Tu es partout en l’Univers
Tu es partout en l’Univers,
sur chaque pétale, sur chaque arbre,
sur chaque pierre des sentes,
sur la cité grandiose des continents et des océans,
sur chaque pétale, sur chaque arbre,
sur chaque pierre des sentes,
sur la cité grandiose des continents et des océans,
Tu es ma mantille de Lumière
qui resplendit et m’enveloppe
dans la poésie du printemps,
ô ma Muse, ma Vie.
tqui resplendit et m’enveloppe
dans la poésie du printemps,
ô ma Muse, ma Vie.
Vois, j’attends,
assise contre un chêne,
la fête de tes paumes entre les miennes
en notre clairière, près du Loir,
là où le Soleil rejoint les bocages,
dessus le duché des mousses,
tandis qu’au loin,
danse le dais de nuages.
Toi qui me protèges des aléas de l’existence,
et me magnifies, laisse-moi psalmodier encore
les édits de ta Sublimité,
et de ta douceur.
assise contre un chêne,
la fête de tes paumes entre les miennes
en notre clairière, près du Loir,
là où le Soleil rejoint les bocages,
dessus le duché des mousses,
tandis qu’au loin,
danse le dais de nuages.
Toi qui me protèges des aléas de l’existence,
et me magnifies, laisse-moi psalmodier encore
les édits de ta Sublimité,
et de ta douceur.
Même lorsque tu t’absentes,
tu vis en moi,
tu navigues sur la nef de mes paumes,
sur l’éternité de ma Grâce,
tu vis en moi,
tu navigues sur la nef de mes paumes,
sur l’éternité de ma Grâce,
dès l’éclosion des lueurs,
j’enlace les ciels d’azur pour te les offrir,
agenouillée, sur la proue des sylves,
moi qui suis rien sans les salves de tes étoiles en mes iris.
j’enlace les ciels d’azur pour te les offrir,
agenouillée, sur la proue des sylves,
moi qui suis rien sans les salves de tes étoiles en mes iris.
Tu es en moi depuis l’origine des temps,
désaltère-moi avec l’écume de ta tendresse,
mon corps de Grâce
a besoin de la sève de tes regards,
désaltère-moi avec l’écume de ta tendresse,
mon corps de Grâce
a besoin de la sève de tes regards,
alors, saisis-moi,
arrache incessamment la digue des saisons,
puis, face à la stèle de l’occident
bénis-moi à tout jamais !
arrache incessamment la digue des saisons,
puis, face à la stèle de l’occident
bénis-moi à tout jamais !
Sophie Rivière
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