En ces temps de confinement, place aux effets secondaires.
Fort est de constater que le monde est à l’envers.
Fouler le sol d’un pas assuré, est devenu contestataire.
Et l’infiniment petit se montre, et nous voilà tous en « guerre ».
Tout doit couler de source pour cette traversée du désert.
Soyons patients disent ils, nous vaincrons cette crise humanitaire.
Sortons dedans, puisque enfermés dehors ne nous a paru pas nécessaire.
Ensemble mais tous perdus de vue, rivés sur nos cellulaires.
Chassant le temps, sans vie, sans amour, juste quelques plaisirs de chair.
Oui je suis idéaliste, mes émotions sont les armes de ce poème incendiaire.
Notre humanité?! Où chacun ne respire que son égoïste atmosphère.
De mon point de vue, je vois s’écrouler tout mon imaginaire.
Attendre un miracle, ou un idéal consortium planétaire.
Il faut un tel avertissement pour voir à quel point tout est secondaire?
Rien ne va plus, l’homme est devenu l’ennemi public numéro 1 sur Terre.
Et si cette pandémie était un signe, une nouvelle quête « identitaire ».
Sans trop y croire, j’aimerais que ces mots soient le ciment de la première pierre...
Fort est de constater que le monde est à l’envers.
Fouler le sol d’un pas assuré, est devenu contestataire.
Et l’infiniment petit se montre, et nous voilà tous en « guerre ».
Tout doit couler de source pour cette traversée du désert.
Soyons patients disent ils, nous vaincrons cette crise humanitaire.
Sortons dedans, puisque enfermés dehors ne nous a paru pas nécessaire.
Ensemble mais tous perdus de vue, rivés sur nos cellulaires.
Chassant le temps, sans vie, sans amour, juste quelques plaisirs de chair.
Oui je suis idéaliste, mes émotions sont les armes de ce poème incendiaire.
Notre humanité?! Où chacun ne respire que son égoïste atmosphère.
De mon point de vue, je vois s’écrouler tout mon imaginaire.
Attendre un miracle, ou un idéal consortium planétaire.
Il faut un tel avertissement pour voir à quel point tout est secondaire?
Rien ne va plus, l’homme est devenu l’ennemi public numéro 1 sur Terre.
Et si cette pandémie était un signe, une nouvelle quête « identitaire ».
Sans trop y croire, j’aimerais que ces mots soient le ciment de la première pierre...
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