Les étoiles de la nuit (attention texte érotique)
Dans la nuit Zézette et Popaul s’étaient rapprochés
Dans le lit comme deux petites cuillères accolées
Popaul sentant contre lui tendres fesses, se dressait
Zézette fleurant Popaul bien droit, remuait le fessier
Au dehors les chouettes hululent, c’est la pleine nuit
Popaul dorloté par les deux fesses est pris d’envies
Par la fenêtre la nuit noire, on voit les étoiles, ça luit
Popaul lui, tête sur l’étoile de Zézette, est très en vie
Zézette sentant Popaul sur l’airain, remue les reins
Les ardeurs vivantes des reins font s’agiter l’airain
Popaul manifeste fougue pénétrante des va et vient
Mais à sec que nenni, rien de rien, y a pas moyen !
Zézette avait envie de Popaul dans son pertuis étroit
Elle l'ensaliva de ses doigts délicats, en plusieurs fois
Popaul salivait l’oignon, dedans y plongea les doigts
Popaul se représente, glisse la tête en le sas de soie
Le voila, ferme et droit, engagé dans l’orifice serré
Après douces entrées sorties, il y plonge tout entier
Dans cette sodomie de pleine nuit, à deux accouplés
Dans un semi sommeil, Popaul dans l’anneau étiré...
…Offre à Zézette de fins mouvements en sa stellaire
Mais étoilée n’en a plus l’air, elle a forme planétaire
Mais souci, la salive a séché, plus de marche arrière
Popaul tente, Zézette dit ''ouille!'' Ça fait mal derrière!!
Popaul engagé jusqu’à la garde, se disent verra bien
Et Popaul cette nuit est endurant, dedans il est bien
Zézette de même, le troufignon distendu se sent bien
N’a jamais été élargi tant de temps, mais ça ne fait rien
Zézette enserre Popaul du muscle circulaire puissant
Popaul ça lui gonfle la tête se sent devenir turgescent
Popaul inséparable du fondement, arrimé solidement
Zézette le maelström écarquillé, jouit sans semblant
Popaul déverse de sirupeuses et abondantes giclées
Deux amants s’endorment alanguis et restent aboutés
Le soleil traverse la fenêtre, le matin est bien avancé
Les amants toujours accolés, Popaul perçoit étrangeté
C’est chaud mais ramolli mais bien logé dans le puits
Zézette s’émoustille, en son fignard il a passé la nuit!
De son anus empoigne Popaul, le presse dans l’étui
Les amants aimeraient, rester de la sorte encore unis
Mais doivent partir, le referont, promis, ils se le jurent
Zézette pousse, Popaul s’élastique, quitte la rainure
Il sort à regret, accompagné d’abondantes coulures
Les amants s’embrassent, chaudement sans mesure
Dans la nuit Zézette et Popaul s’étaient rapprochés
Dans le lit comme deux petites cuillères accolées
Popaul sentant contre lui tendres fesses, se dressait
Zézette fleurant Popaul bien droit, remuait le fessier
Au dehors les chouettes hululent, c’est la pleine nuit
Popaul dorloté par les deux fesses est pris d’envies
Par la fenêtre la nuit noire, on voit les étoiles, ça luit
Popaul lui, tête sur l’étoile de Zézette, est très en vie
Zézette sentant Popaul sur l’airain, remue les reins
Les ardeurs vivantes des reins font s’agiter l’airain
Popaul manifeste fougue pénétrante des va et vient
Mais à sec que nenni, rien de rien, y a pas moyen !
Zézette avait envie de Popaul dans son pertuis étroit
Elle l'ensaliva de ses doigts délicats, en plusieurs fois
Popaul salivait l’oignon, dedans y plongea les doigts
Popaul se représente, glisse la tête en le sas de soie
Le voila, ferme et droit, engagé dans l’orifice serré
Après douces entrées sorties, il y plonge tout entier
Dans cette sodomie de pleine nuit, à deux accouplés
Dans un semi sommeil, Popaul dans l’anneau étiré...
…Offre à Zézette de fins mouvements en sa stellaire
Mais étoilée n’en a plus l’air, elle a forme planétaire
Mais souci, la salive a séché, plus de marche arrière
Popaul tente, Zézette dit ''ouille!'' Ça fait mal derrière!!
Popaul engagé jusqu’à la garde, se disent verra bien
Et Popaul cette nuit est endurant, dedans il est bien
Zézette de même, le troufignon distendu se sent bien
N’a jamais été élargi tant de temps, mais ça ne fait rien
Zézette enserre Popaul du muscle circulaire puissant
Popaul ça lui gonfle la tête se sent devenir turgescent
Popaul inséparable du fondement, arrimé solidement
Zézette le maelström écarquillé, jouit sans semblant
Popaul déverse de sirupeuses et abondantes giclées
Deux amants s’endorment alanguis et restent aboutés
Le soleil traverse la fenêtre, le matin est bien avancé
Les amants toujours accolés, Popaul perçoit étrangeté
C’est chaud mais ramolli mais bien logé dans le puits
Zézette s’émoustille, en son fignard il a passé la nuit!
De son anus empoigne Popaul, le presse dans l’étui
Les amants aimeraient, rester de la sorte encore unis
Mais doivent partir, le referont, promis, ils se le jurent
Zézette pousse, Popaul s’élastique, quitte la rainure
Il sort à regret, accompagné d’abondantes coulures
Les amants s’embrassent, chaudement sans mesure
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