Je n’ai pas laissé couler ces larmes d’orage.
Oubliant ce qu’elle reflétait dans mon cœur.
Aujourd’hui c’est sans repère que je me noie
Tant de rancœur égarée qui même se broie
Ivresse d’amour désespérant mon erreur
Oubliant ce qu’elle reflétait dans mon cœur.
Aujourd’hui c’est sans repère que je me noie
Tant de rancœur égarée qui même se broie
Ivresse d’amour désespérant mon erreur
Elle fuit encore dans son dernier voyage
Tous ces regrets se consument sur ce chemin,
Au terme de ma vie l’atteindre dans l’éther,
Parcourir le sillage de son pas, mourir
N’ébruitez pas ces maux quand il faut dépérir
Arpenter la folie de son précepte amer.
Hélas ! Que restera-t-il de ce lendemain ?
Tous ces regrets se consument sur ce chemin,
Au terme de ma vie l’atteindre dans l’éther,
Parcourir le sillage de son pas, mourir
N’ébruitez pas ces maux quand il faut dépérir
Arpenter la folie de son précepte amer.
Hélas ! Que restera-t-il de ce lendemain ?
Son visage s’efface, là dans ma mémoire,
Mes rêves souffrent de ce désir de pardon
Mais rien n’espérera ce désarroi perdu
Qui s’étend dans cet isolement inconnu
Au sombre ciel l’aveu s’éteint dans la raison
Dans la nuit seule je pleure sur l’idée noire.
Mes rêves souffrent de ce désir de pardon
Mais rien n’espérera ce désarroi perdu
Qui s’étend dans cet isolement inconnu
Au sombre ciel l’aveu s’éteint dans la raison
Dans la nuit seule je pleure sur l’idée noire.
Son absence repose en moi son émissaire,
De son amour mon démon s’invente réel,
Édifiant ces barrières, constat du néant.
Commettant l’irréparable sort décédant,
En moi l’absurdité s’exprime dans le ciel,
Ne tenant pas à recueillir tout son mystère.
Maria-Dolores
écrit le 28 mars 2010
De son amour mon démon s’invente réel,
Édifiant ces barrières, constat du néant.
Commettant l’irréparable sort décédant,
En moi l’absurdité s’exprime dans le ciel,
Ne tenant pas à recueillir tout son mystère.
Maria-Dolores
écrit le 28 mars 2010