Je voudrais dédier ce poème,
Ainsi que ces quelques larmes,
A une femme fabuleuse,
Qui a toujours été là pour moi.
En effet depuis le 30 avril 1993,
Malgré la mort de ma sœur,
Malgré toute cette persécution subie du collège,
Et malgré ce déménagement pendant le lycée,
Tu as toujours été la plus forte de toutes les femmes du monde.
Tu m'as appris les choses de la vie,
Tu m'as encouragé dans les durs épreuves,
Tu as réussi à trouver de grandes qualités en moi,
Tu as trouvé les mots pour me faire avancer dans mes hésitations,
Et les moments passés ensemble deviennent inoubliables.
Mais au fil du temps,
Une dégradation commence à venir...
Les souvenirs s'effacent,
Les personnes disparaissent,
Le temps n'existe plus,
L'espace ne se distingue plus,
La colère gronde,
Et les larmes tombent.
Cette maladie t'a blâmée,
Mais pourquoi ?
Je voudrais remonter dans le passé,
Pour comprendre cette affreuse guerre,
Qui s'appelle...
Alzheimer...
Ainsi que ces quelques larmes,
A une femme fabuleuse,
Qui a toujours été là pour moi.
En effet depuis le 30 avril 1993,
Malgré la mort de ma sœur,
Malgré toute cette persécution subie du collège,
Et malgré ce déménagement pendant le lycée,
Tu as toujours été la plus forte de toutes les femmes du monde.
Tu m'as appris les choses de la vie,
Tu m'as encouragé dans les durs épreuves,
Tu as réussi à trouver de grandes qualités en moi,
Tu as trouvé les mots pour me faire avancer dans mes hésitations,
Et les moments passés ensemble deviennent inoubliables.
Mais au fil du temps,
Une dégradation commence à venir...
Les souvenirs s'effacent,
Les personnes disparaissent,
Le temps n'existe plus,
L'espace ne se distingue plus,
La colère gronde,
Et les larmes tombent.
Cette maladie t'a blâmée,
Mais pourquoi ?
Je voudrais remonter dans le passé,
Pour comprendre cette affreuse guerre,
Qui s'appelle...
Alzheimer...