........(redif . écrit en 1995)...........
Lambeaux de brume blanche, écharpes ouatées
Cachent les spectres des maisons de brique rose
Les canaux sont en glace , Bruges se repose
L'hiver qui l'a prise , semble l'envoûter
L'eau ne paresse plus au long des quais déserts
Elle ne se presse plus ,le long des ponts bossus
Seul, le beffroi sonne à chaque heure qui n'est plus
Nous rappelle sans cesse le temps qui se perd
La ville est charmante toute ourlée de givre
Elle, tout à la fois, mystérieuse, belle
Elle veut nous conter,ce qu'hier a fait d'elle
Le Venise du Nord qui continue à vivre
Il y a trés longtemps ,les marchands de la laine
Et des beaux draps de lin, étaient Rois de ces lieux
Ils ont donné leur Or, pour que plus tard , nos yeux
Gardent le souvenir de l'Art pur , sans haine
Deux grandes cathédrales, recèlent des merveilles
Que tout musée au monde voudrait bien avoir
Michel Ange a taillé la Vierge en de longs soirs
On dirait , dans ses bras, l'enfant qui s'éveille
Chaque maison, chaque rue semblent surgir
D'un passé qui serait resté dans le présent
Et tant, les canaux n'iront pas se comblant
Bruges, la Millénaire ne voudra mourir
Bruges ..Tu nous fais leçon ,du respect des Anciens
Ceux qui savaient construire pour un temps éternel
Ceux qui avaient appris à respecter le ciel
Où chacun travaillait, pour le bonheur des siens
Aujourd'hui, prisonniers des passions viles
Nous courons dans ces rues, avec la foule dense
Nous croyons avoir tout vu ..Quelle impudence !
Alors que la Patience est la clé de la ville
Oh ! Bruges..la Superbe, Oh ! belle maitresse
Dis nous, comment mieux te découvrir
Dis nous ,les leçons qui pourraient nous ouvrir
Les portes bien cachées de la Grande Sagesse............
Lambeaux de brume blanche, écharpes ouatées
Cachent les spectres des maisons de brique rose
Les canaux sont en glace , Bruges se repose
L'hiver qui l'a prise , semble l'envoûter
L'eau ne paresse plus au long des quais déserts
Elle ne se presse plus ,le long des ponts bossus
Seul, le beffroi sonne à chaque heure qui n'est plus
Nous rappelle sans cesse le temps qui se perd
La ville est charmante toute ourlée de givre
Elle, tout à la fois, mystérieuse, belle
Elle veut nous conter,ce qu'hier a fait d'elle
Le Venise du Nord qui continue à vivre
Il y a trés longtemps ,les marchands de la laine
Et des beaux draps de lin, étaient Rois de ces lieux
Ils ont donné leur Or, pour que plus tard , nos yeux
Gardent le souvenir de l'Art pur , sans haine
Deux grandes cathédrales, recèlent des merveilles
Que tout musée au monde voudrait bien avoir
Michel Ange a taillé la Vierge en de longs soirs
On dirait , dans ses bras, l'enfant qui s'éveille
Chaque maison, chaque rue semblent surgir
D'un passé qui serait resté dans le présent
Et tant, les canaux n'iront pas se comblant
Bruges, la Millénaire ne voudra mourir
Bruges ..Tu nous fais leçon ,du respect des Anciens
Ceux qui savaient construire pour un temps éternel
Ceux qui avaient appris à respecter le ciel
Où chacun travaillait, pour le bonheur des siens
Aujourd'hui, prisonniers des passions viles
Nous courons dans ces rues, avec la foule dense
Nous croyons avoir tout vu ..Quelle impudence !
Alors que la Patience est la clé de la ville
Oh ! Bruges..la Superbe, Oh ! belle maitresse
Dis nous, comment mieux te découvrir
Dis nous ,les leçons qui pourraient nous ouvrir
Les portes bien cachées de la Grande Sagesse............