Les dix-huit juin ont marqué l’histoire de France
En nombre de trois, ils ont tous leur importance,
Du bois de Patay aux plaines de Waterloo
Jusqu’à cet appel de Londres à la radio.
Des archers anglais occis à l’orée d’un bois
Vaincus par des chevaliers recouvrant la foi,
Le drapeau de lys flotte alors sur la bataille
Il se fît un chemin au travers les entrailles.
Ce succès ainsi résonna comme un tournant
Mettant presque fin à la guerre de Cent- Ans.
La bergère transformât ses moutons en loups
Après Orléans, elle enfonça donc le clou.
Pris en défaut la Grande Armée dans ce bourbier
Face à Wellington et consorts ils ont cédé,
Même dit-on Cambronne n’a pas voulu perde
Pourtant à ses vainqueurs il aurait bien merde.
Ces derniers soubresauts consumés pour l’honneur
Le dépit investit le camp de l’Empereur,
De l’ile d’Elbe jusqu’ à son abdication
Cent jours ont suffi pour vaincre le trublion.
Dans cette guerre éclair face au voisin germain
L’enfer s’est présenté au maréchal Pétain,
De ce fait il s’est prosterné devant le Diable
L’ex héros devenant soudain un misérable.
Contre la félonie à Cent lieues de Paris
Un jour se dressa un général insoumis,
Aux ondes de la radio répondît la fronde
La France Libre apparaissait aux yeux du monde.
Tous ces mêmes jours de juin si près du solstice
Lorsque la nuit affiche son plus faible indice,
En pleine lumière montrent ces personnages
Dont la notoriété à traverser les âges.
*événements du 18 juin (1429-1815-1940)
En nombre de trois, ils ont tous leur importance,
Du bois de Patay aux plaines de Waterloo
Jusqu’à cet appel de Londres à la radio.
Des archers anglais occis à l’orée d’un bois
Vaincus par des chevaliers recouvrant la foi,
Le drapeau de lys flotte alors sur la bataille
Il se fît un chemin au travers les entrailles.
Ce succès ainsi résonna comme un tournant
Mettant presque fin à la guerre de Cent- Ans.
La bergère transformât ses moutons en loups
Après Orléans, elle enfonça donc le clou.
Pris en défaut la Grande Armée dans ce bourbier
Face à Wellington et consorts ils ont cédé,
Même dit-on Cambronne n’a pas voulu perde
Pourtant à ses vainqueurs il aurait bien merde.
Ces derniers soubresauts consumés pour l’honneur
Le dépit investit le camp de l’Empereur,
De l’ile d’Elbe jusqu’ à son abdication
Cent jours ont suffi pour vaincre le trublion.
Dans cette guerre éclair face au voisin germain
L’enfer s’est présenté au maréchal Pétain,
De ce fait il s’est prosterné devant le Diable
L’ex héros devenant soudain un misérable.
Contre la félonie à Cent lieues de Paris
Un jour se dressa un général insoumis,
Aux ondes de la radio répondît la fronde
La France Libre apparaissait aux yeux du monde.
Tous ces mêmes jours de juin si près du solstice
Lorsque la nuit affiche son plus faible indice,
En pleine lumière montrent ces personnages
Dont la notoriété à traverser les âges.
*événements du 18 juin (1429-1815-1940)
Dernière édition: