Paysage de tristesse
Dans ce brouillard qui oppresse.
L'air du matin est figé,
Les arbustes affligés,
Closes sont toutes les portes
De la vieille ville morte
Et dans les rues piétonnières
Silence de cimetière.
J'erre en ces rues insensibles
De granit indestructible.
De solitude et grisaille
C'est mon coeur qui se cisaille.
Dans ce brouillard qui oppresse.
L'air du matin est figé,
Les arbustes affligés,
Closes sont toutes les portes
De la vieille ville morte
Et dans les rues piétonnières
Silence de cimetière.
J'erre en ces rues insensibles
De granit indestructible.
De solitude et grisaille
C'est mon coeur qui se cisaille.
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