Assis sur le toit de mes songes éveillés,
Je t'espérais, contemplant le temps sommeiller
Aux pas de ta fragrance, mon esprit se tut.
Un frisson dans mes yeux, et tu apparus.
Splendide, ton sourire m'éblouit
Puis, telle une main invisible,
Se saisit fermement de mon cœur ;
A moi les clés du paradis, à moi le bonheur !
Douce comme une mélodie d'antan,
Ta voix me caressant le tympan,
Me murmura, fraiche et coquine,
Trois mots oints d'une tendresse divine.
La fraîcheur de tes lèvres roses
En invitant les miennes à l'osmose,
Fit clore en douceur mes paupières
Le temps d'un baiser. Intense comme une prière.
Les pensées toutes d'amour enduites,
Nous étions heureux dans notre fuite
Enlacés au cœur d'un beau nuage blanc
Seuls sur Terre, fous et insolents…
Tes bras veloutés m'entourant comme deux ailes
Firent grimper mon bonheur jusqu'au ciel.
Léger comme dans un rêve d'amour,
Je me fis plus doux qu'un dauphin d'un jour.
Et cœur contre cœur, corps contre corps,
Le sang bouillant de plus en plus fort,
Nous fîmes jaillir de nos sensuelles frictions
La flamme d'une longue nuit de passion.
Et là, sous un firmament fourmillant d'étoiles,
Ma Sirène et moi mîmes les voiles
Pour une croisière au pays de la liberté
Où règnent folie, tendresse et volupté…
Je t'espérais, contemplant le temps sommeiller
Aux pas de ta fragrance, mon esprit se tut.
Un frisson dans mes yeux, et tu apparus.
Splendide, ton sourire m'éblouit
Puis, telle une main invisible,
Se saisit fermement de mon cœur ;
A moi les clés du paradis, à moi le bonheur !
Douce comme une mélodie d'antan,
Ta voix me caressant le tympan,
Me murmura, fraiche et coquine,
Trois mots oints d'une tendresse divine.
La fraîcheur de tes lèvres roses
En invitant les miennes à l'osmose,
Fit clore en douceur mes paupières
Le temps d'un baiser. Intense comme une prière.
Les pensées toutes d'amour enduites,
Nous étions heureux dans notre fuite
Enlacés au cœur d'un beau nuage blanc
Seuls sur Terre, fous et insolents…
Tes bras veloutés m'entourant comme deux ailes
Firent grimper mon bonheur jusqu'au ciel.
Léger comme dans un rêve d'amour,
Je me fis plus doux qu'un dauphin d'un jour.
Et cœur contre cœur, corps contre corps,
Le sang bouillant de plus en plus fort,
Nous fîmes jaillir de nos sensuelles frictions
La flamme d'une longue nuit de passion.
Et là, sous un firmament fourmillant d'étoiles,
Ma Sirène et moi mîmes les voiles
Pour une croisière au pays de la liberté
Où règnent folie, tendresse et volupté…
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