Troubles troublants, tourbillonnent en tremblant
Traversent transits, trahissant ma tranquillité
Tristes travers se retrouvent à leur détriment
Transmis aux oublis à jamais retranchés.
Solitude, dissolue s’évapore soigneusement,
Sous la sagesse souveraine de tes sens.
S’épanouit à présent ma sérénité, mes sentiments,
Souillés auparavant par ton absence.
Mélancolie, maudite malédiction m’envahissait,
M’ouvrait maladivement à l’amour de la mort,
Maintenant, j’aime m’abreuver, m’enivrer
Matin et soir, des merveilles que m’offre ton corps,
Libérée de mes larmes amères, ma colère
Livrée en pâture à la longueur de tes bras, (Il comprendra)
La vie est belle depuis que je suis prisonnière volontaire,
D’un cœur qui bat pour toi.
Traversent transits, trahissant ma tranquillité
Tristes travers se retrouvent à leur détriment
Transmis aux oublis à jamais retranchés.
Solitude, dissolue s’évapore soigneusement,
Sous la sagesse souveraine de tes sens.
S’épanouit à présent ma sérénité, mes sentiments,
Souillés auparavant par ton absence.
Mélancolie, maudite malédiction m’envahissait,
M’ouvrait maladivement à l’amour de la mort,
Maintenant, j’aime m’abreuver, m’enivrer
Matin et soir, des merveilles que m’offre ton corps,
Libérée de mes larmes amères, ma colère
Livrée en pâture à la longueur de tes bras, (Il comprendra)
La vie est belle depuis que je suis prisonnière volontaire,
D’un cœur qui bat pour toi.