Quand Les Coeurs Battent Ensemble
En douleurs s’unissent mes mots
en cette prose
Lierre, puisque je suis, je meurs où je m'accroche,
Quelle épreuve que soit, sa couleur belle ou moche
N’empêchera mon corps tendre mais surtout chêne
De choyer mon sarment médusé sur la haine !
Car en fleurs ma pensée au-dessus de mes craintes
Largue le fol espoir en corolles ses ailes
Et si l’olifant geint mon cor force mes veines
En souffle court et lent pour parler mon haleine* !
Ce pur sang coule à flots partout et sur la scène
Mes entrailles se glacent deviennent intestin grêle
La vie frêle, en grelots hors Nature voulue
Seul témoin bien vivant pleure son révolu !
N’empêchera mon corps offensé restant chêne
De choyer mon sarment sur forces qui me gênent
Car le fond de la source jamais ne se dessèche
Les grêlons de misère ouvrent en moi ses mystères !
Son voile crépusculaire amène son embrun,
Enterre sous le ciel douloureuse survies!
Y a t’il ici-bas un maître un dictateur
Qui ne sait pas qu’on vit qu'on se bat pour la vie ?
Sa macédoine rit sous l’effet d’une source aride
Mais le résultat pleure ce qui le fait sourire !
Rends-toi sur cette sphère qui englobe le monde,
Elle est ronde et se ferme à tout cœur immonde !
Ma plume ne délire vêt sa peau de chagrin
Pour Toi l’écrin d’émois sur nous ensemble unis
Et l’immortelle emblème, en cet Amour repeint,
Dans nos forces armées s’abaisse et communie
Se met en joug toujours pour le pire et meilleur !
Et dans l’Amour suprême aucun mot ne détonne
L'alarme qui suit vit, crée arme de défense
Je déploierai mes zèles en sage sans défiance,
Chez-nous signe l’espoir et son écho résonne !
Le ferme avec le cœur ancré entre deux mains.
L’homme est la parure de la nature demain !
Qu’as-tu fais de sa parure
Sinon détruire son costume humain!
Polymnie, le 24 mai 2017 *
Dans le texte = mes pensées.
En douleurs s’unissent mes mots
en cette prose
Lierre, puisque je suis, je meurs où je m'accroche,
Quelle épreuve que soit, sa couleur belle ou moche
N’empêchera mon corps tendre mais surtout chêne
De choyer mon sarment médusé sur la haine !
Car en fleurs ma pensée au-dessus de mes craintes
Largue le fol espoir en corolles ses ailes
Et si l’olifant geint mon cor force mes veines
En souffle court et lent pour parler mon haleine* !
Ce pur sang coule à flots partout et sur la scène
Mes entrailles se glacent deviennent intestin grêle
La vie frêle, en grelots hors Nature voulue
Seul témoin bien vivant pleure son révolu !
N’empêchera mon corps offensé restant chêne
De choyer mon sarment sur forces qui me gênent
Car le fond de la source jamais ne se dessèche
Les grêlons de misère ouvrent en moi ses mystères !
Son voile crépusculaire amène son embrun,
Enterre sous le ciel douloureuse survies!
Y a t’il ici-bas un maître un dictateur
Qui ne sait pas qu’on vit qu'on se bat pour la vie ?
Sa macédoine rit sous l’effet d’une source aride
Mais le résultat pleure ce qui le fait sourire !
Rends-toi sur cette sphère qui englobe le monde,
Elle est ronde et se ferme à tout cœur immonde !
Ma plume ne délire vêt sa peau de chagrin
Pour Toi l’écrin d’émois sur nous ensemble unis
Et l’immortelle emblème, en cet Amour repeint,
Dans nos forces armées s’abaisse et communie
Se met en joug toujours pour le pire et meilleur !
Et dans l’Amour suprême aucun mot ne détonne
L'alarme qui suit vit, crée arme de défense
Je déploierai mes zèles en sage sans défiance,
Chez-nous signe l’espoir et son écho résonne !
Le ferme avec le cœur ancré entre deux mains.
L’homme est la parure de la nature demain !
Qu’as-tu fais de sa parure
Sinon détruire son costume humain!
Polymnie, le 24 mai 2017 *
Dans le texte = mes pensées.
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