Etre un homme.
Telle que je vois ta vie,
Tes rêves ne sont pas tous maudits,
Homme qui se pend à tes écrits réels,
Tu restes la femme pour baigner les pleurs du virtuel,
Que fais-je ? Homme adulte de gaité,
Savant de ton savoir un p’tit moment caché,
Arraché à l’univers, homme débarqué,
Un sérieux esprit à ton œil exercé,
Evadé, homme artiste ignoré,
Guignol miséreux pour femmes délurées,
Et mon œil, ira ça et là vers tes propos escomptés,
Adolescent chaussé, laïc au songe gouté.
Riche de tes poèmes, mais pauvre à te réconforter,
Sur cette pluie de soleils, tu es divine,
Homme de la campagne, toujours je l’ai prévu,
Cette histoire parfumée retire ta plainte saugrenue.
Les hommes riront sous ta prunelle floue,
Les ados riants sous ce joli soleil et cette terre de boue,
Les hommes émergeants de la mer aux licences empiriques,
Ruelle sans attache destinée au malheur à supprimer
Enième poème pour continuer ton destin.
Telle que je vois ta vie,
Tes rêves ne sont pas tous maudits,
Homme qui se pend à tes écrits réels,
Tu restes la femme pour baigner les pleurs du virtuel,
Que fais-je ? Homme adulte de gaité,
Savant de ton savoir un p’tit moment caché,
Arraché à l’univers, homme débarqué,
Un sérieux esprit à ton œil exercé,
Evadé, homme artiste ignoré,
Guignol miséreux pour femmes délurées,
Et mon œil, ira ça et là vers tes propos escomptés,
Adolescent chaussé, laïc au songe gouté.
Riche de tes poèmes, mais pauvre à te réconforter,
Sur cette pluie de soleils, tu es divine,
Homme de la campagne, toujours je l’ai prévu,
Cette histoire parfumée retire ta plainte saugrenue.
Les hommes riront sous ta prunelle floue,
Les ados riants sous ce joli soleil et cette terre de boue,
Les hommes émergeants de la mer aux licences empiriques,
Ruelle sans attache destinée au malheur à supprimer
Enième poème pour continuer ton destin.