PAN !! Dors ...
- Je suis le nerf de la guerre,
- celui par qui vient le chaos.
- Je reviens de l'ère de naguère,
- la haine de tout ce qui est beau.
- Je suis la cause des discordes,
- celui qui sépare les amis.
- Préparez dix potences et dix cordes,
- je vais détruire, je suis l'ennemi.
- Je suis la boîte de Pandore,
- mettant au jour malsaines entrailles.
- Déversant les maux et remords,
- vous aspergeant d'une sale mitraille.
- je déferle sur vos vies,
- espérant naïvement devenir meilleur.
- Mais quand je pars plus rien ne fleuri,
- la joie, la vie, ça sera ailleurs.
- Me redécouvrir tendresse,
- en ais-je encore le temps ?
- Quand toute ma vie de la tristesse,
- j'ai moissonné le champ ?
- Interdit au Bonheur,
- mon destin: hop ! Au rebut !!
- Toujours des fins, l'horreur,
- mais jamais de début.
- Je suis un éléphant,
- Dans un magasin de porcelaine.
- Maladroit comme un enfant,
- je m'accuse, je sais que j'gène.
- Je ne fais rien contre nature,
- poursuivant vainement des amour,
- qui ne m’amènent que déchirures,
- et quelques nuées de vautours.
- Un jour on faute.
- Un jour on pardonne.
- J'ai été ton hôte,
- t'as menti pauvre conne ...
- Du plomb dans la cervelle,
- littéral ou métaphore ?
- Quand des sentiments gèlent,
- Ils ne repoussent plus la mort.
- Quand les princes et les rois,
- ne sont plus qu'hypothèse,
- si je viole mes propres lois,
- je ne suis plus que glaise ...
- Le défaut de mon armure:
- elle ne rouille pas sous mes pleurs.
- Je connais cet art mûr:
- faire ricocher la douleur.
- Si sur la carte de cette écorce,
- tu cherche et trouve la mince faille,
- tu y découvriras cachée ma force,
- victoire de toutes mes batailles.
- Un jour je te suivrai,
- ma direction, mon but.
- Et alors qu'enfin tu m'aimerais,
- fini en moi le fils de pute.
O.
- Je suis le nerf de la guerre,
- celui par qui vient le chaos.
- Je reviens de l'ère de naguère,
- la haine de tout ce qui est beau.
- Je suis la cause des discordes,
- celui qui sépare les amis.
- Préparez dix potences et dix cordes,
- je vais détruire, je suis l'ennemi.
- Je suis la boîte de Pandore,
- mettant au jour malsaines entrailles.
- Déversant les maux et remords,
- vous aspergeant d'une sale mitraille.
- je déferle sur vos vies,
- espérant naïvement devenir meilleur.
- Mais quand je pars plus rien ne fleuri,
- la joie, la vie, ça sera ailleurs.
- Me redécouvrir tendresse,
- en ais-je encore le temps ?
- Quand toute ma vie de la tristesse,
- j'ai moissonné le champ ?
- Interdit au Bonheur,
- mon destin: hop ! Au rebut !!
- Toujours des fins, l'horreur,
- mais jamais de début.
- Je suis un éléphant,
- Dans un magasin de porcelaine.
- Maladroit comme un enfant,
- je m'accuse, je sais que j'gène.
- Je ne fais rien contre nature,
- poursuivant vainement des amour,
- qui ne m’amènent que déchirures,
- et quelques nuées de vautours.
- Un jour on faute.
- Un jour on pardonne.
- J'ai été ton hôte,
- t'as menti pauvre conne ...
- Du plomb dans la cervelle,
- littéral ou métaphore ?
- Quand des sentiments gèlent,
- Ils ne repoussent plus la mort.
- Quand les princes et les rois,
- ne sont plus qu'hypothèse,
- si je viole mes propres lois,
- je ne suis plus que glaise ...
- Le défaut de mon armure:
- elle ne rouille pas sous mes pleurs.
- Je connais cet art mûr:
- faire ricocher la douleur.
- Si sur la carte de cette écorce,
- tu cherche et trouve la mince faille,
- tu y découvriras cachée ma force,
- victoire de toutes mes batailles.
- Un jour je te suivrai,
- ma direction, mon but.
- Et alors qu'enfin tu m'aimerais,
- fini en moi le fils de pute.
O.
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