Ainsi va la vie
Mon dieu qu'elle est loin la nuit
Ou je vous écrit sur mon clavier
Mes labeurs déconcerté de ma journée
Des cris d, enfants dans un vacarme
Ou il y, a la vie , comme la terre rejoint son ruisseau
Que la beauté se fait ivre, sous cette joie de vivre.
Le soleil est loin encore
La brume envahit mon océan
Sous une couverture grise opaque
Qui nous aigri paisiblement dans un épais
Silence que j, en oubli la verdoyance.
La lumière pâlit
Et le froid devient glacial
Sous la lumière final
Peu être a bout de force
Quand les paupières mi clause
Se fermeront bien que les songes
Sont encore loin pour moi
Peu être pour vous aussi
Moi assis encore sur se bord du lit
À ecrire pour mon plaisir, qui me prend plus
Mon temps les mots sont la à chaque fois
Il prennent mon esprit et envahissent
Inlassablement mes pensées.
Seul mon esprit et la pour me guidé
Puis en décoction avec la nuit
Les étoiles qui luiront encore
Je finirai par entendre dehors
Un peu comme un sommeil
De chat les hélicoptères
Au dessus des maisons
Qui danseront dans les airs
Avec leurs hélices pleines de malice
Pour sauvé des vies avec courage
Et humanité comment peu t, on leur en vouloir
La nuit est le gardien des temps anciens des
Temps moderne, la vie est leur caserne
Leur terrain comme notre lit est notre cocon
Notre sécurité quand les yeux sont fermés.
Je ne peu croire encore a la vie même apres minuit
Elle est l, hostie sacré et bien la réalité, elle est bénit
Avec ou sans bruit la vie est une belle philosophie.
Mon dieu qu'elle est loin la nuit
Ou je vous écrit sur mon clavier
Mes labeurs déconcerté de ma journée
Des cris d, enfants dans un vacarme
Ou il y, a la vie , comme la terre rejoint son ruisseau
Que la beauté se fait ivre, sous cette joie de vivre.
Le soleil est loin encore
La brume envahit mon océan
Sous une couverture grise opaque
Qui nous aigri paisiblement dans un épais
Silence que j, en oubli la verdoyance.
La lumière pâlit
Et le froid devient glacial
Sous la lumière final
Peu être a bout de force
Quand les paupières mi clause
Se fermeront bien que les songes
Sont encore loin pour moi
Peu être pour vous aussi
Moi assis encore sur se bord du lit
À ecrire pour mon plaisir, qui me prend plus
Mon temps les mots sont la à chaque fois
Il prennent mon esprit et envahissent
Inlassablement mes pensées.
Seul mon esprit et la pour me guidé
Puis en décoction avec la nuit
Les étoiles qui luiront encore
Je finirai par entendre dehors
Un peu comme un sommeil
De chat les hélicoptères
Au dessus des maisons
Qui danseront dans les airs
Avec leurs hélices pleines de malice
Pour sauvé des vies avec courage
Et humanité comment peu t, on leur en vouloir
La nuit est le gardien des temps anciens des
Temps moderne, la vie est leur caserne
Leur terrain comme notre lit est notre cocon
Notre sécurité quand les yeux sont fermés.
Je ne peu croire encore a la vie même apres minuit
Elle est l, hostie sacré et bien la réalité, elle est bénit
Avec ou sans bruit la vie est une belle philosophie.