j'ai vu ruisseler
le long de la baie vitrée
la pluie battante
sans personne dans la rue
au lointain la mer est pesante
au loin les vagues balayaient
la plage déserte
j'ai vu ruisseler
le long de mon visage
ces larmes troubadour
sur le long de mon corps
parcouru de frissons
et j'ai froid
le coeur bat à la chamade
comme dans une bagarre d'amour
j'écris comme on écrit pour un frère
partit au combat
ou bien peindre une oeuvre , un art
qui ne te ressembles pas
l'âme platonique sur moi
a laissé , baissé le regard
privation,souffrance,abstinence
il n'y'aura plus d'amant pour plus tard
je te dédie ces poèmes
comme des perles qui sèment
sur un quelconque chemin
comme des sentiers battants
où la forêt verte, belle et clémente
recevait nos ardents serments
subsistent tes pas qui ne s'effacent
sous ce coquelicot
qui fleurit lorsque refleurissent
les prés
esprit vagabonde
son élan t'accompagne de plus près!
j'accepte
de vivre très dure comme ermite
en moi tu as existé et tu existes
et personne ne volera ta place
le long de la baie vitrée
la pluie battante
sans personne dans la rue
au lointain la mer est pesante
au loin les vagues balayaient
la plage déserte
j'ai vu ruisseler
le long de mon visage
ces larmes troubadour
sur le long de mon corps
parcouru de frissons
et j'ai froid
le coeur bat à la chamade
comme dans une bagarre d'amour
j'écris comme on écrit pour un frère
partit au combat
ou bien peindre une oeuvre , un art
qui ne te ressembles pas
l'âme platonique sur moi
a laissé , baissé le regard
privation,souffrance,abstinence
il n'y'aura plus d'amant pour plus tard
je te dédie ces poèmes
comme des perles qui sèment
sur un quelconque chemin
comme des sentiers battants
où la forêt verte, belle et clémente
recevait nos ardents serments
subsistent tes pas qui ne s'effacent
sous ce coquelicot
qui fleurit lorsque refleurissent
les prés
esprit vagabonde
son élan t'accompagne de plus près!
j'accepte
de vivre très dure comme ermite
en moi tu as existé et tu existes
et personne ne volera ta place
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