Rien de heurtant..
Oh! le joli minois,
Je l'effleure du doigt,
Et ce nez retroussé,
Je pose un doux baiser,
Et ces yeux, d'eux ,à deux,
Ils baladent où je veux.
Oh! le joli sourire,
Je l'habite insolent,
Une niche à plaisirs,
Je l'aime bredouillant,
Captif du ru désaltérant,
Je le peuple ardent .
La jambe se desserre
J'ai le panache arrogant,
S'écarte ,l'égide de l'amant,
Sempiternels instants,
J' ouïe un gémir pétillant,
Homélie incendiée de la serre.
Oh! que vous êtes jolie,
Quand vos yeux s'éclairent,
Quand le cil cligne , ,dit oui,
Vous m'inondez de votre pluie,
Le membre décapité ,soumis,
Vos joues égrènent un rosaire
Entonnent , "je vous salue Marie ",
Vous êtes belle Madame,
Quand votre âme se fait femme,
Dieu! que vous êtes jolie,
Quand les bras se lovent ,se replient ,
Des ailes habiles ....j' étreins le Paradis.
Oh! le joli minois,
Je l'effleure du doigt,
Et ce nez retroussé,
Je pose un doux baiser,
Et ces yeux, d'eux ,à deux,
Ils baladent où je veux.
Oh! le joli sourire,
Je l'habite insolent,
Une niche à plaisirs,
Je l'aime bredouillant,
Captif du ru désaltérant,
Je le peuple ardent .
La jambe se desserre
J'ai le panache arrogant,
S'écarte ,l'égide de l'amant,
Sempiternels instants,
J' ouïe un gémir pétillant,
Homélie incendiée de la serre.
Oh! que vous êtes jolie,
Quand vos yeux s'éclairent,
Quand le cil cligne , ,dit oui,
Vous m'inondez de votre pluie,
Le membre décapité ,soumis,
Vos joues égrènent un rosaire
Entonnent , "je vous salue Marie ",
Vous êtes belle Madame,
Quand votre âme se fait femme,
Dieu! que vous êtes jolie,
Quand les bras se lovent ,se replient ,
Des ailes habiles ....j' étreins le Paradis.