Concours : 5 Mai au 12 Mai 2015
( Envoi de vos poèmes comme à l'accoutumée sur ma messagerie privée en copier-coller )
Résultats : 14 Mai 2015
*
Thème : " Méditation sous un arbre..."
Vous vous trouvez sous votre arbre préféré et vos pensées s'envolent...vers un monde, un être vivant ou pas, un animal, chers à votre cœur...Décrivez le cheminement de vos pensées....
*
Contraintes :
En vers abab (alternés )
Attention !
A l'orthographe,
( pensez aux créa-correcteurs )
à la ponctuation.
Écrits non signés
*
Vos écrits seront notés avec impartialité et dans le respect des consignes ci-dessus
Chef du jury : Lys
*
A vos plumes méditatives et poétiques !
*
*
Participant(e)s
*************
Alain.....8,77 / 10
Médaille Argent
1 Te souviens-tu ?
Bien installé sous un palmier
Là où le temps ne prend pas d’âge.
Le sable fin couvre mes pieds,
Le même sel sur mon visage…
Te souviens-tu les soirs d’été
Quand nous marchions sur notre plage,
Tes doigts posés sur mes poignets
Et nos minois pas toujours sages ?
Nous profitions de cet instant
Quand le soleil joint son couchage
Au beau milieu de l’océan
En embrasant le paysage.
Te souviens-tu de nos ébats
Tant d’abandon en doux naufrage
Dans ce théâtre au cœur qui bât
Que nous offrait ce beau rivage ?
Les flots rythmaient ce paradis
Sur nos corps nus qui se dévoilent ;
Que de plaisirs sans interdit
Sous un plafond doré d’étoiles.
Te souviens-tu ô mon aimée
Que tu étais mon seul trésor,
De nos mots doux, de nos baisers
Qui s’attardaient jusqu’aux aurores ?
Moi je reviens chaque matin
Pour retracer tous ces moments
Sous un palmier plume à la main
Moi qui t’aime toujours autant…
***
Janu....8,44 / 10
2 L'arbre
Bois profond où les feuilles irradient la lumière
Elles explosent au printemps , et somnolent l’été
En automne elles sont en fonction dernière
Laissant déjà passer des trouées de clarté
Au milieu de ce bois, géant pour sa hauteur
Un arbre au tronc massif laisse pencher ses branches
Une belle clairière entoure sa splendeur
Elle incite au repos; de la vie vous retranche
Mais sur son tronc noirci il y a quelques cœurs
Je suis très courroucé par ces quelques blessures
Infligées au couteau et trouvées sans valeur
La plupart oubliées, ici elles perdurent !
Deux lettres rayées, flèche meurtrière
Rappelant Cupidon et à ce moment là
Deux êtres à l'unisson s'aimant dans la clairière
Voulant laisser trace de leur si bel état
Je me suis rappelé qu'avec ma Dulcinée
Jadis au bord de mer, avec des cailloux blancs
Nous fabriquions des cœurs, avec lettres marquées
Des messages d'amour rappelant nos élans…
La vie souvent sépare beaucoup de ceux qui s'aiment
Victimes du Destin ou d'érosion du temps
Tous ces vœux de bonheur sont le principe même
D'un Espoir d'avenir qui durerait longtemps !
*****
Mys Terre.....8,42/ 10
3 Sous ce saule pleureur, je souris
Je me souviens, j'étais une enfant
Ma jolie cousine, cette parigote
Venait chez nous une fois par an
Elle était mignonne et si rigolote.
On ne se quittait plus pendant un mois
Tous les jours on allait à la rivière
On s'amusait à l'orée du petit bois
Quelque fois, on jouait à la lavandière.
Il y avait un grand saule pleureur
Ses longs cheveux touchaient l'eau
On se cachait à l'intérieur
Derrière son immense rideau.
Le saule pleureur est toujours là
Quand je reviens dans ce magnifique coin
Comme aujourd'hui, il me tends ses bras
Sur l'eau, des canards chantent leur "coin coin "
Je me souviens aussi d'un cousin
Qui inventait toujours des tours de con
Avec la complicité de mon frangin
Il fit la course sur le dos d'un cochon.
La pauvre bête voulant se débarrasser
De ce poids, trop gênant sur son dos
En se débattant, elle l'envoya planer
Il retomba le nez dans la vase, l'idiot.
Ma cousine et moi étions plutôt sages
On s'amusait de voir les deux garçons
Qui n'avaient pas les idées en cage
Rien ne pouvait arrêter ces deux polissons.
Que ne donnerais-je pas
Pour revenir en enfance
Et retrouver ces moments là
Faits de joie et d’insouciance.
*****
Sohane.....8,26 / 10
4 Un instant près de toi
Sous un soleil rayonnant,
A l’ombre d’un cerisier je me suis allongée,
Humant les odeurs fleuries du printemps,
J’ai laissé mes pensées s’évader,
Allongée sur un tapis de pétales, les paupières closes,
Je me suis rappelé toutes ces années passées,
Un temps ou la vie n’était pas si rose,
Mais où tu étais encore à nos côtés,
Je n’étais encore qu’une enfant,
Mais je m’en rappelle comme si c’était hier,
Quand le soir à la fraîche nous arrosions le jardin en discutant,
Quand chacune de mes bonnes notes te rendait fier,
Il y a des bonheurs qui ne s’achètent pas,
Et celui d’être près de toi ne reviendra jamais,
Alors je passe mon temps à penser à toi,
A me remémorer ces moments qui dans mes pensées sont gravés,
Entre deux nuages ou sous une pluie d’étoiles,
Le regard vers le ciel et les pensées lointaines,
De ce bas-monde je mets les voiles,
A destination de toi papa, qui était mon oxygène…
*****
ModePoete....7,73 / 10
5 Au feu de notre bel amour
J'étais venue de bon matin
Sous l'ombre de mon centenaire
Qui savait me parler destin
Au temps de mon anniversaire
Son feuillage jouait saisons
Dans me yeux y vit leurs délices
Que je prends à saut de mouton
Pour défier les sacrifices
Je m'accorde à son langage
Quand il me propose sa force
J'en ai pris tous les bons messages
Pour saine cultiver mon écorce
Ma vie je la traîne détendue
Dans la forêt des doux mystères
Où les loups règnent mal repus
Et veulent dévorer ma chair
Mais pourquoi leur voracité
Moi je voudrai être chérie
Entre leur pattes de mendicité
Qui câlinerai mon âme jolie
Je t'entends ô toi mon bel arbre
Mes ans cachent les beaux étés
Mon amour n'est un simulacre
Gardez-vous de le mal penser!
Bel arbre offre moi ta santé
Que j'eus force de bien m'embellir
Pour trouver l'amour passionné
Dans les bras de mon doux désir
A ton pied laisse-moi entrevoir
La puissance de ces étreintes
Que l'on rencontre chaque soir
Fidèles pulsions qui n'ont feintes
Alors prés de toi mon peuplier
Je mènerai mon bel amant
Pour que sur ton tronc enraciné
ensemble fut pacte géant
Ton ombre couvrira baisers
De notre alliance sereine
qui nourrira tous les hivers
Dans la chaleur de nos pensées
Au feu de notre bel amour
Nous garderons ces souvenirs
Où notre jeunesse d'un jour
Aura sculpté notre avenir
*****
Prose16.....8,73 / 10
Médaille Bronze
6 Mon Chêne, source de vie...
Il est des rêves illusoires,
Rêves souvent perdus, inassouvis,
Il est des poussières d'histoires,
Histoires brutalement figées, assoupies...
Il est un chêne très vieux et noueux,
Premier lecteur de mes modestes poèmes,
Il est mon confident fidèle, « inspirant » généreux,
Sous sa voûte rassurante mon âme devient bohème...
Bohémiennes sont mes pensées,
Des haillons noirs de cauchemars
Virevoltent en danse macabre insensée,
Arrêtez cet impudique tintamarre !
Une feuille amie essuie doucement
Sur ma joue rougie une perle salée,
Flottent dans mes cheveux les rubans du vent,
Les papillons de nuit dans les nuées envolés...
Sur l'écume ouatée de mes rêveries,
J'ai cueilli une larme d'étoile,
J'ai rencontré un oiseau de paradis,
Du ciel il m'invite à traverser le voile...
Mon esprit vogue sur le fil de l'infini,
Grignote la barba-papa changeante des nuages,
Frôlant de titanesques galaxies,
Une aurore boréale étale un merveilleux rivage...
Je nage dans un océan de bien-être immaculé,
Je pénètre dans un lieu totalement inconnu,
Par des vagues de tendresse je suis submergée,
Des milliers de mots volettent dans les nues...
Me suis-je égarée au pays de mes songes ?
Je côtoie des anges qui écrivent des vers,
Passion des mots et inspiration les rongent,
Serait-ce des poètes perdus dans la sphère ?
Mes rêves sont brodés à la dentelle du Paradis,
Je voulais m'y ressourcer, je m'y sentais si bien,
Mais un quartier de lune couleur de miel m'a dit :
« Ne sois pas pressée, ce mirage blanc n'est pas encore le tien »...
Un frisson d'abandon parcourt mes veines,
S’effilochent les limbes de ma rêverie,
Mon âme vagabonde s'échoue au pied de mon chêne,
D'aise il soupire et d'un clin d’œil me sourit...
*****
Glycine.....9,05 / 10
Médaille Or
7 Sous le vieil olivier
Sous le vieil olivier dans un champ de lavandes
Au passé de lumière, je viens me ressourcer
Dans ce charmant décor à mes yeux en offrande
Mon esprit et mon cœur se noient dans leurs pensées
Sous l’arbre majestueux aux feuilles argentées
J’adore venir goûter à mon bonheur d’antan
Aux souvenirs brûlants d’un amour passionné
Qui a gravé mon âme de profonds sentiments
En solitaire, je songe, sous le vieil olivier
Aux flamboyants baisers qui ornent ma mémoire
Gardés précieusement dans un flacon secret
Qui contient le parfum de cette jolie histoire
Sous l’arbre centenaire, le temps se rembobine
Je revois son visage et me berce de sa voix
Et les beaux jours perdus à nouveau s’illuminent
Inoubliables images où je suis dans ses bras
J’aime venir m’épancher sous le vieil olivier
Un moment me poser, retourner en arrière
Et malgré les soupirs, les infinis regrets
Boire à la nostalgie des souvenirs d’hier
*****
Garibaldi.....8, 45 / 10
8 méditation sous un arbre...
À la porte des cieux, où s’évadent les âmes et les peurs…
Un petit pas de rien, suffit pour franchir l’horizon…
Embarquer dans un rêve, sous ce magnifique saule pleureur...
Je traverse la vie, juste découvrir l'absolu, et perdre la raison…
À l’heure de la brume, il faut partir, se faire la belle…
Oublier les secrets de cette terre, parcourir l’univers…
Prendre la liberté quand l’immense ciel émerveille…
D’être le temps d’un songe, au plus loin de cet hiver…
Déambuler, s’asseoir sur un croissant de lune…
Emporté par le vent dans tout le firmament…
Et s’en aller, naviguant sous les yeux de saturne…
Pour une étoile plus brillante, simplement s’enfuir nuitamment…
Un peu d’imaginaire, un peu d’esprit, pour toucher l’inaccessible…
Et découvrir que sous mon arbre larmoyant, s'y rêve un coin du paradis…
Prendre un jour, rendez-vous pour ce monde, cette éternité invisible…
Et sentir l'espoir, un peu plus frôler une réalité, quand se réduit l'infini…
*****
Katyann......8,56 / 10
9 A l’ombre du saule
A l'ombre du saule, lestement je m’assieds
Sur le sol en soierie, dans la vaste clairière
Ses racines lacées serpentent sous mes pieds
Et ses branches penchées caressent ma paupière.
Sur l'écorce gravée, en volutes sculptées,
Un nom sur la sève; j’effleure de mes doigts
Ballottée et noyée par ces lettres figées
D'un souvenir enfoui, j’ai rêvé tant de fois.
D'une si frêle empreinte, en retisser le fil
Caresser son âme blottie sous le ramage
Portée par son souffle de ce lien si fragile
Dans un fin bruissement, revoir son doux visage
Dans un rêve illusoire, à l'orée du printemps
Retourner dans l’éden aux bourgeons de velours
Qui valsent sous son toit, sur les rives du temps
Sur la mousse d'azur ivresse des beaux jours.
Quand mon arbre chante, sur le tambour du vent
D'une magie qui souffle un soupir espéré
Tel un chant sonore, que seul son nom j'entends
Sanglot d'un violon dans l'écho murmuré.
Quand ses longues tiges sur l’azur en prière
Que leurs feuilles d’argent, valsent sur les ruisseaux
Voguant dans ce décor, aux frissons de naguère
Couchée sur son ombre, tapie sous les roseaux.
*****
Maryvelo.....8,15 /10
Sur le sol en soierie, dans la vaste clairière
Ses racines lacées serpentent sous mes pieds
Et ses branches penchées caressent ma paupière.
Sur l'écorce gravée, en volutes sculptées,
Un nom sur la sève; j’effleure de mes doigts
Ballottée et noyée par ces lettres figées
D'un souvenir enfoui, j’ai rêvé tant de fois.
D'une si frêle empreinte, en retisser le fil
Caresser son âme blottie sous le ramage
Portée par son souffle de ce lien si fragile
Dans un fin bruissement, revoir son doux visage
Dans un rêve illusoire, à l'orée du printemps
Retourner dans l’éden aux bourgeons de velours
Qui valsent sous son toit, sur les rives du temps
Sur la mousse d'azur ivresse des beaux jours.
Quand mon arbre chante, sur le tambour du vent
D'une magie qui souffle un soupir espéré
Tel un chant sonore, que seul son nom j'entends
Sanglot d'un violon dans l'écho murmuré.
Quand ses longues tiges sur l’azur en prière
Que leurs feuilles d’argent, valsent sur les ruisseaux
Voguant dans ce décor, aux frissons de naguère
Couchée sur son ombre, tapie sous les roseaux.
*****
Maryvelo.....8,15 /10
10 L'arbre, le cheval, mes secrets.
Je me retranche...en marge...
Et pars dans les profondeurs...
Pour parcourir un sain voyage,
Qui a pour destination mon cœur.
Arrivée à dos de mon fidèle destrier,
Je m'assoie aux ombres
De l'érable, partage de mes secrets,
Qu'il garde en grand nombre.
Mélancolique, à l'écoute du silence ;
Sous mon arbre mon cheval pâture.
Je règne avec bienséance
Dans ce monde de verdure...
Les espoirs naissent de ce tableau,
Comme s'épanouissent les fleurs.
L'isolement présage de fardeaux,
Ici représente paix et bonheur.
Mais avec le temps mon sang se glace.
Je suis seule avec mon arbre et mon cheval.
La réflexion jamais ne me lasse.
Hélas, pour ma cervelle un jour ce sera fatal.
Je me retranche...en marge...
Et pars dans les profondeurs...
Pour parcourir un sain voyage,
Qui a pour destination mon cœur.
Arrivée à dos de mon fidèle destrier,
Je m'assoie aux ombres
De l'érable, partage de mes secrets,
Qu'il garde en grand nombre.
Mélancolique, à l'écoute du silence ;
Sous mon arbre mon cheval pâture.
Je règne avec bienséance
Dans ce monde de verdure...
Les espoirs naissent de ce tableau,
Comme s'épanouissent les fleurs.
L'isolement présage de fardeaux,
Ici représente paix et bonheur.
Mais avec le temps mon sang se glace.
Je suis seule avec mon arbre et mon cheval.
La réflexion jamais ne me lasse.
Hélas, pour ma cervelle un jour ce sera fatal.
Sous cet arbre,aurais je un baiser ?
Afin de parcourir un long chemin,
Où le verbe à conjuguer serait, aimer,
Et le maître mot complicité, main dans la main.
Afin de parcourir un long chemin,
Où le verbe à conjuguer serait, aimer,
Et le maître mot complicité, main dans la main.
En scelle endiablée de galop,
Rejoindre l'érable à l'écoute de délicatesse,
N'est ce pas une alternative aux bobos ?
Pour fuir la tourmente et la tristesse.
*****
RoseSilencieuse.....8,24 / 10
11 Sous notre chêne
Te souviens tu mon amour
De cette ballade en forêt
Le plus beau de tous nos jours
Où nous nous sommes tant aimés.
Sur le chemin de la clairière
Ce grand chêne, nous attendait
Nos regards remplis de lumière
Nous lui avons simplement demandé
S'il nous donnait la permission
D'y graver ensemble nos deux cœurs
Sur son grand et généreux tronc
Entrelacés avec une fleur.
J’aurai voulu t’accompagner
Sur l’autre rive, de l’autre coté
Comme notre chêne, je reste blessée
Le destin nous a cruellement séparé.
En passant ma main lentement
Sur nos deux cœurs emprisonnés
Je sens tressaillir doucement
Sous ma paume,l’écorce transpercée.
J'y pose mes lèvres délicatement
Tout l'amour que tu m'as donné
Est dans ce cœur encore palpitant
En moi,il reste à jamais gravé.
Je souffre tellement de ton absence
Je pleure sans que cela se voit
Sous les regards de l’indifférence
S'ils savaient,oh combien! Je tenais à toi.
*****
Félicitations à tous
Rendez-vous sur la page de LLUMIERELIVE pour un nouveau concours " Rêves accomplis, rêves inassouvis "
Rejoindre l'érable à l'écoute de délicatesse,
N'est ce pas une alternative aux bobos ?
Pour fuir la tourmente et la tristesse.
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RoseSilencieuse.....8,24 / 10
11 Sous notre chêne
Te souviens tu mon amour
De cette ballade en forêt
Le plus beau de tous nos jours
Où nous nous sommes tant aimés.
Sur le chemin de la clairière
Ce grand chêne, nous attendait
Nos regards remplis de lumière
Nous lui avons simplement demandé
S'il nous donnait la permission
D'y graver ensemble nos deux cœurs
Sur son grand et généreux tronc
Entrelacés avec une fleur.
J’aurai voulu t’accompagner
Sur l’autre rive, de l’autre coté
Comme notre chêne, je reste blessée
Le destin nous a cruellement séparé.
En passant ma main lentement
Sur nos deux cœurs emprisonnés
Je sens tressaillir doucement
Sous ma paume,l’écorce transpercée.
J'y pose mes lèvres délicatement
Tout l'amour que tu m'as donné
Est dans ce cœur encore palpitant
En moi,il reste à jamais gravé.
Je souffre tellement de ton absence
Je pleure sans que cela se voit
Sous les regards de l’indifférence
S'ils savaient,oh combien! Je tenais à toi.
*****
Félicitations à tous
Rendez-vous sur la page de LLUMIERELIVE pour un nouveau concours " Rêves accomplis, rêves inassouvis "
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