Tout lire en ire….
Me faut-il un bulletin pour souscrire,
A ma demande d’un petit sourire,
Pourtant mon médecin vient de me prescrire,
De remplacer mon steak par un grand rire.
Car je viens d’apprendre que tu t’apprêtes à médire,
Sur mes judicieux écrits juste pour me contredire,
Pourtant mon infirmière était là pour me dire :
Calme-toi, il ne fait cela que pour se dédire.
Heureusement, vous êtes là pour démentir,
Car mes mots ici vous enchantent à ravir,
Car sur un simple et utile petit tir,
Vous me demander toujours de revenir.
J’aurai pu comme certain encore m’enfuir,
J’ai senti que vous étiez là pour me soutenir,
D’une amitié constante, je puis le garantir,
Vous êtes maintenant ancrés dans mon souvenir.
Et si j’allais trop loin, une parole pour me soutenir
De mes maux à vos mots pour me retenir,
D’un jeu ou d’un contrepet, il faut vous prévenir,
De l’humour ou de l’amitié, il me faut les définir.
J’arrête ici, il me faut me contenir,
Sans fuir, je peux tenir pour encore vous servir,
Mais j’aime ici tellement vous lire,
Que je ne suis bien sur jamais en ire.
Me faut-il un bulletin pour souscrire,
A ma demande d’un petit sourire,
Pourtant mon médecin vient de me prescrire,
De remplacer mon steak par un grand rire.
Car je viens d’apprendre que tu t’apprêtes à médire,
Sur mes judicieux écrits juste pour me contredire,
Pourtant mon infirmière était là pour me dire :
Calme-toi, il ne fait cela que pour se dédire.
Heureusement, vous êtes là pour démentir,
Car mes mots ici vous enchantent à ravir,
Car sur un simple et utile petit tir,
Vous me demander toujours de revenir.
J’aurai pu comme certain encore m’enfuir,
J’ai senti que vous étiez là pour me soutenir,
D’une amitié constante, je puis le garantir,
Vous êtes maintenant ancrés dans mon souvenir.
Et si j’allais trop loin, une parole pour me soutenir
De mes maux à vos mots pour me retenir,
D’un jeu ou d’un contrepet, il faut vous prévenir,
De l’humour ou de l’amitié, il me faut les définir.
J’arrête ici, il me faut me contenir,
Sans fuir, je peux tenir pour encore vous servir,
Mais j’aime ici tellement vous lire,
Que je ne suis bien sur jamais en ire.
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