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Ah ! Quand l’extrait de pastiche rit !

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#1
Ah ! Quand l’extrait de pastiche rit !

*** L’extrait «OR » pour le trésor

Les couloirs sans issue! (Lilasys)

Bienvenue en ce lieu que je nomme la cité de la joie
Là où se rencontrent les pêcheurs sans plus aucune ligne de conduite
Ce lieu oublié de tous les dieux mais qui porte une croix
Celle de mourir sans dignité et sans se payer une dernière cuite

Le boudoir incongru ! (Luron1er)

Un salut de ton vieux qui déconne sans citer sa voix,
Ici, toujours contre les prêcheurs de signes qui mettent en fuite,
Le vieux oublié dans tous tes cieux, de la sorte, ton choix,
Celui qui pour un sourire, une pitié à rayer dans ta futur suite.


*** L’extrait «PAN » avec le trépan

LES LARMES N'ONT PAS DE COULEUR. (Lilasys)

Elles peuvent ressembler à un ruisseau qui coule
A un océan qui s'emporte en furie, en colère
Elles peuvent avoir la douceur d'une mère
Mais pourquoi sont-elles toutes du même moule ?


LES ARMES NE SONT PAS DES COULEUVRES. (Luron1er)

Elles veulent s’assembler en souriceau en boule,
En un océan qui s'exporte de furie, de colère,
Elles veulent savoir la douleur de l’amer,
Mais pourquoi font-elles l’ennui de toutes les foules ?



*** L’extrait «TÔT» pour les tréteaux

PARLEZ MOI D'AMOUR.
VERSION AMOUR /VERSION HUMOUR (Lilasys)

Quand votre regard croisera le bien ,parlez moi d'amour
Lions à jamais nos chemins ,,parlez moi d'amour
Avec vos lèvres avec vos mains ,parlez moi d'amour
Venez vous perdre entres mes reins ,parlez moi d'amour

JACTEZ MOI L'HUMOUR.
VERSION HUMOUR /VERSION AMOUR (Lilasys)

Quand votre renard croassera si bien, jactez-moi l’humour,
Rions à jamais de notre carmin, jactez-moi l’humour,
Avec l’élève dès le lendemain, jactez-moi l’humour,
Venez vous pendre entres ses seins, jactez-moi l’humour.

*** L’extrait «FOND» dans les tréfonds



Au nom des mes amours de parents ! (Lilasys)

J'ai pleuré tant de fois que seul Dieu sait
Moi qui ne met jamais les bras en croix pour un décès
J'ai perdu tant d'amour au fond de ce trou noir
Que personne peut me mettre à genoux pour croire
Je ne peux oublier leurs visages, l'amour
Ils m'ont pris en cage mes vieux ces vautours
Je préfère oublier le lieu de leur dernière vie
A part que Dieu me dise qu'il existe un paradis
J'ai vu des choses étranges au fond de mes yeux
On peut me dire folle mais j'ai senti leurs voeux
Je ne sais pas , je ne sais plus la vérité
Pour cela il me faudrait au moins leur parler
Je les aime si fort que tous disent que j’hallucine
A la même heure, ils viennent et me câlinent
J'ai pas peur , ceux sont mes parents en colère
Souvent, parfois parce que je hais les prières
Je les connais toutes, mais j'ai plus envie
De prier un Dieu qui m'a laissé dans mes cris
Pourtant ces ombres s'obstinent dans le noir
De vouloir me faire prier et baiser le grimoire
Peu importe si ma vie cesse demain ou dans une heure
Mourir n'est rien quand saigne la profondeur du coeur
J'ai envie de dire à tous les croyants de la terre
Avez-vous au moins une preuve de Dieu ou de l'enfer ...


Au son de mon humour sans accent ! (luron1er)

J'ai rigolé tant de fois que seul un vieux fait,
Moi qui ne met jamais en bas le choix des excès,
J'ai voulu tant d'humour qu’au fin fond, tu peux voir,
Que résonne ceux qui permettent au fous de vouloir,
Je n’veux pas oublier les virages de l’ humour,
Ils sont mépris en charge des cieux du pourtour,
Je préfère restituer les lieux de leur première envie,
Et part ce vieux, me contredise en mal d’un panaris,
J'ai lu les roses étranges au profond d’mon p’tit vieux,
On peut lui dire : colle, j'ai ressenti l’envieux,
Je ne fais pas, je fais le plus d’amitié,
Pour cela, il me faudrait un peu moins jacter,

Je l’anime en fort quand tous médisent de lettres si fines,
Du bonheur, ils deviennent et se débinent,
C’n’est pas l’heure, elles sont mes paroles d’écolière,
Souvent, parfois parce que je fais des surenchères,
Je les reconnais toutes, mais préfère la vie,
De t’approprier un vieux qui t'a laissé tous ces écrits,

Pourtant tu sombres et t'obstines sans rien voir,
De pouvoir faire chavirer et biaiser mon grimoire,
Peu importe l’envie régresse des mains ou du labeur,
Sourire n'est rien quand baigne en profondeur ma sœur,
Quand l’envie de te lire est chatoyante de le faire,
Devenez au moins comme une pieuvre sans Dieu, sans s’en faire.

*** L’extrait «PAS » avec le trépas

Le langage d'une fleur (Lilasys)

Le mot aimer par le langage d'une douce fleur
Cueillir une marguerite,la tenir dans sa main
Elle se laisse effeuiller pour le pire le meilleur
Laisser le rêve espérer, aimer un futur chemin

Le tangage m’effleure. (Luron1er)

Le mot animer est mon tangage qu'une rousse m’effleure,
Recueillir de la mare un rite, retenir sans le malin,
Qui nous laisse farfouiller pour le rire du pilleur,
Lasser d’une trêve, exaspérer, animer nos futurs carmins.


*** L’extrait «PIGNE » qui trépigne.


La captive du palais d'été (Lilasys)

L'ardeur du soleil se voilait sous les palmiers
Où coulent des fontaines berçant de douces mélodies
Le parfum du jasmin, chévrefeuille enivraient de beautés
L'exubérante floraison, de vols d'oiseaux, papillon d'oubli

La rétive au palet testé. (Luron1er)

L'odeur du sommeil dévoilait mes sous premiers,
Roucoule ma châtaigne versant ma douce maladie,
Son odeur d’oseille à la feuille enivrant ma pauvreté,
L'abondante moisson, d’un vol de sot, roupillon sans oubli.

*** L’extrait «VISE » de Trévise.

Putain que c'est bon le pinard ! (Lilasys)

Je suis là assise sur le trottoir du Monoprix
La main tendue pour le bon coeur de quelques pièces
Une bouteille de pinard ,comme à la guerre une eau-de-vie
Pour que le froid de l'hiver ne gerçe pas mes fesses
Ils sont nombreux les passants,…………………..

Catin que fais-tu au plumard ! (Luron1er)

Tu est là debout sur ce trottoir annonçant ton prix,
La robe fendue pour le bonheur et quelques pièces,

Le sommeil du plumard, comme le repos du beau de la vie,
Sans que le froid de l'hiver ne perce pas tes fesses,
Ils sont nombreux se lassant…………


*** L’auteur trépigne à Trévise, il découvre très tôt, aux tréfonds avec son trépan les trésors du trépas.

Voyage sur la toile du poète

Les pages volantes se noircissent de crayons capricieux
Envahissent de nouveauté , de voyages , de fleurs par centaines
La raison récuse cette folie de fines porcelaines
Sur les monts rocheux pleins de souvenirs sans dieux

Vois l’âge sous ton voile, j’me la pète.

Les sages voyantes se blanchissent sous des hayons vicieux,
Enhardissent les nouveaux nés, de passages aux malheurs sans fredaine,
La maison accuse les jolies frimes sans bas de laine,
Sur leurs fronts coquins sans sous venir des cieux.


*** Aux tréfonds de Trévise, l’auteur trépigne, des tréfonds, il découvre très tôt les trésors du trépas avec son trépan.

Trésors oubliés dans un vieux port ! (Lilasys)

Les pas aveugles mènent le pèlerin au bout du monde
Où les eaux troubles d'un vieux port reflètent l'ennui
L'ingratitude des hommes qui passent et ne s'innondent
De ces vieux rêves d'aventure qu'ils couvrent de mépris


Tribords goupillés d’un vieux porc ! (Luron1er)

Les bas qui beuglent, amènent au pétrin un goût de ronde,
Où les beaux se troublent d'un vieux porc, la défaite et l'ennui,
La gratitude des femmes ne dépasse pas, mais se sonde,

Comme ces vieux, une trêve devanture se découvre au mépris.

***

La vieille.....(Lilasys)

Elle est toute petite ridée avec ce regard pétillant et complice
Une canne pour appui fatiguée et son sac à malices
Elle fait le va et vient dans ses vieilles et trop grandes charantaises
Cherchant une amie un aimé pour conter encore des foutaises

La veille..... (Luron1er)

Elle est toute menue, bridée, le regard sommeillant, son front plisse,
Une vanne pour rester éveillé vers son lac et sa lice,
Elle va, elle vient sans merveilles en trop grandes parenthèses,
Recherchant la mie de l’armée pour raconter toujours des fadaises.

 

lilasys

Maître Poète
#2
Enfin de retour ! , l'artiste Luron
la piste aux étoiles peut s'ouvrir !

gros bisous
 

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#3
Une piste aux étoiles ou resplendissent les mots et les maux de tes nuits. Ceux que je veux détourner pour ajouter la joie.
 
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