L’œil pâle du cyclone voile mes vieux jours,
encercle mes pensées aux multiples torpeurs,
sa vague houleuse encensée pour toujours,
brise ma conscience au-delà des vapeurs !.
Il glisse lentement sur mes larmes versées,
et plombe l’horizon de sombres oriflammes !.
Ô ! mon corps est meurtri, Ô ! mon âme, bouleversée
furieux, crie ce géant, il aiguise sa lame !.
Pluie de sang, horizons ténébreux, vents mauvais,
ma vie est cet enfer où je croise le fer,
j’esquive du revers, sans jamais me sauver,
du brasier attisé des yeux par Lucifer !.
Hier soir, après les fruits et les légumes de Luze je me suis à nouveau essayé à l’écriture automatique, il ne me manquait que la bougie et l’absinthe !.
encercle mes pensées aux multiples torpeurs,
sa vague houleuse encensée pour toujours,
brise ma conscience au-delà des vapeurs !.
Il glisse lentement sur mes larmes versées,
et plombe l’horizon de sombres oriflammes !.
Ô ! mon corps est meurtri, Ô ! mon âme, bouleversée
furieux, crie ce géant, il aiguise sa lame !.
Pluie de sang, horizons ténébreux, vents mauvais,
ma vie est cet enfer où je croise le fer,
j’esquive du revers, sans jamais me sauver,
du brasier attisé des yeux par Lucifer !.
Hier soir, après les fruits et les légumes de Luze je me suis à nouveau essayé à l’écriture automatique, il ne me manquait que la bougie et l’absinthe !.
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