hors concours...
Mon jardin extraordinaire...
C'est un jardin sorti de l'imaginaire,
On peut y entendre chanter les paons,
Éventails aux regards extraordinaires.
Clignant aux tous premiers rayons...
Siffle un merle noir au joli bec d'or,
Puis la mésange bleue, la charbonnière...
Alors que la chouette paisible s'endort,
Les saules parlent entre eux, à la rivière...
Secouent de longues chevelures blondes
Telles des coquettes devant leur miroir...
Quand le vent coquin brouillant l'onde
Qui s'entrouvre, c'est l'invite pour un soir...
Il faut les voir lascifs et pleins de fierté,
Riant aux éclats sous le moindre Zéphyr,
Entonnant l'hymne de la vie retrouvée...
Un banc de pierre les salue avec plaisir...
Les plissés argentins d'un doux clapotis
Lèchent la rive où trônent les lys royaux,
Cherchant à se faire de multiples amis,
Sous un soleil qui flirte avec les eaux...
Les écureuils furtifs regardent le ciel,
Prêts à bondir, emportant leur cueillette,
De gros ours bruns se délectent de miel,
Se désaltèrent puis repartent en quête...
Des fleurs aux teintes pastel embaument...
L'herbe haute ondoie sous le vent enivré,
Tout doucement murmure un psaume,
Faisant chavirer mon cœur enchanté...
Mais Dame Lune s'impatiente, apparaît
Telle une reine au teint de porcelaine,
Déployant ses mousselines...Il fait frais...
Le monde s'endort...La nuit est souveraine.
A Murielle
Mon jardin extraordinaire...
C'est un jardin sorti de l'imaginaire,
On peut y entendre chanter les paons,
Éventails aux regards extraordinaires.
Clignant aux tous premiers rayons...
Siffle un merle noir au joli bec d'or,
Puis la mésange bleue, la charbonnière...
Alors que la chouette paisible s'endort,
Les saules parlent entre eux, à la rivière...
Secouent de longues chevelures blondes
Telles des coquettes devant leur miroir...
Quand le vent coquin brouillant l'onde
Qui s'entrouvre, c'est l'invite pour un soir...
Il faut les voir lascifs et pleins de fierté,
Riant aux éclats sous le moindre Zéphyr,
Entonnant l'hymne de la vie retrouvée...
Un banc de pierre les salue avec plaisir...
Les plissés argentins d'un doux clapotis
Lèchent la rive où trônent les lys royaux,
Cherchant à se faire de multiples amis,
Sous un soleil qui flirte avec les eaux...
Les écureuils furtifs regardent le ciel,
Prêts à bondir, emportant leur cueillette,
De gros ours bruns se délectent de miel,
Se désaltèrent puis repartent en quête...
Des fleurs aux teintes pastel embaument...
L'herbe haute ondoie sous le vent enivré,
Tout doucement murmure un psaume,
Faisant chavirer mon cœur enchanté...
Mais Dame Lune s'impatiente, apparaît
Telle une reine au teint de porcelaine,
Déployant ses mousselines...Il fait frais...
Le monde s'endort...La nuit est souveraine.
A Murielle
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