Le calme des vents d’anges.
Aux cimes d’automne, ton souffle vire en tourbillon,
Roussies par le soleil, tu fais tomber les feuilles,
Début de gomme souvent, trouves le trublion,
En frisson de ma chevelure en portefeuilles.
L’oiseau entonne son dernier beau souffle d’amour,
La langueur des airs de geais fait signe aux vendanges,
Renaissance de merveilles, tu me retiens l’humour,
En terre d’accueil survient la folie des vents d’anges.
Sans gelée, tu nous laisses la mer d’azur en bleu,
Loin de l’océan, notre joli port de Nice,
Tu figes le chant des cigales, espèce de morbleu !
Hors toit, je profite de tes rayons bons auspices.
Aux cimes d’automne, ton souffle vire en tourbillon,
Roussies par le soleil, tu fais tomber les feuilles,
Début de gomme souvent, trouves le trublion,
En frisson de ma chevelure en portefeuilles.
L’oiseau entonne son dernier beau souffle d’amour,
La langueur des airs de geais fait signe aux vendanges,
Renaissance de merveilles, tu me retiens l’humour,
En terre d’accueil survient la folie des vents d’anges.
Sans gelée, tu nous laisses la mer d’azur en bleu,
Loin de l’océan, notre joli port de Nice,
Tu figes le chant des cigales, espèce de morbleu !
Hors toit, je profite de tes rayons bons auspices.