CONCOURS « Étoile »
Thème retenu d’après suggestion de Mys Terre
Du 7 juillet au 17 juillet
Résultats le 19 juillet
Envoi de vos poèmes en copier/coller sur mon MP
Thème : qu’elle soit de neige, d’or, filante, bonne ou mauvaise, laissez-vous guider par ce mot " étoile"
Contrainte : forme libre mais rimes obligatoire
20 vers au minimum
Attention à l’orthographe et à la ponctuation !
Vos poèmes seront notés comme à l’accoutumée avec impartialité et dans le respect total des consignes.
Chef de jury : Llumierelive
Si vous souhaitez faire partie du jury me contacter sur mon MP
A tes côtés ta petite fille
Baisers soufflés........
Attention : le son é ne rime pas avec ait, très émue en cette lecture
Thème parfaitement maitrisé, superbe, les images sont très fortes, fort beau panel de sentiments au travers de strophes magnifiquement écrites
Emouvant, belle inspiration
Beaucoup d’émotion
*********************
4 J'ai effleuré une étoile COLOMBE67 7.18
Qui des deux sera l’Étoile montante sous l'ardente
Arène , ceinte de prie-dieu mais noyée de fientes
Sous la foule transpirante et délirante de l'aficionado
Que d'efforts ,de discipline , que de sang transpiré
Pour être le meilleur le danseur Étoile doit maîtriser
Remets cent fois sur le métier..la badine va cingler
Aspires-tu petit rat devenir de l'Opéra le Chat botté
Pour devenir Étoile ,tu donnes ta sueur et ton sang
Toucher la perfection, féroce combat à plein temps
Briller au regard du monde ,requête discipline,humilité
Les Étoiles sont les yeux des Stars récompensées
Étoile et sang , deux mots mariant le succès
L'impalpable par le palpable côtoyant nos vies
Où ,comment le rêve ,l'inaccessible galaxie
S'imbrique en jet lumineux à un sang couronné....
Beaucoup trop de répétitions, ça gâche le plaisir de lecture, les images sont belles mais l’usage de plusieurs synonymes aurait subjugué le poème
Très belles idées mais qui auraient pu être enrichies par une ponctuation plus abondante, beaucoup de répétitions, attention à l’orthographe
« Subtancent » et « frétillante » ne riment pas ainsi que « succès » ( son ai) et « couronné » son é
Magnifique, porte à méditer
***********************
7 Parmi les étoiles FINOU 7.25
Le soleil est parti
Laissant place à la nuit
Nous dévoilant son tapis magique
Tissé de mille étoiles féeriques
Une plus grosse doucement s’instille
Je la regarde est mes yeux brillent
Avec tant de souvenirs dans la tête
Difficile pour moi d'être de la fête
Quand, tout à coup une étoile filante descend
Je fait un vœu fou, irréel, fermant les yeux, je te sent
Les mains tendues vers toi, gardant les yeux fermés
J'attends un geste ou ton odeur parfumée
Faites que mon vœux se réalise
En ouvrant les yeux rien ! je démoralise
Et m'enferme dans ma chambre, pensant à toi
Levant les yeux vers le toit
J’aperçois un nid d'étoiles, me demandant
Si, tu as trouvé ton bonheur en dedans
Tu me manques tant mon frère d'amour
Étoile de mon cœur, gravée en moi
... Pour toujours ...
Manque une rime au dernier quatrain
Quelques rimes pauvres ( nuit/ parti) attention à l’orthographe, fin émouvante
Rimes oubliées dans la dernière strophe, attention à l’orthographe…Bel hommage à un frère qui rejoint la constellation…La douleur est hélas toujours la plus inspirante des muses
Belle émotion
********************
8 Mon étoile... JANU 8.02
L'étoile est apparue elle me faisait signe
Que la vie continue et qu'elle en reste digne
Depuis ton grand départ je vis un cauchemar
Et dans ces jours funestes je suis dans le coaltar
Déjà de ton vivant tu étais mon étoile
J'étais le plus heureux quand tu me souriais
Et quand tes jolis yeux qui sur moi se posaient
Étaient emplis d'amour, je mettais à la voile
Que de ciels étoilés nous avions contemplés
Serrés l'un contre l'autre un bonheur centuplé
Face à une mer très calme au clapotis des vagues
D'autres fois déchaînée elle gronde et divague
Un jour par le desert nous fûmes séparés
Atmosphère transparente en distances faussées
Au son des tambourins et lente mélopée
Je cherchais la polaire pour de toi m'approcher
Retours éblouissants et le ciel à nouveau
Bénissait notre amour tout était très beau
Jusqu'à ce jour maudit où un petit microbe
A rongé ton cerveau et tout ce qu'il englobe
Les jours, les trop longs jours qui se sont ensuivis
Je n'avais qu'une idée c'est aller te rejoindre
Mais ma pauvre Maman avait beaucoup d'ennuis
Et ce grand Devoir là ne pouvais le restreindre
Une année est passée retour au grand désert
Et dès le premier soir j'ai retrouvé l'étoile
Impavide elle brillait dans une nuit sans voile
Et à la contempler plus d'idées suicidaires...
Poème émouvant mais style un peu lourd… « Suivis » et « ennuis » se qualifient en rimes pauvres
Fort émouvant
Très beau et émouvant
Ponctuation mal maîtrisée, un bel hommage à un être cher comme pour nous rappeler que chaque âme est un astre qui prépare son grand voyage
*************
9 Les trois étoiles ROSESILENCIEUSE 8.61
médaille d'or
Sous la voûte étoilée, voyez qui se promène
Au début de l'été, voilà que se démène
Jolie maman étoile, lutte contre le vent très fort
Vient de perdre son voile, sur sa chevelure d'or.
Puis l'azur s'assombrit, un orage éclata
L'un des enfants surpris, dans l'océan tomba
La maman affolée, essaya de lutter
Dans les courants bleutés, elle ne put retrouver,
Sa « Petite Lumière », devenue maintenant
Jolie étoile de mer, dans le grand océan
Qui regarde tous les soirs, vers le ciel étoilé
Si elle y aperçoit, sa sœur « cheveux dorés »
Voilà un sort cruel, pour un drôle de destin
Qu'une étoile du ciel, vive dans les fonds marins
Se demandant si elle, restera là toujours
Dans la grande bleue si belle, trouvera t-elle l'amour?
C'est la fin de l'été, elle pense à sa maman
Et à « cheveux dorés », restées au firmament
En regardant la lune, elle espère chaque soir
Pour que vienne enfin l'une, briser son beau miroir.
Écoutez bien ceci, sous la voûte étoilée
Une comète file aussi, plonge dans l'obscurité
Attrape l'étoile de mer, en faisant une prière
Et remonte vers sa mère, la douce « Petite Lumière »
Les voilà réunies, rayonnantes d'amour
Dans leur grand paradis, elles resterons toujours
Dans l'immense voix lactée, les trois jolies étoiles
Loin de la terre bleutée, viennent de mettre les voiles.
Magnifique conte
Très beau conte
La répétition des mots « étoiles/ étoilé plombe le poème, thème bien abordé, l’image de la mue de l’étoile est séduisante mais la fin fait un flop
Belle légende mais gardez la même concordance de temps
********************
10 L’étoile du berger LILASYS 8.41 médaille de bronze
Il y a bien longtemps, au temps des grands mystères
Vivait un berger amoureux d’une bergère
Chacun dans sa vallée, auprès de son troupeau,
Chantait un madrigal que renvoyait l’écho
Et de cime en cime leur chanson s’envolait
Et d’un cœur à l’autre l’amour se déversait.
Chacun gardant fortune, à l’autre pensait
Et sous clair de lune, leur romance, dansait
Aux vents de l’Automne, une meute assassine
Vint à franchir le gué de la vallée voisine
La bergère ; Au loup ! S’écria aussitôt
Mettant en déroute le grand et beau troupeau
Aussitôt le berger s’élança dans la plaine
Dans la nuit noire le massacre commença,
Au pré, les noirs bandits s’en donnaient à cœur-joie
Tandis que notre héros courait à perdre haleine
L’écho renvoyait les cris de l’affreux combat
Que supportait la belle pour sauver sa vie
Notre bel amoureux était dans l’embarras,
Dans la nuit noire, savoir d’où venaient ces cris
La belle est au Nord mais comment la secourir ?
Quand le soleil luit on peut suivre le chemin
Sans lumière, il doit se fier au destin
Ainsi toute la nuit, notre héros dû courir
Vint à se lever l’aube d’un triste matin
Sur le pré, encor’ rose, sa belle gisait
La gorge encore chaude, la griffe qu’un mâtin
Avait déchirée, d’où son sang coulait
Voir son amour, là, mort, un grand cri démentiel
Le cœur de notre ami, à cette vue explose,
C’est depuis que, la nuit, à regarder le ciel
Une étoile brillante le chemin propose
C’est depuis ce jour-là que, dans les hauts alpages,
Quand survient l’Automne, dans les vallées et plaines
Un cri de grande douleur et d’immense rage
Exprime, du berger, sa tristesse et sa peine
Son coeur ne supporta voir sa belle périr
Et dans un affreux cri, en deux, se déchira
Leur histoire d'amour vint, ainsi, se finir
Naissant, une autre étoile, au noir du ciel, brilla
Une belle légende, style des plus harmonieux
Histoire bien contée
Le récit est long avant d’atteindre l’étoile, une fable d’amour qui présente de belles choses en dépit de lourdeur dans certains vers
Histoire passionnante et très originale
*******************
11 L'étoile... LILASYS 7.62
Par une plaie, son sang coulait
Mais la pauvre bête gardait volonté farouche
Et bien qu'elle senti qu'elle se mourrait
Refusait que j'approche et la touche,
Avec patience, amour et ténacité
Je parvins à dompter sa peur
Entre nous, s'installa une complicité
Qui lui fit oublier le chasseur
J'ai veillé des jours sur son faible état
Faisant de mon mieux pour la soigner
Lui éviter tout ennui et tracas
Afin qu'elle puisse récupérer
Sa blessure au corps se referma
Mais elle garda la cicatrice au cœur
Si de mon geste, elle me remercia
A ma race, elle garda rancœur
Puis vint le jour de la guérison
Ayant retrouvé sa force et sa vigueur
En quelques bonds, elle disparut à l'horizon
En emportant avec elle mon bonheur
Depuis ce jour, les soirs où la lune se dévoile,
Lorsque ce vide remplit mon esprit de nuages
Je hurle au ciel ma colère et ma rage
D'avoir perdu de mon destin, l'étoile...
Où es-tu ma biche ?
Un peu éloigné du thème
Gare au 1er vers : le sang coule toujours d’une plaie, l’étoile est un peu « filante », aucune recherche dans le titre…
Belle légende
****************
12 Chemin d’étoiles… TIERAM 8.28
Cette nuit, ils ont pris le chemin des étoiles,
Lentement par la main, elle a tenu leur cœur
Jusqu’au matin le ciel a rêvé ce bonheur,
L’amour de deux enfants aux heures joviales
Le soir a déposé quelque peu ses doux voiles
Sur les corps enlacés tous vont de sa rancœur
La différence c’est qu’ils n’ont que leur honneur,
La couleur et leur foi ne sont leurs idéales.
Rien n’est tout noir ou blanc à choisir de ces vœux
Musulman ou chrétien un souhait pour tous ceux
Qui voudront partager l’espoir d’une autre vie
Ce mélange étonnant frappe ainsi vos maisons,
À jamais vous pourrez détourner les raisons
Qui vous font tant trembler et nul ne vous envie.
Dépasser les rumeurs qui restent si banales
D’un regard consenti pour ce tendre rêveur
Et donner à chacun la soif d’une faveur
Pour taire l’océan aux écumes royales.
Les hommes font la loi des cérémoniales
Si pour certains se perd leur illustre rigueur
Bien d’autres ont une âme aux refrains, qui d’un pleur
Ô femmes, pensez donc, vous sont primordiales !
Chantez-vous maintenant ? Je vous fais ces aveux,
En ce jour méritant en chacun mes adieux
Je reviendrais peut-être et seule je n’oublie
Le chemin, qui m’appelle, a d’autant d’oraisons
D’où me poussent ces pas en des vertes saisons
En mon for, j’ai l’espoir d’une muse anoblie…
Forme majestueuse mais un peu loin du thème malgré le premier quatrain…la notion d’étoile n’est pas assez accentuée
Belle écriture
Poème difficile à cerner d’autant plus que le thème est peu mis en avant
Histoire poignante malheureusement réelle, bel écrit
***************
13 Le dernier dromadaire PAT38 7.15
Je veux croire à la bonne étoile
Celle qui brille et dévoile
Les rêves comme cette nuit ou l'homme a jeté
A l'océan une pluie de larmes et de regrets....
Sur le sable ocre de Ténéré
L'éleveur nomade a laissé sa fierté
Quelle période difficile et dure !
Il a perdu force et gaîté au bleu de l'azur
La terre craque, le vent implore jusqu'à gémir
Vers la ville indifférente , loin de l'aïr
Homme bleu ! Disparaît ton unique source
Et emporte des campements dans sa course
Près du feu avec tes frères au soleil couchant
Autour d'un dernier thé parfumé et brûlant
Sous l'unique arbre maigre tortueux
Il te faudra quitter le désert devenu creux
Bientôt l'état d'urgence !!
Ne plus avoir d'eau est la plus grande souffrance
A Niakanfé, derrière l'étal en attendre l’acquéreur
Et te séparer de l'ami de toujours à contre cœur...
Loin du thème
L’étoile fait ici sa traversée du désert, les métaphores sont pauvres et le rythme décousu, le titre est hors sujet
Poème superbe, limite hors sujet
**************
14 L'astre de l"amour REVENANT 8.19
Mon ciel est troublé, depuis mon enfance
Traversé quelquefois par de rares accalmies
Où l’Etoile de l’amour avec parcimonie
Distille la joie et la condescendance.
Le froid dans le cœur et la grisaille en face
J’avance et je ne sais, que me réserve demain !
Quand je vois une lueur et que je tends la main
Tout mon corps frémit au contact de la glace
Que de fois, ai-je cru, apercevoir cet astre
Qui guérit, semble-il, les âmes endurcies,
Et apporte sans peine, la durable éclaircie
Nécessaire pour deux, à bâtir leur âtre
Je n’ai, en vérité, vu que des éclairs
Annonçant l’arrivée de terribles orages
Candide peut être, ou manquant de courage
Le mensonge m’est plus doux que la vérité amère.
Cette fois, cependant, je le vois nettement qui jaillit
Le faisceau de l’Etoile en approche
Fasciné, éperdu, je m’accroche
Un confus sentiment d’espoir m’envahit.
« Astre » et « âtre » ne riment pas…style harmonieux
Les virgules sont mal placées, poème qui traite convenablement de la crainte de l’avenir, l’amour n’étant peut être pas requis dans le titre
Excellent, de belles rimes embrassées
**************
Oasis de lumière
Nova d'or sur la toile
Éécoute ma prière
Toi qui fit mon bonheur
Offre moi chaque jour,
Illuminant mon cœur
L'éclat de ton amour
En doux éclairs de joie
Etoile vers toi je crie
Seul je suis, donne moi
Ta lumière la nuit
Mon étoile chérie
Au ciel, tu es mon phare
Lumière dans tes yeux
Unique est ton regard
Manne venue des cieux
Illumine ma nuit
Etoile dans mon cœur
Rayonne pour toujours
Etincelles d'amour
Belle prière sous forme d’acrostiche
Joli acrostiche
La phrase cachée du poème le fait sortir de l’ordinaire mais les rimes font un peu brouillonnes
Poème délicat
*******************
17 Je te suis mon étoile... JESUISPERDU 7.23
Dans la 6ème strophe il y a une rime faite avec le même mot, j’aurais aimé vivre la féerie mais je n’ai pas réussi à être transporté…
Un poème écrit à l’encre du cœur avec beaucoup d’aisance, bravo !
Effectivement dans le 6ème quatrain « yeux » rime avec « yeux »…malgré quelque lourdeur dans la forme le fond est excellent…magnifique poème empli d’espoir
Thème retenu d’après suggestion de Mys Terre
Du 7 juillet au 17 juillet
Résultats le 19 juillet
Envoi de vos poèmes en copier/coller sur mon MP
Thème : qu’elle soit de neige, d’or, filante, bonne ou mauvaise, laissez-vous guider par ce mot " étoile"
Contrainte : forme libre mais rimes obligatoire
20 vers au minimum
Attention à l’orthographe et à la ponctuation !
Vos poèmes seront notés comme à l’accoutumée avec impartialité et dans le respect total des consignes.
Chef de jury : Llumierelive
Si vous souhaitez faire partie du jury me contacter sur mon MP
Sous vos étoiles poétiques
Médaille d'or ROSESILENCIEUSE 8.61
Médaille d'argent IBOUJO 8.49
Médaille de bronze Lilasys 8.41
Médaille d'argent IBOUJO 8.49
Médaille de bronze Lilasys 8.41
1 Tes mots sont des étoiles IBOUJO 6.95
Tes mots sont des étoiles , un brillant énoncé
Ils gonflent ma grand voile et me font avancer
Ils me glissent à l'oreille que rien n'est terminé
Que la vie est soleil ,aiment à le rappeler
Toi venu de nulle part ,un soir tu apparais
Une aiguille ,le foin ,assez pour m'intriguer
En ours mal léché tu cherches à bavarder
Tes mots tendres ont l'odeur d'amitié
Tes mots dans un ciel grisé de noir cendré
Deviennent de clairs éclairs éclatés
Mille feux d'espérance tes mots mémorisés
Ardents, ils résonnent ,ardents à consommer
Une flamme d'automne inonde mon désert
Tu es là insufflant ton air à mon aire
Traversée par tes lueurs ,tes gerbes de cristal
Me parviennent comme un vent d'étoiles
Un chant de rêves d'un destin passager
Une brassée d'air chaud me tient éveillée
Me murmurent que rien est terminé
Que la vie est soleil , un brillant exposé...
Quelques maladresses de style et de rimes
Formules pompeuses, ponctuation inexistante, répétitions : 2 fois ardents dans le même vers, manque de profondeur, les mots ne font pas mouche, poème trop mécanique
******************
2 La mystérieuse, MONSIEUR BARON 7.80
Elle s’invite tout doucement,
Venant tout droit du firmament!
Elle s’illumine discrètement,
Pour le plaisir du moment!
Elle se glisse dans la nuit,
Éveillant nos rêves de minuit!
Mon regard vers elle se tourne,
Et plus jamais ne s’en détourne!
Elle est d’une fidélité incomparable,
Moi je l’aime et la trouve adorable!
Elle est source de vie dans le noir,
D’une grande beauté, tel un Renoir!
Elle m’invite pour une valse tranquille,
Lorsque dorment les gens de la ville!
Je m’enivre de cet instant magique,
Et m’invente des rêves magnifiques!
Intrigante lumière des dieux,
Qui réchauffe mon cœur bien heureux!
Je l’attends patiemment tous les soirs,
Car elle me guide et me donne espoir!
À demain, ma fidèle éclairante!
Très bel écrit
« Elle » utilisé 8 fois, pauvre en métaphores, manque d’originalité, vers et rimes peu recherchés
Bien poétique
********************
3 Mon étoile d'or IBOUJO 8.49 médaille d' argent
Tout là--haut, une étoile d'Or scintille
Un blanc de nuit en étole frôle mon corps
La lune sourit , m' houspille
Pourquoi pleures -tu petite fille
Il est tard ..Dors
Maman gît dessous le trou
Dans le froid , elle est debout
Laisse ma larme , ma peine est amère
Laisse moi verser l'Amour sur ma mère
Mon pleur est doux
Maman repose , la petite fille pleure
Prostrée dans son grand lit
Résonne la vingt quatrième heure
La porte se personnifie
Qui dans la nuit surgit?
Lève toi petite fille, ouvre vite
C'est maman , lasse d'avoir voyagé
Un voila blanc l'habite
Pour toi ma chère petite
Le tombeau j'ai quitté
Joue contre joue elles s'unissent
Dans un baiser , dans une éternité
Baisers d'Amour , jamais ne finissent
Les deux étoiles sont rassemblées
Douceur d' étreintes données
Les heures glissées
La petite fille s'éveille au lit défait
Son cil cherche , plus rien hélas
Tiédeur d'un rêve qui passe
Au froid cède la place
Son étoile dort....le coq a chanté
Sur le lit , la pluie vient de tomber
Inondé de pétales de rose
A l 'horizon bleu, le soleil parait
Elle tend la main , touche des doigts la longue , longue , longue.... forêt
Vers Toi Maman , tendres PenséesTes mots sont des étoiles , un brillant énoncé
Ils gonflent ma grand voile et me font avancer
Ils me glissent à l'oreille que rien n'est terminé
Que la vie est soleil ,aiment à le rappeler
Toi venu de nulle part ,un soir tu apparais
Une aiguille ,le foin ,assez pour m'intriguer
En ours mal léché tu cherches à bavarder
Tes mots tendres ont l'odeur d'amitié
Tes mots dans un ciel grisé de noir cendré
Deviennent de clairs éclairs éclatés
Mille feux d'espérance tes mots mémorisés
Ardents, ils résonnent ,ardents à consommer
Une flamme d'automne inonde mon désert
Tu es là insufflant ton air à mon aire
Traversée par tes lueurs ,tes gerbes de cristal
Me parviennent comme un vent d'étoiles
Un chant de rêves d'un destin passager
Une brassée d'air chaud me tient éveillée
Me murmurent que rien est terminé
Que la vie est soleil , un brillant exposé...
Quelques maladresses de style et de rimes
Formules pompeuses, ponctuation inexistante, répétitions : 2 fois ardents dans le même vers, manque de profondeur, les mots ne font pas mouche, poème trop mécanique
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2 La mystérieuse, MONSIEUR BARON 7.80
Elle s’invite tout doucement,
Venant tout droit du firmament!
Elle s’illumine discrètement,
Pour le plaisir du moment!
Elle se glisse dans la nuit,
Éveillant nos rêves de minuit!
Mon regard vers elle se tourne,
Et plus jamais ne s’en détourne!
Elle est d’une fidélité incomparable,
Moi je l’aime et la trouve adorable!
Elle est source de vie dans le noir,
D’une grande beauté, tel un Renoir!
Elle m’invite pour une valse tranquille,
Lorsque dorment les gens de la ville!
Je m’enivre de cet instant magique,
Et m’invente des rêves magnifiques!
Intrigante lumière des dieux,
Qui réchauffe mon cœur bien heureux!
Je l’attends patiemment tous les soirs,
Car elle me guide et me donne espoir!
À demain, ma fidèle éclairante!
Très bel écrit
« Elle » utilisé 8 fois, pauvre en métaphores, manque d’originalité, vers et rimes peu recherchés
Bien poétique
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3 Mon étoile d'or IBOUJO 8.49 médaille d' argent
Tout là--haut, une étoile d'Or scintille
Un blanc de nuit en étole frôle mon corps
La lune sourit , m' houspille
Pourquoi pleures -tu petite fille
Il est tard ..Dors
Maman gît dessous le trou
Dans le froid , elle est debout
Laisse ma larme , ma peine est amère
Laisse moi verser l'Amour sur ma mère
Mon pleur est doux
Maman repose , la petite fille pleure
Prostrée dans son grand lit
Résonne la vingt quatrième heure
La porte se personnifie
Qui dans la nuit surgit?
Lève toi petite fille, ouvre vite
C'est maman , lasse d'avoir voyagé
Un voila blanc l'habite
Pour toi ma chère petite
Le tombeau j'ai quitté
Joue contre joue elles s'unissent
Dans un baiser , dans une éternité
Baisers d'Amour , jamais ne finissent
Les deux étoiles sont rassemblées
Douceur d' étreintes données
Les heures glissées
La petite fille s'éveille au lit défait
Son cil cherche , plus rien hélas
Tiédeur d'un rêve qui passe
Au froid cède la place
Son étoile dort....le coq a chanté
Sur le lit , la pluie vient de tomber
Inondé de pétales de rose
A l 'horizon bleu, le soleil parait
Elle tend la main , touche des doigts la longue , longue , longue.... forêt
A tes côtés ta petite fille
Baisers soufflés........
Attention : le son é ne rime pas avec ait, très émue en cette lecture
Thème parfaitement maitrisé, superbe, les images sont très fortes, fort beau panel de sentiments au travers de strophes magnifiquement écrites
Emouvant, belle inspiration
Beaucoup d’émotion
*********************
4 J'ai effleuré une étoile COLOMBE67 7.18
Je me suis brûlé les ailes, j'ai volé très haut,
Ma passion et mes mots coulent sur le piano,
J'ai suivi un mirage rapide pour t'atteindre,
Mais il était plus malin que moi, c'était à craindre !
Il connaissait le chemin, je venais de débarquer,
Comme cela devait bien l'amuser !
J'adore son regard turquoise, ses lueurs,
Sa lumière magnifique éblouit mon coeur.
Je suis émerveillée quand il rit,
Il m'a embelli, et mon âme refleurit,
Sa beauté étincelante me laisse rêveuse,
Je vole derrière cette étoile, heureuse...
Entre vents et marais salants, son parfum
Humblement, me trace un chemin,
Je ne voudrais jamais m'arrêter
De voguer dans ces nuances étoilées.
Son humilité a effleuré ma curiosité,
Son charisme pur m'a enchanté,
Son regard incandescent m'a charmée
Oh ! comme je voudrais m'y noyer...
Je lui dirais : " Très belle âme ne t'envole pas !
Je suis triste sans toi...Ne me laisse pas !
Ton talent est celui d'un poète, tes mots sont
Ceux d'un grand littéraire dormant au panthéon. "
Qui sait ! Un jour on entendra dire :
" Un nouvel écrivain vient de naître,
Et je serai tellement ravie de te lire
Car ta plume est déjà celle d'un poète.
Comme une étoile tu brilleras,
J'ai hâte d'avoir une belle dédicace de toi,
Bonne chance ! ma chère étoile filante
Je t'admire tendrement .
Très bel écrit
à la fin: filante et tendrement ne riment pas
Attention aux rimes
Ode sympathique qui me laisse hélas sur ma faim
******************
5 Les stars d'hollywood me boudent ZUC 7
Désolé peut être que ce soir je n'ai pas envie d'être sérieux, un brin provocateur sûrement, peut être aussi parce que je rentre d'une ville, où il y a du beau, là où règne pourtant la crasse et la laideur, où émane une forme de liberté au milieu d'une foule bigarrée pour qui tout n'est pas rose mais où l'on ne se sent pas étranger.
A l’énoncé du concours...
Je vois déjà venir les étoiles qui scintillent,
Mon cœur fait boum et mon "Q" pétille,
D'une place sur le podium je me poile,
Mon poème s'il en est un n'est pas un hôtel 3 étoiles
Au diable l'astre d'un divin noël
Et des boules d'un sapin pépère qui étincèle
Des étoiles dans le nez, dans la tête plein les yeux,
Jusque dans mes oreilles plein la bouche qui dit mieux?
Bon il y a celles qui brillent comme des diamants comme de l'or,
La mienne est noire comme du charbon, et alors!
Faites les tremper dans l'huile, faites les tremper dans l'eau
Et vous obtiendrez un escargot tout chaud
N'oubliez pas les petits mots d'amour, tu es la Grande Ours
Qui guide mes jours, lourd lourd lourd,
Tu es ma voie lactée mon croissant étoilé,
Je suis la voûte céleste accroché a tes nénés, ho-yé,
De toutes les couleurs,
Des rouges, des vertes et des pas mures,
Des jaunes cousues mains pour leurs malheurs
Quand vous dormirez sous un ciel tapisser,
Moi au firmament je ne ferai que passer
Allez y soyez fous ne faites pas les imbéciles,
Cognez vous la tête contre les murs
Et vous en verrez milles
Une fausse note, je ne suis pas né non sous la bonne
Et ne sais pas il est vrai jouer du trombone,
Je m'en moque les stars d' Hollywood me boudent,
Mes mots ici en promo mais ma poésie n'est pas un fast food
N'en faite pas toute un cinéma,
Faite moi rimer stellaire
Avec camembert
Et ça ira bien comme ça
Hé! toi le "...."
Un bel humour, une envolée de mots
Très bel humour, dommage pour l’orthographe
Ponctuation mal maitrisée, formulations maladroites, orthographe….certaines rimes font défaut, malgré un humour très appréciable la magie ne prend pas…la fin fini en dents de scie
Poème original
*************
6 A la sueur de leur sang IBOUJO 7.24
Un ciel outremer constellé d’Étoiles filantes
Sont-elles le sang figé des âmes scintillantes
Des hommes , qui là-haut viennent de s'envoler
Pour revivre et parsemer les Maisons éthérées
Une mer azur où la vie fourmille frétillante
Faune,flore à la sueur de leur sang se substancent
Le requin assoiffé laisse traces de sang déchiqueté
Les Étoiles de mers livides s'échouent "exanguées"
Le taureau transpire ,combat le magenta du toreroMa passion et mes mots coulent sur le piano,
J'ai suivi un mirage rapide pour t'atteindre,
Mais il était plus malin que moi, c'était à craindre !
Il connaissait le chemin, je venais de débarquer,
Comme cela devait bien l'amuser !
J'adore son regard turquoise, ses lueurs,
Sa lumière magnifique éblouit mon coeur.
Je suis émerveillée quand il rit,
Il m'a embelli, et mon âme refleurit,
Sa beauté étincelante me laisse rêveuse,
Je vole derrière cette étoile, heureuse...
Entre vents et marais salants, son parfum
Humblement, me trace un chemin,
Je ne voudrais jamais m'arrêter
De voguer dans ces nuances étoilées.
Son humilité a effleuré ma curiosité,
Son charisme pur m'a enchanté,
Son regard incandescent m'a charmée
Oh ! comme je voudrais m'y noyer...
Je lui dirais : " Très belle âme ne t'envole pas !
Je suis triste sans toi...Ne me laisse pas !
Ton talent est celui d'un poète, tes mots sont
Ceux d'un grand littéraire dormant au panthéon. "
Qui sait ! Un jour on entendra dire :
" Un nouvel écrivain vient de naître,
Et je serai tellement ravie de te lire
Car ta plume est déjà celle d'un poète.
Comme une étoile tu brilleras,
J'ai hâte d'avoir une belle dédicace de toi,
Bonne chance ! ma chère étoile filante
Je t'admire tendrement .
Très bel écrit
à la fin: filante et tendrement ne riment pas
Attention aux rimes
Ode sympathique qui me laisse hélas sur ma faim
******************
5 Les stars d'hollywood me boudent ZUC 7
Désolé peut être que ce soir je n'ai pas envie d'être sérieux, un brin provocateur sûrement, peut être aussi parce que je rentre d'une ville, où il y a du beau, là où règne pourtant la crasse et la laideur, où émane une forme de liberté au milieu d'une foule bigarrée pour qui tout n'est pas rose mais où l'on ne se sent pas étranger.
A l’énoncé du concours...
Je vois déjà venir les étoiles qui scintillent,
Mon cœur fait boum et mon "Q" pétille,
D'une place sur le podium je me poile,
Mon poème s'il en est un n'est pas un hôtel 3 étoiles
Au diable l'astre d'un divin noël
Et des boules d'un sapin pépère qui étincèle
Des étoiles dans le nez, dans la tête plein les yeux,
Jusque dans mes oreilles plein la bouche qui dit mieux?
Bon il y a celles qui brillent comme des diamants comme de l'or,
La mienne est noire comme du charbon, et alors!
Faites les tremper dans l'huile, faites les tremper dans l'eau
Et vous obtiendrez un escargot tout chaud
N'oubliez pas les petits mots d'amour, tu es la Grande Ours
Qui guide mes jours, lourd lourd lourd,
Tu es ma voie lactée mon croissant étoilé,
Je suis la voûte céleste accroché a tes nénés, ho-yé,
De toutes les couleurs,
Des rouges, des vertes et des pas mures,
Des jaunes cousues mains pour leurs malheurs
Quand vous dormirez sous un ciel tapisser,
Moi au firmament je ne ferai que passer
Allez y soyez fous ne faites pas les imbéciles,
Cognez vous la tête contre les murs
Et vous en verrez milles
Une fausse note, je ne suis pas né non sous la bonne
Et ne sais pas il est vrai jouer du trombone,
Je m'en moque les stars d' Hollywood me boudent,
Mes mots ici en promo mais ma poésie n'est pas un fast food
N'en faite pas toute un cinéma,
Faite moi rimer stellaire
Avec camembert
Et ça ira bien comme ça
Hé! toi le "...."
Un bel humour, une envolée de mots
Très bel humour, dommage pour l’orthographe
Ponctuation mal maitrisée, formulations maladroites, orthographe….certaines rimes font défaut, malgré un humour très appréciable la magie ne prend pas…la fin fini en dents de scie
Poème original
*************
6 A la sueur de leur sang IBOUJO 7.24
Un ciel outremer constellé d’Étoiles filantes
Sont-elles le sang figé des âmes scintillantes
Des hommes , qui là-haut viennent de s'envoler
Pour revivre et parsemer les Maisons éthérées
Une mer azur où la vie fourmille frétillante
Faune,flore à la sueur de leur sang se substancent
Le requin assoiffé laisse traces de sang déchiqueté
Les Étoiles de mers livides s'échouent "exanguées"
Qui des deux sera l’Étoile montante sous l'ardente
Arène , ceinte de prie-dieu mais noyée de fientes
Sous la foule transpirante et délirante de l'aficionado
Que d'efforts ,de discipline , que de sang transpiré
Pour être le meilleur le danseur Étoile doit maîtriser
Remets cent fois sur le métier..la badine va cingler
Aspires-tu petit rat devenir de l'Opéra le Chat botté
Pour devenir Étoile ,tu donnes ta sueur et ton sang
Toucher la perfection, féroce combat à plein temps
Briller au regard du monde ,requête discipline,humilité
Les Étoiles sont les yeux des Stars récompensées
Étoile et sang , deux mots mariant le succès
L'impalpable par le palpable côtoyant nos vies
Où ,comment le rêve ,l'inaccessible galaxie
S'imbrique en jet lumineux à un sang couronné....
Beaucoup trop de répétitions, ça gâche le plaisir de lecture, les images sont belles mais l’usage de plusieurs synonymes aurait subjugué le poème
Très belles idées mais qui auraient pu être enrichies par une ponctuation plus abondante, beaucoup de répétitions, attention à l’orthographe
« Subtancent » et « frétillante » ne riment pas ainsi que « succès » ( son ai) et « couronné » son é
Magnifique, porte à méditer
***********************
7 Parmi les étoiles FINOU 7.25
Le soleil est parti
Laissant place à la nuit
Nous dévoilant son tapis magique
Tissé de mille étoiles féeriques
Une plus grosse doucement s’instille
Je la regarde est mes yeux brillent
Avec tant de souvenirs dans la tête
Difficile pour moi d'être de la fête
Quand, tout à coup une étoile filante descend
Je fait un vœu fou, irréel, fermant les yeux, je te sent
Les mains tendues vers toi, gardant les yeux fermés
J'attends un geste ou ton odeur parfumée
Faites que mon vœux se réalise
En ouvrant les yeux rien ! je démoralise
Et m'enferme dans ma chambre, pensant à toi
Levant les yeux vers le toit
J’aperçois un nid d'étoiles, me demandant
Si, tu as trouvé ton bonheur en dedans
Tu me manques tant mon frère d'amour
Étoile de mon cœur, gravée en moi
... Pour toujours ...
Manque une rime au dernier quatrain
Quelques rimes pauvres ( nuit/ parti) attention à l’orthographe, fin émouvante
Rimes oubliées dans la dernière strophe, attention à l’orthographe…Bel hommage à un frère qui rejoint la constellation…La douleur est hélas toujours la plus inspirante des muses
Belle émotion
********************
8 Mon étoile... JANU 8.02
L'étoile est apparue elle me faisait signe
Que la vie continue et qu'elle en reste digne
Depuis ton grand départ je vis un cauchemar
Et dans ces jours funestes je suis dans le coaltar
Déjà de ton vivant tu étais mon étoile
J'étais le plus heureux quand tu me souriais
Et quand tes jolis yeux qui sur moi se posaient
Étaient emplis d'amour, je mettais à la voile
Que de ciels étoilés nous avions contemplés
Serrés l'un contre l'autre un bonheur centuplé
Face à une mer très calme au clapotis des vagues
D'autres fois déchaînée elle gronde et divague
Un jour par le desert nous fûmes séparés
Atmosphère transparente en distances faussées
Au son des tambourins et lente mélopée
Je cherchais la polaire pour de toi m'approcher
Retours éblouissants et le ciel à nouveau
Bénissait notre amour tout était très beau
Jusqu'à ce jour maudit où un petit microbe
A rongé ton cerveau et tout ce qu'il englobe
Les jours, les trop longs jours qui se sont ensuivis
Je n'avais qu'une idée c'est aller te rejoindre
Mais ma pauvre Maman avait beaucoup d'ennuis
Et ce grand Devoir là ne pouvais le restreindre
Une année est passée retour au grand désert
Et dès le premier soir j'ai retrouvé l'étoile
Impavide elle brillait dans une nuit sans voile
Et à la contempler plus d'idées suicidaires...
Poème émouvant mais style un peu lourd… « Suivis » et « ennuis » se qualifient en rimes pauvres
Fort émouvant
Très beau et émouvant
Ponctuation mal maîtrisée, un bel hommage à un être cher comme pour nous rappeler que chaque âme est un astre qui prépare son grand voyage
*************
9 Les trois étoiles ROSESILENCIEUSE 8.61
médaille d'or
Sous la voûte étoilée, voyez qui se promène
Au début de l'été, voilà que se démène
Jolie maman étoile, lutte contre le vent très fort
Vient de perdre son voile, sur sa chevelure d'or.
Puis l'azur s'assombrit, un orage éclata
L'un des enfants surpris, dans l'océan tomba
La maman affolée, essaya de lutter
Dans les courants bleutés, elle ne put retrouver,
Sa « Petite Lumière », devenue maintenant
Jolie étoile de mer, dans le grand océan
Qui regarde tous les soirs, vers le ciel étoilé
Si elle y aperçoit, sa sœur « cheveux dorés »
Voilà un sort cruel, pour un drôle de destin
Qu'une étoile du ciel, vive dans les fonds marins
Se demandant si elle, restera là toujours
Dans la grande bleue si belle, trouvera t-elle l'amour?
C'est la fin de l'été, elle pense à sa maman
Et à « cheveux dorés », restées au firmament
En regardant la lune, elle espère chaque soir
Pour que vienne enfin l'une, briser son beau miroir.
Écoutez bien ceci, sous la voûte étoilée
Une comète file aussi, plonge dans l'obscurité
Attrape l'étoile de mer, en faisant une prière
Et remonte vers sa mère, la douce « Petite Lumière »
Les voilà réunies, rayonnantes d'amour
Dans leur grand paradis, elles resterons toujours
Dans l'immense voix lactée, les trois jolies étoiles
Loin de la terre bleutée, viennent de mettre les voiles.
Magnifique conte
Très beau conte
La répétition des mots « étoiles/ étoilé plombe le poème, thème bien abordé, l’image de la mue de l’étoile est séduisante mais la fin fait un flop
Belle légende mais gardez la même concordance de temps
********************
10 L’étoile du berger LILASYS 8.41 médaille de bronze
Il y a bien longtemps, au temps des grands mystères
Vivait un berger amoureux d’une bergère
Chacun dans sa vallée, auprès de son troupeau,
Chantait un madrigal que renvoyait l’écho
Et de cime en cime leur chanson s’envolait
Et d’un cœur à l’autre l’amour se déversait.
Chacun gardant fortune, à l’autre pensait
Et sous clair de lune, leur romance, dansait
Aux vents de l’Automne, une meute assassine
Vint à franchir le gué de la vallée voisine
La bergère ; Au loup ! S’écria aussitôt
Mettant en déroute le grand et beau troupeau
Aussitôt le berger s’élança dans la plaine
Dans la nuit noire le massacre commença,
Au pré, les noirs bandits s’en donnaient à cœur-joie
Tandis que notre héros courait à perdre haleine
L’écho renvoyait les cris de l’affreux combat
Que supportait la belle pour sauver sa vie
Notre bel amoureux était dans l’embarras,
Dans la nuit noire, savoir d’où venaient ces cris
La belle est au Nord mais comment la secourir ?
Quand le soleil luit on peut suivre le chemin
Sans lumière, il doit se fier au destin
Ainsi toute la nuit, notre héros dû courir
Vint à se lever l’aube d’un triste matin
Sur le pré, encor’ rose, sa belle gisait
La gorge encore chaude, la griffe qu’un mâtin
Avait déchirée, d’où son sang coulait
Voir son amour, là, mort, un grand cri démentiel
Le cœur de notre ami, à cette vue explose,
C’est depuis que, la nuit, à regarder le ciel
Une étoile brillante le chemin propose
C’est depuis ce jour-là que, dans les hauts alpages,
Quand survient l’Automne, dans les vallées et plaines
Un cri de grande douleur et d’immense rage
Exprime, du berger, sa tristesse et sa peine
Son coeur ne supporta voir sa belle périr
Et dans un affreux cri, en deux, se déchira
Leur histoire d'amour vint, ainsi, se finir
Naissant, une autre étoile, au noir du ciel, brilla
Une belle légende, style des plus harmonieux
Histoire bien contée
Le récit est long avant d’atteindre l’étoile, une fable d’amour qui présente de belles choses en dépit de lourdeur dans certains vers
Histoire passionnante et très originale
*******************
11 L'étoile... LILASYS 7.62
Par une plaie, son sang coulait
Mais la pauvre bête gardait volonté farouche
Et bien qu'elle senti qu'elle se mourrait
Refusait que j'approche et la touche,
Avec patience, amour et ténacité
Je parvins à dompter sa peur
Entre nous, s'installa une complicité
Qui lui fit oublier le chasseur
J'ai veillé des jours sur son faible état
Faisant de mon mieux pour la soigner
Lui éviter tout ennui et tracas
Afin qu'elle puisse récupérer
Sa blessure au corps se referma
Mais elle garda la cicatrice au cœur
Si de mon geste, elle me remercia
A ma race, elle garda rancœur
Puis vint le jour de la guérison
Ayant retrouvé sa force et sa vigueur
En quelques bonds, elle disparut à l'horizon
En emportant avec elle mon bonheur
Depuis ce jour, les soirs où la lune se dévoile,
Lorsque ce vide remplit mon esprit de nuages
Je hurle au ciel ma colère et ma rage
D'avoir perdu de mon destin, l'étoile...
Où es-tu ma biche ?
Un peu éloigné du thème
Gare au 1er vers : le sang coule toujours d’une plaie, l’étoile est un peu « filante », aucune recherche dans le titre…
Belle légende
****************
12 Chemin d’étoiles… TIERAM 8.28
Cette nuit, ils ont pris le chemin des étoiles,
Lentement par la main, elle a tenu leur cœur
Jusqu’au matin le ciel a rêvé ce bonheur,
L’amour de deux enfants aux heures joviales
Le soir a déposé quelque peu ses doux voiles
Sur les corps enlacés tous vont de sa rancœur
La différence c’est qu’ils n’ont que leur honneur,
La couleur et leur foi ne sont leurs idéales.
Rien n’est tout noir ou blanc à choisir de ces vœux
Musulman ou chrétien un souhait pour tous ceux
Qui voudront partager l’espoir d’une autre vie
Ce mélange étonnant frappe ainsi vos maisons,
À jamais vous pourrez détourner les raisons
Qui vous font tant trembler et nul ne vous envie.
Dépasser les rumeurs qui restent si banales
D’un regard consenti pour ce tendre rêveur
Et donner à chacun la soif d’une faveur
Pour taire l’océan aux écumes royales.
Les hommes font la loi des cérémoniales
Si pour certains se perd leur illustre rigueur
Bien d’autres ont une âme aux refrains, qui d’un pleur
Ô femmes, pensez donc, vous sont primordiales !
Chantez-vous maintenant ? Je vous fais ces aveux,
En ce jour méritant en chacun mes adieux
Je reviendrais peut-être et seule je n’oublie
Le chemin, qui m’appelle, a d’autant d’oraisons
D’où me poussent ces pas en des vertes saisons
En mon for, j’ai l’espoir d’une muse anoblie…
Forme majestueuse mais un peu loin du thème malgré le premier quatrain…la notion d’étoile n’est pas assez accentuée
Belle écriture
Poème difficile à cerner d’autant plus que le thème est peu mis en avant
Histoire poignante malheureusement réelle, bel écrit
***************
13 Le dernier dromadaire PAT38 7.15
Je veux croire à la bonne étoile
Celle qui brille et dévoile
Les rêves comme cette nuit ou l'homme a jeté
A l'océan une pluie de larmes et de regrets....
Sur le sable ocre de Ténéré
L'éleveur nomade a laissé sa fierté
Quelle période difficile et dure !
Il a perdu force et gaîté au bleu de l'azur
La terre craque, le vent implore jusqu'à gémir
Vers la ville indifférente , loin de l'aïr
Homme bleu ! Disparaît ton unique source
Et emporte des campements dans sa course
Près du feu avec tes frères au soleil couchant
Autour d'un dernier thé parfumé et brûlant
Sous l'unique arbre maigre tortueux
Il te faudra quitter le désert devenu creux
Bientôt l'état d'urgence !!
Ne plus avoir d'eau est la plus grande souffrance
A Niakanfé, derrière l'étal en attendre l’acquéreur
Et te séparer de l'ami de toujours à contre cœur...
Loin du thème
L’étoile fait ici sa traversée du désert, les métaphores sont pauvres et le rythme décousu, le titre est hors sujet
Poème superbe, limite hors sujet
**************
14 L'astre de l"amour REVENANT 8.19
Mon ciel est troublé, depuis mon enfance
Traversé quelquefois par de rares accalmies
Où l’Etoile de l’amour avec parcimonie
Distille la joie et la condescendance.
Le froid dans le cœur et la grisaille en face
J’avance et je ne sais, que me réserve demain !
Quand je vois une lueur et que je tends la main
Tout mon corps frémit au contact de la glace
Que de fois, ai-je cru, apercevoir cet astre
Qui guérit, semble-il, les âmes endurcies,
Et apporte sans peine, la durable éclaircie
Nécessaire pour deux, à bâtir leur âtre
Je n’ai, en vérité, vu que des éclairs
Annonçant l’arrivée de terribles orages
Candide peut être, ou manquant de courage
Le mensonge m’est plus doux que la vérité amère.
Cette fois, cependant, je le vois nettement qui jaillit
Le faisceau de l’Etoile en approche
Fasciné, éperdu, je m’accroche
Un confus sentiment d’espoir m’envahit.
« Astre » et « âtre » ne riment pas…style harmonieux
Les virgules sont mal placées, poème qui traite convenablement de la crainte de l’avenir, l’amour n’étant peut être pas requis dans le titre
Excellent, de belles rimes embrassées
**************
15 Elle rêve du ciel LECOEURENTRETESMAINS 8.23
Au creux d’un rocher, une belle étoile se logeait,
Profitait des joies d’une vie dans l’océan,
S’endormait tout au long de la sainte journée
Et s’ouvrait la nuit pour accueillir les courants,
Elle avait comme voisines une anémone de mer,
Farouche et peu portée sur la conversation,
Aussi une éponge jaune et rectangulaire,
Coutumière des grands plateaux de télévision,
Ses parents ont choisi d’habiter sur la plage
Leurs os n’endurant plus la froideur des abysses,
Sa sœur s’est amourachée d’un jeune coquillage
Qui travaillait au loin pour une vieille écrevisse,
Donc, la solitude et l’ennui faisaient partie
Bien malgré elle, de ses amis les plus fidèles.
Un soir, ne supportant plus la mélancolie,
Elle décide imprudente de migrer vers le ciel,
C’est beaucoup plus beau là-haut, on y voit le monde,
Les astres vivent tous heureux et en communauté,
Elle verra tournoyer cette planète bleue et ronde,
Elle renouera avec ses cousines éloignées
Telle est sa pensée, tel est son rêve, son dessein,
Ne sachant voler, juste nager, elle décide
De demander de l’aide à un drôle de requin
Qui connaissait un passage vers les terres arides,
De là, elle pourra enfin rejoindre les cieux
Mais d’abord, il lui faudra remettre mille perles,
Une fortune, au passeur cartilagineux
Avant la pleine lune, que la marée ne déferle.
Elle arrive pile à l’heure le jour du rendez-vous,
Son dû payé, elle monte sur le dos d’une tortue,
Il reste peu de place, elle se pose à genoux,
Nombreux sont ceux tentant leurs chances vers l’inconnu,
Un premier coup de patte qui annonce leur départ,
Les flots sont tranquilles propices à ce long voyage,
Quarante heures de nage, ils voient la lueur d’un phare
Elle crie « on y est » mais les membres de l’équipage
L’attrapent par les bras aussi lui somment de se taire,
Elle se retrouve soudain entre les mains des hommes,
Trahie, livrée en pâture par ses congénères,
Réduite en esclavage dans un sombre aquarium,
Elle garde dans son cœur, quelques frêles souvenirs,
Le champ des baleines et les caresses des coraux,
Elle souhaite de toutes ses forces, un jour y revenir,
Libre, fière de porter sur ses épaules son drapeau.
« logeait » et « journées » ne riment pas : son ait et son é…Très belle histoire mêlée d’humour et de tristesse
Manque d’originalité, la candeur de certaines strophes dévoile des images toutefois touchantes
Belle histoire, logeait et journée ne riment pas ainsi que fidèles et ciel
***************
Majestueuse étoileAu creux d’un rocher, une belle étoile se logeait,
Profitait des joies d’une vie dans l’océan,
S’endormait tout au long de la sainte journée
Et s’ouvrait la nuit pour accueillir les courants,
Elle avait comme voisines une anémone de mer,
Farouche et peu portée sur la conversation,
Aussi une éponge jaune et rectangulaire,
Coutumière des grands plateaux de télévision,
Ses parents ont choisi d’habiter sur la plage
Leurs os n’endurant plus la froideur des abysses,
Sa sœur s’est amourachée d’un jeune coquillage
Qui travaillait au loin pour une vieille écrevisse,
Donc, la solitude et l’ennui faisaient partie
Bien malgré elle, de ses amis les plus fidèles.
Un soir, ne supportant plus la mélancolie,
Elle décide imprudente de migrer vers le ciel,
C’est beaucoup plus beau là-haut, on y voit le monde,
Les astres vivent tous heureux et en communauté,
Elle verra tournoyer cette planète bleue et ronde,
Elle renouera avec ses cousines éloignées
Telle est sa pensée, tel est son rêve, son dessein,
Ne sachant voler, juste nager, elle décide
De demander de l’aide à un drôle de requin
Qui connaissait un passage vers les terres arides,
De là, elle pourra enfin rejoindre les cieux
Mais d’abord, il lui faudra remettre mille perles,
Une fortune, au passeur cartilagineux
Avant la pleine lune, que la marée ne déferle.
Elle arrive pile à l’heure le jour du rendez-vous,
Son dû payé, elle monte sur le dos d’une tortue,
Il reste peu de place, elle se pose à genoux,
Nombreux sont ceux tentant leurs chances vers l’inconnu,
Un premier coup de patte qui annonce leur départ,
Les flots sont tranquilles propices à ce long voyage,
Quarante heures de nage, ils voient la lueur d’un phare
Elle crie « on y est » mais les membres de l’équipage
L’attrapent par les bras aussi lui somment de se taire,
Elle se retrouve soudain entre les mains des hommes,
Trahie, livrée en pâture par ses congénères,
Réduite en esclavage dans un sombre aquarium,
Elle garde dans son cœur, quelques frêles souvenirs,
Le champ des baleines et les caresses des coraux,
Elle souhaite de toutes ses forces, un jour y revenir,
Libre, fière de porter sur ses épaules son drapeau.
« logeait » et « journées » ne riment pas : son ait et son é…Très belle histoire mêlée d’humour et de tristesse
Manque d’originalité, la candeur de certaines strophes dévoile des images toutefois touchantes
Belle histoire, logeait et journée ne riment pas ainsi que fidèles et ciel
***************
16 Mon étoile JACOU 7.40
Oasis de lumière
Nova d'or sur la toile
Éécoute ma prière
Toi qui fit mon bonheur
Offre moi chaque jour,
Illuminant mon cœur
L'éclat de ton amour
En doux éclairs de joie
Etoile vers toi je crie
Seul je suis, donne moi
Ta lumière la nuit
Mon étoile chérie
Au ciel, tu es mon phare
Lumière dans tes yeux
Unique est ton regard
Manne venue des cieux
Illumine ma nuit
Etoile dans mon cœur
Rayonne pour toujours
Etincelles d'amour
Belle prière sous forme d’acrostiche
Joli acrostiche
La phrase cachée du poème le fait sortir de l’ordinaire mais les rimes font un peu brouillonnes
Poème délicat
*******************
17 Je te suis mon étoile... JESUISPERDU 7.23
Je n'oublierai jamais ce fameux soir de janvier,
Main dans la main, nous rêvions, sous ce ciel étoilé,
Enlacés, Corps contre corps, rien ne pouvait nous arriver,
Cette nuit là, je t'ai fais la promesse de ne jamais te quitter...
Aujourd'hui, je me retrouve seul, mon ange tu t'es envolé,
Nos chemins ont eu beau se séparer, je te ressens, étoile de liberté.
Tu es là, tout près de moi, tu guides ma vie, mes choix, mes pensées.
Toi mon étoile, je te vois, tu brilles, tu scintilles, je te suis à travers ta voie lactée.
Toi et moi, bravant tempêtes et marées, à l'unisson nous bataillons pour notre liberté.
Grâce à toi, étoile de joie, j'arrive encore à espérer, à avancer.
Je veux vivre notre vie, réaliser nos rêves du passé.
Toi, mon amour, mon étoile, je t'aime et je t'aimerai jusqu'à en crever...
Suivez bien les consignes : 20 vers minimum
Beaucoup d’émotion…Dommage 12 vers
Il n’y a certainement pas 20 vers dans ce poème, les énumérations successives de la seconde strophe minent le poème et le mot « crever » évapore la magie
Janvier ne rime pas avec é, merveilleux poème, beaucoup d’émotion
*************Main dans la main, nous rêvions, sous ce ciel étoilé,
Enlacés, Corps contre corps, rien ne pouvait nous arriver,
Cette nuit là, je t'ai fais la promesse de ne jamais te quitter...
Aujourd'hui, je me retrouve seul, mon ange tu t'es envolé,
Nos chemins ont eu beau se séparer, je te ressens, étoile de liberté.
Tu es là, tout près de moi, tu guides ma vie, mes choix, mes pensées.
Toi mon étoile, je te vois, tu brilles, tu scintilles, je te suis à travers ta voie lactée.
Toi et moi, bravant tempêtes et marées, à l'unisson nous bataillons pour notre liberté.
Grâce à toi, étoile de joie, j'arrive encore à espérer, à avancer.
Je veux vivre notre vie, réaliser nos rêves du passé.
Toi, mon amour, mon étoile, je t'aime et je t'aimerai jusqu'à en crever...
Suivez bien les consignes : 20 vers minimum
Beaucoup d’émotion…Dommage 12 vers
Il n’y a certainement pas 20 vers dans ce poème, les énumérations successives de la seconde strophe minent le poème et le mot « crever » évapore la magie
Janvier ne rime pas avec é, merveilleux poème, beaucoup d’émotion
18 Une étoile .... Des étoiles ..... EVESANSADAM 8.25
Si le ciel souvent nous offre certains soirs
Un panorama étoilé et brillant de toute part
Sachons profiter de cette panoplie , admirer , voir et revoir
Cette magie nocturne qui parfois décide de se faire plus rare .
Mais il est de ces étoiles qui sont un vrai soleil
Lorsqu'elles illuminent le chemin ténébreux
De leurs chaleur et lueurs orangé ou vermeil.....
Puissent-elles se retrouver pour ainsi briller de mille feux .... !
J'aimerais tant , même si petite soit-elle
Que cette étoile puisse venir se glisser sans bruit ,
Anéantir et remplacer ces vilaines cellules de quelque maladie rebelle
Pour que par sa magie cet enfant en soit à tout jamais guéri .
Pour ainsi voir des milliers d'étoiles danser
Dans ses yeux , dans ses rires , dans son coeur.... !
Mais ....qu'elles soient filantes ou clignotantes , qu'elles sachent se poser
Là , où par leur joyeuse farandole , feront fuir la peur .
Qu'elles viennent aussi tomber dans la main des sans-abri !
Puissent-elles se transformer en de véritables lingots d'or ,
Gaieté et chaleur au coeur , cette vie de dehors en serait finie ...
Croyons au pouvoir de ces étoiles , et pourquoi devrions-nous avoir tort ?
Mais au fait , elle est où cette étoile que j'aurais tant voulu percevoir
Et que je n'ai jamais vu briller dans tes yeux....
Le destin en avait décidé autrement , aussi difficile à croire
Tu n'as pas décelé tout ce que tu pouvais représenter à mes yeux ....
Que chacune de leurs branches dont elles sont toutes si fières
Puisse engendrer des centaines de petites étoiles
Une vraie progéniture étincelante , et même si éphémère
Admirons cette féerie semblant donner naissance à une si belle toile !
Qu'elles se décuplent , scintillent , se multiplient à souhait ,
Qu'elles donnent des ailes et des élans de bonté et de générosité
A tous ceux qui désespèrent , et ainsi éblouir à tout jamais
Ce Monde , tel un éternel feu d'artifice resplendissant de gaieté .
Très beau poèmeSi le ciel souvent nous offre certains soirs
Un panorama étoilé et brillant de toute part
Sachons profiter de cette panoplie , admirer , voir et revoir
Cette magie nocturne qui parfois décide de se faire plus rare .
Mais il est de ces étoiles qui sont un vrai soleil
Lorsqu'elles illuminent le chemin ténébreux
De leurs chaleur et lueurs orangé ou vermeil.....
Puissent-elles se retrouver pour ainsi briller de mille feux .... !
J'aimerais tant , même si petite soit-elle
Que cette étoile puisse venir se glisser sans bruit ,
Anéantir et remplacer ces vilaines cellules de quelque maladie rebelle
Pour que par sa magie cet enfant en soit à tout jamais guéri .
Pour ainsi voir des milliers d'étoiles danser
Dans ses yeux , dans ses rires , dans son coeur.... !
Mais ....qu'elles soient filantes ou clignotantes , qu'elles sachent se poser
Là , où par leur joyeuse farandole , feront fuir la peur .
Qu'elles viennent aussi tomber dans la main des sans-abri !
Puissent-elles se transformer en de véritables lingots d'or ,
Gaieté et chaleur au coeur , cette vie de dehors en serait finie ...
Croyons au pouvoir de ces étoiles , et pourquoi devrions-nous avoir tort ?
Mais au fait , elle est où cette étoile que j'aurais tant voulu percevoir
Et que je n'ai jamais vu briller dans tes yeux....
Le destin en avait décidé autrement , aussi difficile à croire
Tu n'as pas décelé tout ce que tu pouvais représenter à mes yeux ....
Que chacune de leurs branches dont elles sont toutes si fières
Puisse engendrer des centaines de petites étoiles
Une vraie progéniture étincelante , et même si éphémère
Admirons cette féerie semblant donner naissance à une si belle toile !
Qu'elles se décuplent , scintillent , se multiplient à souhait ,
Qu'elles donnent des ailes et des élans de bonté et de générosité
A tous ceux qui désespèrent , et ainsi éblouir à tout jamais
Ce Monde , tel un éternel feu d'artifice resplendissant de gaieté .
Dans la 6ème strophe il y a une rime faite avec le même mot, j’aurais aimé vivre la féerie mais je n’ai pas réussi à être transporté…
Un poème écrit à l’encre du cœur avec beaucoup d’aisance, bravo !
Effectivement dans le 6ème quatrain « yeux » rime avec « yeux »…malgré quelque lourdeur dans la forme le fond est excellent…magnifique poème empli d’espoir
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Merci de cette large participation, je vous rappelle que le thème était une suggestion de Mysterre
Je rends hommage aux membres du jury, sans eux les concours ne pourraient subsister.
Certains commentaires sont peut être un peu durs, mais ainsi chacun d'entre nous doit connaitre ses lacunes afin de s'améliorer...
Lys organise le prochain concours, soyez aussi nombreux!
Je rends hommage aux membres du jury, sans eux les concours ne pourraient subsister.
Certains commentaires sont peut être un peu durs, mais ainsi chacun d'entre nous doit connaitre ses lacunes afin de s'améliorer...
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