Mes mains s'enivrent s'abreuvent d'espoir
Et partent à la dérive me poussant bien trop loin
Mes mains les guide dans ces sombres couloirs
Recherchant la lumière recherchant un chemin
Mes mots s'effacent laissant seule ma pensée
Divaguer dans l'espace et la félicité
Mais ils refont surface et sur lignes serrées
Se pressent sans nulle grâce pour ne pas oublier
Mes maux s'amusent me tiraillent le soir
S'agitant dans ma tête modifiant mes desseins
Mon coeur les entraîne vers l'amour illusoire
D'un poème fugace sans aucun demain
Mes mots s'enlacent épousant les déliés
Laissant dans leurs traces des signes imparfaits
Evitant les grimaces d'une main ulcérée
Qui attend et menace prête à les effacer
Mes maux s'écrivent mes mots s'effacent
Mes mots s'accrochent au temps qui passe
Et partent à la dérive me poussant bien trop loin
Mes mains les guide dans ces sombres couloirs
Recherchant la lumière recherchant un chemin
Mes mots s'effacent laissant seule ma pensée
Divaguer dans l'espace et la félicité
Mais ils refont surface et sur lignes serrées
Se pressent sans nulle grâce pour ne pas oublier
Mes maux s'amusent me tiraillent le soir
S'agitant dans ma tête modifiant mes desseins
Mon coeur les entraîne vers l'amour illusoire
D'un poème fugace sans aucun demain
Mes mots s'enlacent épousant les déliés
Laissant dans leurs traces des signes imparfaits
Evitant les grimaces d'une main ulcérée
Qui attend et menace prête à les effacer
Mes maux s'écrivent mes mots s'effacent
Mes mots s'accrochent au temps qui passe