Haut d’heure.
Midi, en commençant par se goût de pastis,
L’olive accompagne cette bonne pissaladière,
Fragrance de l’oignon, mais jamais, je n’en pâtis,
Air empli de parfum d’aujourd’hui et d’hier.
Pour le pistou, mélange d’ail et le basilic,
Azur de ce palace, j’en apprécie l’odeur,
Comme des arômes d’encens en cette basilique,
Les amoureux du bon recherchent cette humeur.
Ce fumet ratatouille nous comble sous ce toit,
Sud et soleil exhalent leurs senteurs bénéfiques,
Ils abreuvent habitants et touristes en convoi,
Bouffée d’air de farniente, ici, académique.
Dans ce resto de Grasse, ici, les nez sont rois,
Promenade digestive en se prenant la main,
Ces effluves discrètes sont mises en flacon de choix,
Dans ses jardins aux relents de roses, de jasmin.
Midi, en commençant par se goût de pastis,
L’olive accompagne cette bonne pissaladière,
Fragrance de l’oignon, mais jamais, je n’en pâtis,
Air empli de parfum d’aujourd’hui et d’hier.
Pour le pistou, mélange d’ail et le basilic,
Azur de ce palace, j’en apprécie l’odeur,
Comme des arômes d’encens en cette basilique,
Les amoureux du bon recherchent cette humeur.
Ce fumet ratatouille nous comble sous ce toit,
Sud et soleil exhalent leurs senteurs bénéfiques,
Ils abreuvent habitants et touristes en convoi,
Bouffée d’air de farniente, ici, académique.
Dans ce resto de Grasse, ici, les nez sont rois,
Promenade digestive en se prenant la main,
Ces effluves discrètes sont mises en flacon de choix,
Dans ses jardins aux relents de roses, de jasmin.