L'horloge de travers
Elle imaginait en regardant les étoiles,
Que le monde ou il se trouvait,
Se réveillait de ces mêmes étoiles,
Estompées par le jour naissant...
Elle s'amusait en s'allongeant sur sa couette,
Riant de cet espoir à l'envers,
Lui, s'étirant, une nuit finie,
Elle, allant fureter vers la lune venue...
Alors, pour se rapprocher de son univers à lui,
Elle regardait l'horloge à l'envers,
Là ou le monde est à l'opposé,
Et, tendant sa main, y trouvait une lueur.
Elle aurait aimé voir danser les aiguilles,
Se laisser prendre par les nuages,
S'envelopper de ce firmament aux ombres filantes,
Le rejoindre à l'endroit de l'horloge...
L'horloge glisserait de travers,
Et, dans un rêve empreint de coton,
L'emmènerait tranquillement, doucement
Vers ce lieu ou la nuit devient le jour...
Et l'horloge restait de travers,
Elle en riait souvent,
Pleurait parfois,
Quand lui se couchait,
Elle, prenait son café du matin.
Elle imaginait en regardant les étoiles,
Que le monde ou il se trouvait,
Se réveillait de ces mêmes étoiles,
Estompées par le jour naissant...
Elle s'amusait en s'allongeant sur sa couette,
Riant de cet espoir à l'envers,
Lui, s'étirant, une nuit finie,
Elle, allant fureter vers la lune venue...
Alors, pour se rapprocher de son univers à lui,
Elle regardait l'horloge à l'envers,
Là ou le monde est à l'opposé,
Et, tendant sa main, y trouvait une lueur.
Elle aurait aimé voir danser les aiguilles,
Se laisser prendre par les nuages,
S'envelopper de ce firmament aux ombres filantes,
Le rejoindre à l'endroit de l'horloge...
L'horloge glisserait de travers,
Et, dans un rêve empreint de coton,
L'emmènerait tranquillement, doucement
Vers ce lieu ou la nuit devient le jour...
Et l'horloge restait de travers,
Elle en riait souvent,
Pleurait parfois,
Quand lui se couchait,
Elle, prenait son café du matin.