en charge les risques de destruction, d'autodestruction ou de suicide sont très importants. Il est possible pour la personne atteinte de dysthymie de reconnaître les signes avant coureurs tel que fort sentiment de tristesse, abattement, vision très pessimiste de l'avenir, isolement... Pour l'enfant il est conseillé dans la mesure du possible une assistance éducative, un environnement assaini, un espace d'expression, des longues périodes de loisirs, un soutien moral, un suivi scolaire et un suivi thérapeutique. Pour l'adulte un suivi médical est absolument nécessaire : les anti-depresseurs et somnifères de dernière génération sont fortement conseillés durant les périodes de crise ainsi que les thymo-régulateurs de seconde génération. Une stricte hygiène de vie, une longue thérapie, un réel apprentissage des relations sociales saines et tendant à renforcer l'estime de soi ainsi que le B.A. BA de la pensée positive sont indispensables pour réapprendre à vivre au côté des carences et traumatismes anciens. Il est vital pour le dysthymique enfant ou adulte de prendre conscience des traumatismes et des conséquences réelles sur son existence car le dysthymique a tendance à minimiser voire ignorer les traumatismes et l'ampleur de leurs influences sur sa structure psychique. Il tend à penser que cette structure transitoire est innée et définitive et n'imagine pas qu'elle puisse avoir d'autre origine que sa personnalité propre. La dysthymie n'est qu'un état conséquent à une enfance partiellement en souffrance et ne peut être considérée comme un aspect intrinsèque de la personnalité. La prise de conscience du ou des trauma permet au dysthymique de réintégrer et réinvestir l'intégralité de son psychisme. Néanmoins il peut rester sujet à la dysthymie tant que l'on n'observe pas une réelle consolidation par une démarche de découverte et de reconstruction de la partie du psychisme en souffrance. La découverte peut se faire partiellement ou en totalité pendant la période de travail de reconstruction. La chronologie n'est pas un signe de guérison. Néanmoins le préambule de la guérison s'observe lorsqu'il y a des actions de consolidation de la part du patient. Les rechutes sont possibles mais moins dangereuses compte tenu que le patient prend soin de lui et possède la volonté de comprendre la structure psychique partielle qui ampute et prend le dessus sur sa véritable personnalité.



J'AI TROUVE CA???? Tu dois déjà savoir???


amitiés

Agrégo
 
#14
Définition[modifier | modifier le code]

La dysthymie (ou trouble dysthymique) est une forme de dépression atténuée et chronique produisant une souffrance significative. Ce terme a été introduit en 1980 dans le DSM-III. Auparavant, ces troubles ont été tantôt considérés comme des troubles de l'humeur, tantôt comme des troubles de la personnalité : on a parlé par exemple de « névrose dépressive ». On peut en rapprocher également certains troubles névrotiques comme la neurasthénie ou la psychasthénie[3].
La dysthymie peut être liée à une structure peu favorable au développement positif de l'enfant : violences, incestes, guerres, carences affectives importantes, timidité extrême. L'enfant tend à considérer ces faits comme normaux et finit par les banaliser et les intégrer à sa structure psychique. Si l'enfant ou l'adulte ne sont pas pris en charge les risques de destruction, d'autodestruction ou de suicide sont très importants. Il est possible pour la personne atteinte de dysthymie de reconnaître les signes avant coureurs tel que fort sentiment de tristesse, abattement, vision très pessimiste de l'avenir, isolement... Pour l'enfant il est conseillé dans la mesure du possible une assistance éducative, un environnement assaini, un espace d'expression, des longues périodes de loisirs, un soutien moral, un suivi scolaire et un suivi thérapeutique. Pour l'adulte un suivi médical est absolument nécessaire : les anti-depresseurs et somnifères de dernière génération sont fortement conseillés durant les périodes de crise ainsi que les thymo-régulateurs de seconde génération. Une stricte hygiène de vie, une longue thérapie, un réel apprentissage des relations sociales saines et tendant à renforcer l'estime de soi ainsi que le B.A. BA de la pensée positive sont indispensables pour réapprendre à vivre au côté des carences et traumatismes anciens. Il est vital pour le dysthymique enfant ou adulte de prendre conscience des traumatismes et des conséquences réelles sur son existence car le dysthymique a tendance à minimiser voire ignorer les traumatismes et l'ampleur de leurs influences sur sa structure psychique. Il tend à penser que cette structure transitoire est innée et définitive et n'imagine pas qu'elle puisse avoir d'autre origine que sa personnalité propre. La dysthymie n'est qu'un état conséquent à une enfance partiellement en souffrance et ne peut être considérée comme un aspect intrinsèque de la personnalité. La prise de conscience du ou des trauma permet au dysthymique de réintégrer et réinvestir l'intégralité de son psychisme. Néanmoins il peut rester sujet à la dysthymie tant que l'on n'observe pas une réelle consolidation par une démarche de découverte et de reconstruction de la partie du psychisme en souffrance. La découverte peut se faire partiellement ou en totalité pendant la période de travail de reconstruction. La chronologie n'est pas un signe de guérison. Néanmoins le préambule de la guérison s'observe lorsqu'il y a des actions de consolidation de la part du patient. Les rechutes sont possibles mais moins dangereuses compte tenu que le patient prend soin de lui et possède la volonté de comprendre la structure psychique partielle qui ampute et prend le dessus sur sa véritable personnalité.



J'AI TROUVE CA???? Tu dois déjà savoir???


amitiés

Agrégo

Tu as trouvé la même chose que moi!
Mais grâce à la médication et à mon psy, ainsi que la technique de l'ACT (ACcepTation et ACTion) je vais déjà beaucoup mieux!
L'hiver dernier est déjà loin de moi... heureusement!
Belle soirée!
Mon amitié,
MB xx
 

Philaly

Maître Poète
#16
En peu de mots, tu vas à l'essentiel !
j'adore cette citation qui dit : "la solitude est très belle, surtout si on a quelqu'un à qui le dire"... c'est le cas ici sur Créa...
il vaut mieux en faire une alliée plutôt qu'une ennemie...

Mes définitions, qu'on ne trouvera pas dans les encyclopédies...mais justes issues de situations observées de la vie quotidienne :
LA SOLITUDE
La solitude, c’est de n’avoir seulement que des collègues de bistro
Toujours prêts pour un verre en fin de journée
Toujours partants pour une nouvelle tournée
Mais, lorsque c’est d’un ami qu’il nous faut, ils ne sont pas dispos.


La solitude, C’est se trouver là, perdu, au milieu d’une foule immense
Sans pouvoir toucher ou voir à la ronde
L’être que nous aimons le plus au monde
Parce que le regard ne suffit pas à embrasser une telle distance.

La solitude, c’est n’est pas tant de devoir partager son quotidien
Avec quelqu’un qui ne nous aime plus
C’est être aimé d’un amour éperdu
Par une personne pour qui on a plus de désir mais qui s’acharne pour rien.

La solitude, ce n’est pas seulement sentir le manque d’être deux
Quand on voudrait que ce quelqu’un soit là
Mais c’est d’avoir cette personne près de soi
Et malgré tout l’amour qu’il donne ne pas réussir à être heureux.

La solitude ce n’est pas de vivre avec un sourd ou mal entendant
Qui ne nous entendra jamais lui dire « je t’aime »
Mais c’est qu’on ne voit pas où est le problème
De ne pas combler par des gestes ces silences assourdissants.

La solitude, c’est sentir la rigueur de l’hiver même quand il fait chaud
Par les paroles d’une froideur à vous glacer les sangs
Ou c’est le l’étouffement muet des non–dits, des blancs
A faire la sourde oreille, on casque lorsque s’installe le froid par gel des mots.


La solitude, ce n’est pas que d’avoir à pleurer tout seul chez soi
Mais c’est surtout de n’avoir personne
Qui essuie les larmes à l’autre bout du téléphone
Alors qu’on a des contacts, des numéros qui débordent de notre agenda.


La solitude, c’est ne pas prêter attention, une main, un sourire.
A quelqu’un qui les demande dans la rue
Par peur qu’ils ne nous soient jamais rendus
Et ne pas voir la joie dans les yeux de celui à qui on vient d’offrir.

La solitude, c’est de passer distraitement par le cours de la vie
Comme si on passait tout simplement par là
Errant seul, sans but précis ici-bas
Et n’avoir vécu que des regrets de ne pas être allé au bout de ses envies.


La solitude, c’est sentir au fond de soi le vide de l’existence
De n’avoir pas réalisé un unique de ses rêves
Dans cette vie qu’on ne pensait pas si brève
C’est d’avoir laissé l’amour dormir et ne pas avoir connu l’éveil des sens.

PHILALY – OCT 2012
2 bises... une seule en mourait de solitude ! lol
 
#17
En peu de mots, tu vas à l'essentiel !
j'adore cette citation qui dit : "la solitude est très belle, surtout si on a quelqu'un à qui le dire"... c'est le cas ici sur Créa...
il vaut mieux en faire une alliée plutôt qu'une ennemie...

Mes définitions, qu'on ne trouvera pas dans les encyclopédies...mais justes issues de situations observées de la vie quotidienne :
LA SOLITUDE
La solitude, c’est de n’avoir seulement que des collègues de bistro
Toujours prêts pour un verre en fin de journée
Toujours partants pour une nouvelle tournée
Mais, lorsque c’est d’un ami qu’il nous faut, ils ne sont pas dispos.


La solitude, C’est se trouver là, perdu, au milieu d’une foule immense
Sans pouvoir toucher ou voir à la ronde
L’être que nous aimons le plus au monde
Parce que le regard ne suffit pas à embrasser une telle distance.


La solitude, c’est n’est pas tant de devoir partager son quotidien
Avec quelqu’un qui ne nous aime plus
C’est être aimé d’un amour éperdu
Par une personne pour qui on a plus de désir mais qui s’acharne pour rien.


La solitude, ce n’est pas seulement sentir le manque d’être deux
Quand on voudrait que ce quelqu’un soit là
Mais c’est d’avoir cette personne près de soi
Et malgré tout l’amour qu’il donne ne pas réussir à être heureux.


La solitude ce n’est pas de vivre avec un sourd ou mal entendant
Qui ne nous entendra jamais lui dire « je t’aime »
Mais c’est qu’on ne voit pas où est le problème
De ne pas combler par des gestes ces silences assourdissants.


La solitude, c’est sentir la rigueur de l’hiver même quand il fait chaud
Par les paroles d’une froideur à vous glacer les sangs
Ou c’est le l’étouffement muet des non–dits, des blancs
A faire la sourde oreille, on casque lorsque s’installe le froid par gel des mots.


La solitude, ce n’est pas que d’avoir à pleurer tout seul chez soi
Mais c’est surtout de n’avoir personne
Qui essuie les larmes à l’autre bout du téléphone
Alors qu’on a des contacts, des numéros qui débordent de notre agenda.


La solitude, c’est ne pas prêter attention, une main, un sourire.
A quelqu’un qui les demande dans la rue
Par peur qu’ils ne nous soient jamais rendus
Et ne pas voir la joie dans les yeux de celui à qui on vient d’offrir.


La solitude, c’est de passer distraitement par le cours de la vie
Comme si on passait tout simplement par là
Errant seul, sans but précis ici-bas
Et n’avoir vécu que des regrets de ne pas être allé au bout de ses envies.


La solitude, c’est sentir au fond de soi le vide de l’existence
De n’avoir pas réalisé un unique de ses rêves
Dans cette vie qu’on ne pensait pas si brève
C’est d’avoir laissé l’amour dormir et ne pas avoir connu l’éveil des sens.


PHILALY – OCT 2012

2 bises... une seule en mourait de solitude ! lol


Vraiment, vraiment beau tout ça!
Merci pour le partage!
Belle soirée en ta vie,
Mes amitiés,
MB xx
P.S.: 2 bises! ;-)
 

evesansadam

Maître Poète
#18
Oui Comme cela a été dit , "il y a solitude et solitude "
Celle qui pèse , qu'on ne veut pas , qu'on veut transformer et puis la solitude embellie , celle qui fait du bien , qui devient notre amie, celle qu'on vit bien quoi , qu'on a un peu choisie ...
Beaucoup envient les gens seuls , contrairement à leur vie mouvementée , pleine de malheurs parfois .....
Savoir l'apprécier cher ami , et çà coule de source quand on a connu violences , insultes ,dévalorisation ....
C'est vrai ,le silence , la paix est bien préférable à tout çà , Qui oserait penser et dire le contraire ?
Bonne continuation et courage à toi si tu en as besoin
Bise amicale
Eve
 
#19
Oui Comme cela a été dit , "il y a solitude et solitude "
Celle qui pèse , qu'on ne veut pas , qu'on veut transformer et puis la solitude embellie , celle qui fait du bien , qui devient notre amie, celle qu'on vit bien quoi , qu'on a un peu choisie ...
Beaucoup envient les gens seuls , contrairement à leur vie mouvementée , pleine de malheurs parfois .....
Savoir l'apprécier cher ami , et çà coule de source quand on a connu violences , insultes ,dévalorisation ....
C'est vrai ,le silence , la paix est bien préférable à tout çà , Qui oserait penser et dire le contraire ?
Bonne continuation et courage à toi si tu en as besoin
Bise amicale
Eve

Merci pour ton passage sur ma page!


Oui! Je vais mieux! Mais le jour a été longtemps... sombre!

Mes énergies sont de retours, ma joie de vivre, ma forme générale et ma bonne humeur!

Mes amitiés,

Bises amicale retour ( pas dans le sens de te les retourner sans en vouloir, mais dans le sens de ma bise à moi que je te donne, après avoir accepté la tienne! ;))

MB xxx