Parfois, je me demande mais est-ce que je fais bien de me demander?.
Un orage continuel de diamants s’abat sur Jupiter ainsi en a décidé son fils Lucifer. N’est-il pas sorti de l’entre-cuisse de son père?.
Au diapason des âmes s’enflamment harmonieusement les cœurs.
Notre Dame fut la malheureuse victime d’une gitane de marque Esmeralda!.
Lorsque la fantaisie se replie sur le rêve une migration de tous les instants nous conduit vers le climat des poètes.
De même que l’on ne peut pas parler de lumière à un aveugle, de son à un sourd il est impossible de parler travail à un politique!.
Liberté, égalité, fraternité des mots humiliés qui ont perdu depuis longtemps leur profondeur et leur sens. En leur souvenir ayez l’humilité, de ne les citer que par devoir de mémoire.
Le temps va trop vite au gré des uns, trop lentement au gré des autres, pour beaucoup de malheureux il ajourne toujours le bonheur ou le refuse.
Las de tromper les heures mon imagination ne chôme pas et mon cœur qui bat au diapason des plaisirs maudit tous les délais.
Souvent, la joie s’envole aussi vite qu’elle a été lente à naître.
Parfois, une vague détresse du cœur envahit notre âme voyageuse et évoque avec mélancolie le bonheur de nos jeunes années.
Donner à l’homme la possibilité de vivre doit être une priorité vivre oui, mais, vivant.
La poésie puise sa source dans les profondeurs de l’âme et devient une vraie fontaine de jouvence.
La poèsie prolonge en vibrations harmonieuses nos états d’âme ordinaires et fixe nos aspirations, à un cœur sans amour elle peut offrir un objet d’adoration.
Une migration de tous les instants vers le climat des poètes s’impose à moi et je ne refuse jamais le voyage.
La poésie s’entoure des plus hauts sommets de l’idée, elle est ce monde surnaturel où l’on atteint l’extrême pointe de nous-mêmes....où l’on découvre dans toute sa plénitude les tendances profondes de l’être.
La culture poétique doit adoucir toute amertume toute attitude rechignée : il faut créer la fraîcheur de l’âme que l’on respire sur les hautes cîmes.
Je divague...
Mes yeux ont formé la vague au rayon vert couchant , soumis aux vents mauvais mon regard s’est lentement éteint, puis a fini par sombrer où l’océan à l’horizon chargé de lourdes larmes au goût amer se fige..
Seule l’écriture du vrai conduit vers de grands effets émotionnels.
L’humanité a su évoluer dans son apparence extérieure, ses mœurs, ses religions, mais face à la morale, les hommes restent dans leurs grands traits les mêmes.
L’âme humaine a soif d’impartialité elle est la malheureuse victime des sciences physiques au sens moral très contreversé.
L’autodérision est mon arme fatale, ma botte secrète!.
Un orage continuel de diamants s’abat sur Jupiter ainsi en a décidé son fils Lucifer. N’est-il pas sorti de l’entre-cuisse de son père?.
Au diapason des âmes s’enflamment harmonieusement les cœurs.
Notre Dame fut la malheureuse victime d’une gitane de marque Esmeralda!.
Lorsque la fantaisie se replie sur le rêve une migration de tous les instants nous conduit vers le climat des poètes.
De même que l’on ne peut pas parler de lumière à un aveugle, de son à un sourd il est impossible de parler travail à un politique!.
Liberté, égalité, fraternité des mots humiliés qui ont perdu depuis longtemps leur profondeur et leur sens. En leur souvenir ayez l’humilité, de ne les citer que par devoir de mémoire.
Le temps va trop vite au gré des uns, trop lentement au gré des autres, pour beaucoup de malheureux il ajourne toujours le bonheur ou le refuse.
Las de tromper les heures mon imagination ne chôme pas et mon cœur qui bat au diapason des plaisirs maudit tous les délais.
Souvent, la joie s’envole aussi vite qu’elle a été lente à naître.
Parfois, une vague détresse du cœur envahit notre âme voyageuse et évoque avec mélancolie le bonheur de nos jeunes années.
Donner à l’homme la possibilité de vivre doit être une priorité vivre oui, mais, vivant.
La poésie puise sa source dans les profondeurs de l’âme et devient une vraie fontaine de jouvence.
La poèsie prolonge en vibrations harmonieuses nos états d’âme ordinaires et fixe nos aspirations, à un cœur sans amour elle peut offrir un objet d’adoration.
Une migration de tous les instants vers le climat des poètes s’impose à moi et je ne refuse jamais le voyage.
La poésie s’entoure des plus hauts sommets de l’idée, elle est ce monde surnaturel où l’on atteint l’extrême pointe de nous-mêmes....où l’on découvre dans toute sa plénitude les tendances profondes de l’être.
La culture poétique doit adoucir toute amertume toute attitude rechignée : il faut créer la fraîcheur de l’âme que l’on respire sur les hautes cîmes.
Je divague...
Mes yeux ont formé la vague au rayon vert couchant , soumis aux vents mauvais mon regard s’est lentement éteint, puis a fini par sombrer où l’océan à l’horizon chargé de lourdes larmes au goût amer se fige..
Seule l’écriture du vrai conduit vers de grands effets émotionnels.
L’humanité a su évoluer dans son apparence extérieure, ses mœurs, ses religions, mais face à la morale, les hommes restent dans leurs grands traits les mêmes.
L’âme humaine a soif d’impartialité elle est la malheureuse victime des sciences physiques au sens moral très contreversé.
L’autodérision est mon arme fatale, ma botte secrète!.
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