Un jour parmi des jours
Ce 14 juillet à Nice
Cinq photos m'ont été adressées par des Amis à Nice Et lorsque je les ai transférées sur mes images, un message m'est apparu : "Oui, nous vous conseillons de les distribuer pour qu’elles soient largement diffusées!”
Cliquez sur l'image pour voir sa version complète
En une blanche nuit tout inspire et respire !
Douceur d’intensité fleurit sur l’oreiller !
C’est trop beau mon Chéri de sentir le jardin,
Dehors borde le soir près du Signe Divin,
Il manque le grand chêne auprès de l’olivier.
Leurs feuilles en replis sur confession privée
Sous un beau ciel de lit font chaste prière.
Comme nous en secret transportons la Lumière
Nos bras en deux mains pour abattre l’ivraie
Que l’effroi mène au gel sans cesse se recrée
Et saignent la nouvelle ainsi que guerre hier !
Etre seul en soi-même avec l’Autre-soi, fier
Pour qu’un rayon clarté vibre sur cœurs liés.
Soyons comme chêne, forts, tête et racine ensemble
Gardons ce sentiment serein et volontaire,
Que l’Aube-épine ne soit plus terre-à-terre
Atteignons la Sagesse afin qu’elle rassemble !
Tel l’Olivier l’offrant au travers de rameaux
Profilant tous secrets ouvrant la Connaissance
Et que sur sa cène s’étalent avec aisance
Tous ses joyaux mûris autour d’un pur noyau
Polymnie2, écrit le 16 juillet 2016
Mon texte a été écrit avant de recevoir les photos.
Ce 14 juillet à Nice
Cinq photos m'ont été adressées par des Amis à Nice Et lorsque je les ai transférées sur mes images, un message m'est apparu : "Oui, nous vous conseillons de les distribuer pour qu’elles soient largement diffusées!”
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En une blanche nuit tout inspire et respire !
Douceur d’intensité fleurit sur l’oreiller !
C’est trop beau mon Chéri de sentir le jardin,
Dehors borde le soir près du Signe Divin,
Il manque le grand chêne auprès de l’olivier.
Leurs feuilles en replis sur confession privée
Sous un beau ciel de lit font chaste prière.
Comme nous en secret transportons la Lumière
Nos bras en deux mains pour abattre l’ivraie
Que l’effroi mène au gel sans cesse se recrée
Et saignent la nouvelle ainsi que guerre hier !
Etre seul en soi-même avec l’Autre-soi, fier
Pour qu’un rayon clarté vibre sur cœurs liés.
Soyons comme chêne, forts, tête et racine ensemble
Gardons ce sentiment serein et volontaire,
Que l’Aube-épine ne soit plus terre-à-terre
Atteignons la Sagesse afin qu’elle rassemble !
Tel l’Olivier l’offrant au travers de rameaux
Profilant tous secrets ouvrant la Connaissance
Et que sur sa cène s’étalent avec aisance
Tous ses joyaux mûris autour d’un pur noyau
Polymnie2, écrit le 16 juillet 2016
Mon texte a été écrit avant de recevoir les photos.
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