J'ai le mal de toi et de tes bavardages,
De ton rire naïf, aux ailes de nez retroussé,
De tes mains sur mon corps cherchant l'orage
Tonnant en moi, comme des eclairs claquant au ciel grise.
Le mal de ton absence, le temps paraît longuet,
Mon ciel est vide et la lune dedoublee
S'élève dans mes prunelles éteintes,
J'essaie de retrouver ton image qui me plaît,
Mais derrière elle, les traces de l'écume du temps tinte,
Comme le glas d'une cloche, un soir aux parfums de Lauriers rose,
Entre le tintamarre et la senteur epicee,
Je reconnais la vision effacée d'une ombre entrelacée,
Visages ensoleilles confondant de bonheur de voir le miel du jupon rose.
T''extasiant sur mon corsage ouvert et sur seins dores,
Dégrafant le pantalon, mes oreilles sursautent au froissement,
Comment oublié ces moments, quand la présence s' absente,
Seule, je t'imagine, enfilant l'echeveau, somnolente
Une Dame tirant un bout par ci, ou par la, attendant le mécène,
Un peu sonnée, il faut encore attendre la semaine
Arrivant à grands pas ,j'erre s dans le jardin aux Lauriers,
Respirant avidement ton parfum, je ne peux m'en passer.
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De ton rire naïf, aux ailes de nez retroussé,
De tes mains sur mon corps cherchant l'orage
Tonnant en moi, comme des eclairs claquant au ciel grise.
Le mal de ton absence, le temps paraît longuet,
Mon ciel est vide et la lune dedoublee
S'élève dans mes prunelles éteintes,
J'essaie de retrouver ton image qui me plaît,
Mais derrière elle, les traces de l'écume du temps tinte,
Comme le glas d'une cloche, un soir aux parfums de Lauriers rose,
Entre le tintamarre et la senteur epicee,
Je reconnais la vision effacée d'une ombre entrelacée,
Visages ensoleilles confondant de bonheur de voir le miel du jupon rose.
T''extasiant sur mon corsage ouvert et sur seins dores,
Dégrafant le pantalon, mes oreilles sursautent au froissement,
Comment oublié ces moments, quand la présence s' absente,
Seule, je t'imagine, enfilant l'echeveau, somnolente
Une Dame tirant un bout par ci, ou par la, attendant le mécène,
Un peu sonnée, il faut encore attendre la semaine
Arrivant à grands pas ,j'erre s dans le jardin aux Lauriers,
Respirant avidement ton parfum, je ne peux m'en passer.
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