Pour toi ma chère fille adorée.
Où- es –tu, toi qui emplissais de joie le foyer ?
Petite, dans mes bras tu dormais et te réveillais
Ton départ pèse sur ma vie un silence
Mon cœur ne vit plus que souffrances
Tu es toujours présente chère enfant
Chaque coin de la maison est une émotion
Dans tes yeux, je voyais l’espoir
A présent, les miens n’arrêtent de pleuvoir.
Tu te faufiles encore dans mon cœur
Où ta place me procure toujours bonheur
Dis-moi ma chère, pourquoi tu m’as quitté ?
Je ne tiens plus le coup, suis très attristé
Es-tu partie de ton plein gré
Ou pour me punir, de mes entrailles, on t’a arrachée ?
Je voudrais tant te serrer dans mes bras
T’avouer que, de ton absence, je suis las.
Je cherche ton ombre, ta voix, ton parfum
N’avions –nous pas des projets en commun ?
Accablé par cette douloureuse séparation
Mais je ne peux te haïr, tu es le meilleur don
Tu étais ma belle et douce fierté
Je ne t’ai jamais privée de liberté
Mon cœur se noie dans la douleur
Mes yeux ne voient plus de couleurs
Aujourd’hui, mes jours ne sont qu’obscurité
Même si tu es loin ; je te sens toujours à mes cotés
Tu m’as laissé au sort, j’affaiblis
De jour en jour, perds goût, à la vie.
Me pleures -tu toi aussi chère complice ?
Depuis ton départ, chagrin et angoisse me saisissent
Pourquoi t’es-tu exilée ? Assoiffé de tendresse,
De ta compagnie, ma chère et belle princesse
Je mène une vie d’un vagabond délaissé
Ma petite, de toi, je ne me plains pas ; moi le blessé
Je crie du fond de mon tendre cœur
Débordant d’amour pour toi : « Que tes jours soient bonheur ! »
Ton attente a trop duré chère confidente
Réponds –moi : « De ton choix es-tu vraiment contente ? »
A toi, je n’ai jamais cessé de penser
Ma chère et douce fille que j’ai beaucoup aimée
Que Dieu te protège là où tu es
Tu resteras à jamais ma fille bien aimée
Petite, dans mes bras tu dormais et te réveillais
Ton départ pèse sur ma vie un silence
Mon cœur ne vit plus que souffrances
Tu es toujours présente chère enfant
Chaque coin de la maison est une émotion
Dans tes yeux, je voyais l’espoir
A présent, les miens n’arrêtent de pleuvoir.
Tu te faufiles encore dans mon cœur
Où ta place me procure toujours bonheur
Dis-moi ma chère, pourquoi tu m’as quitté ?
Je ne tiens plus le coup, suis très attristé
Es-tu partie de ton plein gré
Ou pour me punir, de mes entrailles, on t’a arrachée ?
Je voudrais tant te serrer dans mes bras
T’avouer que, de ton absence, je suis las.
Je cherche ton ombre, ta voix, ton parfum
N’avions –nous pas des projets en commun ?
Accablé par cette douloureuse séparation
Mais je ne peux te haïr, tu es le meilleur don
Tu étais ma belle et douce fierté
Je ne t’ai jamais privée de liberté
Mon cœur se noie dans la douleur
Mes yeux ne voient plus de couleurs
Aujourd’hui, mes jours ne sont qu’obscurité
Même si tu es loin ; je te sens toujours à mes cotés
Tu m’as laissé au sort, j’affaiblis
De jour en jour, perds goût, à la vie.
Me pleures -tu toi aussi chère complice ?
Depuis ton départ, chagrin et angoisse me saisissent
Pourquoi t’es-tu exilée ? Assoiffé de tendresse,
De ta compagnie, ma chère et belle princesse
Je mène une vie d’un vagabond délaissé
Ma petite, de toi, je ne me plains pas ; moi le blessé
Je crie du fond de mon tendre cœur
Débordant d’amour pour toi : « Que tes jours soient bonheur ! »
Ton attente a trop duré chère confidente
Réponds –moi : « De ton choix es-tu vraiment contente ? »
A toi, je n’ai jamais cessé de penser
Ma chère et douce fille que j’ai beaucoup aimée
Que Dieu te protège là où tu es
Tu resteras à jamais ma fille bien aimée
Ton père qui t’adore
Pour qui tu es le seul et unique trésor
Ton papa qui t’aime.
Pour qui tu es le seul et unique trésor
Ton papa qui t’aime.
Je dédie ce poème à un collègue et ami attristé par l'absence de sa fille chérie.
Que Dieu les aide et les protège tous les deux
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