L’ESCLAVE.
En considérant le fond des univers
Là, tu te sens seul en ver de terre
La distance entre mon œil et ma bite
Est alors une angoisse qui m’habite
Car les excès et la bonne chère
Se comptent en années-lumière
Gonflant ventre telle future mère
Popaul se cachant derrière misères.
Même bandé, l’animal se cache
En sournois impropre à sa tâche
Il me faut interpeller ce manant
Et de belle manière en le frappant
Pour qu’enfin réagisse ce fainéant
Que nenni, en couard, le monstre se replie
Se planquant sous les plis en stratégie
Nous ne ferons point ainsi descendance
Au matin, mille oiseaux chantent
Mes rêves naviguent en Charente
Tes entrailles vides sont en désespérance
Adoptons un petit nègre en errance.
Les carreaux seront propres...
Loïc ROUSSELOT
En considérant le fond des univers
Là, tu te sens seul en ver de terre
La distance entre mon œil et ma bite
Est alors une angoisse qui m’habite
Car les excès et la bonne chère
Se comptent en années-lumière
Gonflant ventre telle future mère
Popaul se cachant derrière misères.
Même bandé, l’animal se cache
En sournois impropre à sa tâche
Il me faut interpeller ce manant
Et de belle manière en le frappant
Pour qu’enfin réagisse ce fainéant
Que nenni, en couard, le monstre se replie
Se planquant sous les plis en stratégie
Nous ne ferons point ainsi descendance
Au matin, mille oiseaux chantent
Mes rêves naviguent en Charente
Tes entrailles vides sont en désespérance
Adoptons un petit nègre en errance.
Les carreaux seront propres...
Loïc ROUSSELOT