J’ai rêvé d’elle
Eh vous là-bas s’il vous plaît, pour qui est la fosse ?
Sous ce ciel gris nuageux, et cette forte pluie
Pour creuser, ils y auront d'autres journées fabuleuses
Laissez passer le mauvais temps, et venez chanter
Les fleurs ne meurent jamais, ainsi que les roses
Même s’il meure ce soir le jardinier
Les fleurs pleurent surement demain son absence
Et avec les vents du nord, surement il sera oublié
Lointain là-bas sera sa tombe, sur une plaine poudreuse
Tristement seul, il sera enterré
Condamné déjà et l’âme en pleine jouissance
Je m’accroche toujours, mais le cœur, veut me lâcher
Malgré se décore triste, surement demain je m’élance
Avec toutes ces larmes versées, brûle toujours ma bougie
Le temps ne m’a pas encore détruit, malgré l’apparence
Il me dévore certes, mais je m’accroche toujours à la vie
Arrêtez s’il vous plaît, il n'y a pas d’urgence
Pourquoi étonnement vous me regardait ainsi
Oui debout je le suis, malgré cette douleur atroce
Le combat que je mène, n’est pas encore perdu je le sais
Tant que je respire la vie, je dois vivre et croire à la chance
Avant de mourir, je veux prendre dans mes bras cette fille
J’ai rêvé d’elle hier, ainsi que mon fils
Et le rêve d’hier m’a donné goût à la vie, malgré
En dormant j’ai senti sur mes joues quelques gouttes qui se glissent
Et en parlent avec eux, je me suis réveillé
Je ne peux pas fuir mon sort, quoi qu’on fasse quoi qu’ont dit
Mais on dit qu’il y a toujours de l’espoir, tant qu’il y a de la vie
J’avale chaque soir, cette douleur qui me creuse
Mon cœur ainsi mon foie, elle me fait parler
Dur est ses lois, je souffre d’absence
Et par le chagrin, mon cœur est enchainé
Mystérieux est l’amour, à vivre il me pousse
Mais s’il m’arrive malheur mère, dite lui
Mère embrasse là de ma part
Et dite lui que je l’ai aimé
Dite lui, qu'elle n’a jamais quitté mes prières
Jour et nuit depuis qu’elle est née
Comme j’étais heureux ce jour-là et fier
Quand j’ai su que je viens d’avoir dans ce monde une fille
Comme ils me font mal, tellement mal les jours d’hier
Mon bonheur hélas n’a pas peu duré
Comme une boule de cristal qui tombe par terre
Ainsi mon cœur en mille morceaux, il a été brisé
Quoi dire ce soir, et quoi faire
Ô mère dit-lui que je ne l’ai pas abandonné
Raconte-lui, toi qui connais toute mon histoire
Raconte-lui mère, même si elle va pleurer
Sèche ses larmes, mère avec ton mouchoir
Et donne-lui l’amour, que tu m’as donné
Je sais que ton cœur, est grand comme l’univers
Aux parfums des fleurs, tu m’as entourée
Tu peux le faire encore, même moi sous terre
Dis-lui que la mort, qui nous a séparés
Et que j’aurais peu être, pour elle un beau-père
Dite lui mère, que je ne l’ai pas trahi
Nombreux étaient eux, moi seul et sans repères
Et pourtant mon cœur l’a réclamé
Dite lui mère
Que je l’aime malgré..
Mustapha
Eh vous là-bas s’il vous plaît, pour qui est la fosse ?
Sous ce ciel gris nuageux, et cette forte pluie
Pour creuser, ils y auront d'autres journées fabuleuses
Laissez passer le mauvais temps, et venez chanter
Les fleurs ne meurent jamais, ainsi que les roses
Même s’il meure ce soir le jardinier
Les fleurs pleurent surement demain son absence
Et avec les vents du nord, surement il sera oublié
Lointain là-bas sera sa tombe, sur une plaine poudreuse
Tristement seul, il sera enterré
Condamné déjà et l’âme en pleine jouissance
Je m’accroche toujours, mais le cœur, veut me lâcher
Malgré se décore triste, surement demain je m’élance
Avec toutes ces larmes versées, brûle toujours ma bougie
Le temps ne m’a pas encore détruit, malgré l’apparence
Il me dévore certes, mais je m’accroche toujours à la vie
Arrêtez s’il vous plaît, il n'y a pas d’urgence
Pourquoi étonnement vous me regardait ainsi
Oui debout je le suis, malgré cette douleur atroce
Le combat que je mène, n’est pas encore perdu je le sais
Tant que je respire la vie, je dois vivre et croire à la chance
Avant de mourir, je veux prendre dans mes bras cette fille
J’ai rêvé d’elle hier, ainsi que mon fils
Et le rêve d’hier m’a donné goût à la vie, malgré
En dormant j’ai senti sur mes joues quelques gouttes qui se glissent
Et en parlent avec eux, je me suis réveillé
Je ne peux pas fuir mon sort, quoi qu’on fasse quoi qu’ont dit
Mais on dit qu’il y a toujours de l’espoir, tant qu’il y a de la vie
J’avale chaque soir, cette douleur qui me creuse
Mon cœur ainsi mon foie, elle me fait parler
Dur est ses lois, je souffre d’absence
Et par le chagrin, mon cœur est enchainé
Mystérieux est l’amour, à vivre il me pousse
Mais s’il m’arrive malheur mère, dite lui
Mère embrasse là de ma part
Et dite lui que je l’ai aimé
Dite lui, qu'elle n’a jamais quitté mes prières
Jour et nuit depuis qu’elle est née
Comme j’étais heureux ce jour-là et fier
Quand j’ai su que je viens d’avoir dans ce monde une fille
Comme ils me font mal, tellement mal les jours d’hier
Mon bonheur hélas n’a pas peu duré
Comme une boule de cristal qui tombe par terre
Ainsi mon cœur en mille morceaux, il a été brisé
Quoi dire ce soir, et quoi faire
Ô mère dit-lui que je ne l’ai pas abandonné
Raconte-lui, toi qui connais toute mon histoire
Raconte-lui mère, même si elle va pleurer
Sèche ses larmes, mère avec ton mouchoir
Et donne-lui l’amour, que tu m’as donné
Je sais que ton cœur, est grand comme l’univers
Aux parfums des fleurs, tu m’as entourée
Tu peux le faire encore, même moi sous terre
Dis-lui que la mort, qui nous a séparés
Et que j’aurais peu être, pour elle un beau-père
Dite lui mère, que je ne l’ai pas trahi
Nombreux étaient eux, moi seul et sans repères
Et pourtant mon cœur l’a réclamé
Dite lui mère
Que je l’aime malgré..
Mustapha
